par Yukiko » Ven 25 Déc 2015 20:20
Pour Sura, ses souvenirs étaient trop lointains, trop flous, pour y attacher des sentiments, malgré qu'il est des rêves ou plutôt des cauchemars, de manière régulière à ce sujet. En tous cas, il pouvait ressentir de l'incertitude à ce sujet, qui resté pour lui encore aujourd’hui un mystère. Pendant longtemps cela n’était pas un problème pour lui, dans la Toundra où durant les nombreux voyages qu’il put faire avec son père adoptifs, il ne s’était pas posé cette question. Mais maintenant, qu’il était retourné au prêt des Hommes, cela était bien différent et tous avaient changé. Son monde s’était agrandi, il n’était plus seul, mais maintenant il devait trouver une place au sein de la société de l’Homme.
Son regard ce perdant dans le vide, tendit qu'il répondait comme machinalement au Patriarche, sans justement démontré un quel qu’on que sentiment. Il ne rentra tous de même pas dans les détails de ses rêves qu'il pouvait avoir, rêve dont il avait du mal à ne pas avoir chaque nuit.
D'ailleurs à ce sujet cela faisait quelque temps qu'il avait demandé à l'herboriste du Donjon un médicament pour dormir, avoir des nuits calmes, un mélange d'opium et autre plante qui venait du royaume de la terre. Une chose qu’aurais tous à fais pu entendre le Patriarche, dont il devait donc être au courant.
Là une ombre avait surgi et surpris il ne vue pas le projectile qui lui frappa la tête, la neige fut enlevée d'un coup de maîtrise, tandis que le Patriarche au côté de son garde du corps ce raillé de son malheur. Il ne préféra pas répondre à la question, où plutôt un simple hochement d'épaule suffit avec un mouvement de tête désapprobateur, sufi. Continuant de marcher à travers les rues de la cité, cité qui n’était plus que l’ombre d’elle-même, emplis de noirceur et de désespoir dans le regard des gens. L’industrie n’été plus à son heure de gloire, avec cela l’ambiance générale du au Sourcier n’arranger pas les choses. La misère jonchée les rues, ici et là il y avait plus d’un sans-abri et le regard que pouvait avoir les habitants sur leur ville été terne et morose. La fumer des cheminés caché le soleil, retirant quasi toute lumière et avec cela l’espoir de voir de meilleur jour.
Les voilà qu'il était arrivé au salon de thé, établissement où durant quelque mois Sura avait pu faire le service. Pénétrant en premier l'établissement, il salua d'un signe de tête la propriétaire, à croire qu'elle n'avait pas changé d'un cheveu.
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