L'Ancienne Citadelle

[Yahto Parak]

Depuis son retour à l'Ancienne Citadelle, et le fiasco du festival d'Hosho, le patriarche de la Tribu des Chiens-Ours s'ennuyait presque. Oh, il y avait bien les Sourciers dont la menace planait sur le Pôle Sud, bien qu'ils n'aient pas fait parler d'eux depuis l'attaque à la Citadelle, et sa famille pour lui rappeler tous les jours qu'il devait se trouver une compagne, et perpétuer la lignée, mais ce n'était pas suffisant pour tromper son ennui.

Et aujourd'hui, il s'était levé de mauvaise humeur. Ce qui n'arrangeait rien. Attendant que quelqu'un vienne lui apporter son petit-déjeuner, il relut les quelques journaux qui lui permettaient de savoir ce qu'il se passait en dehors du Pôle Sud. Il était présentement absorbé par un journal venant du Royaume de la Terre.

C'est toujours autant le chaos là bas....

[Yukiko]

Sura c'est réveiller à l'aube, il est sortie de la chambre pour allez effectuer ses Tao matinaux, ainsi que ce passé un peut d'eau pour ce rafraichir. Nous sommes loins du sauvage qu'était l'homme avant, maintenant il était rasé proprement, avec des habilles qui lui donné plus de stature. Ne portant pas d'arme, sa simple présence intimidé déjà les serviteurs. Son visage ne montrant une neutralité total.
Il avait trouvé au final une place qui lui convener, les mur froid et que trop peut éclairer pars les torches, était de ton avec le personnage qu'êtait le garde du corps du Patriarche. Maintenant qu'il savait lire et écrire, il profitait de ses courtes nuit pour passé du temps à ce cultivé. Philosophie, science, médecine, stratégie. Et malgré qu'il n'arrivait à comprendre tous les conceptes, car il restait très simple dans sa manière de pensée, il avait évoluer et gagner en maturité.
Tendit que le Patriarche ce réveiller, l'homme ce tenant prêt de la fenêtre, obscervant l'extérieur sans dire un mots, comme à son habitude.

[Yahto Parak]

Absorbé par son journal, le patriarche n'avait pas encore porté son attention sur son garde du corps près de la fenêtre. Mais quand il le fit, il esquissa un sourire. Cet homme avait bien changé depuis leur première rencontre.

-Peux-tu nous faire du thé Sura ?

C'était bien une chose dont il ne le lassait pas, le thé préparé par son garde du corps.

-Ne trouves-tu pas étrange ce calme au Pôle Sud ? , poursuivit-il en reposant le journal sur une table.

[Yukiko]

S'inclinant poliment, puis s'executant dans la tâche confier pars son maître, Sura partie chercher de quoi faire un peut de thé et en faire la préparation. Chauffant lui même l'eau avec sa maîtrise, cela pris moins de temps et il pus rapidement être de retour avec une théière chaude. Venant prendre position en zazen pour servir le thé, il poussa enssuite la tasse vers le Patriarche. Puis prenant lui aussi un tasse, il pris un instant avant de répondre.

- Il faut faire plus atention pour attention pour entendre la glace ce fendre, il ne faut pas croire que le froid endors, mais il coupe comme une lame et ravive les anciennes blessur. Amertume et rencoeur...

Sur ses dernière parole il bus une longue gorgée, puis reposa là tasse devant lui.

[Yahto Parak]

Un air surprit se dessina d'abord sur le visage du patriarche, puis un sourire amusé prit forme. Il but une gorgée de thé, très bien préparé, comme toujours avec Sura, tout en fixant ce dernier. Qui analysait parfaitement la situation.

-Les sourciers se terrent depuis leur coup d'éclat à la Citadelle, et les pirates ont été vaincu. Mais il reste leur commandant. Et Hosho a laissé des traces. Et ré-ouvert d'anciennes plaies. Le calme est là, mais comme tu l'as si bien dit la glace se fend. Le Pôle Sud n'est plus aussi uni qu'autrefois.

Il poussa un soupir, repensant à la conversation qu'il avait eu avec ses parents hier. Uni. Union. Mariage. Cette simple idée l'ennuyait.

-Et même le monde se déchire., fit-il, pensant à la situation du Royaume de la Terre.

Le patriarche était plutôt pessimiste, mais cela lui passa vite. Pour le moment, tout allait "bien" après tout.

[Yukiko]

Buvant une autre gorgée et contre toute attente que aurais pu avoir le patriarche, Sura repris la parole. Ce tournant vers lui, continuant de parler sur le même ton engager.

- Je comprend en quoi la stabilité du Pôle sud peut influencer sur la ville, mais pour le monde, cela ne nous concerne pas, si ?

Devant curieux sur de différents sujet, devant plus cultivé et civilisé, l'homme sauvage, devant un homme civilisé.

[Yahto Parak]

Le patriarche de la tribu des Chiens-Ours écouta avec intérêt son garde du corps, et tout en l'écoutant, il termina son thé, et reposa la tasse sans un bruit.

-Si, cela nous concerne. Déjà, parce que sans le commerce avec les autres nations, nous n'aurions pas accès à certaines denrées, comme le thé par exemple. Le climat est trop rude ici, mais estimons-nous chanceux, pour l'instant, nos relations avec les autres nations sont encore bonnes, et ce qu'il ne passe au Royaume de la Terre n'a pas fait de remouds jusqu'ici. Mais la stabilité de notre monde est fragile, rappelles-toi cet esprit à Hosho.

Un éclat amusé dans le regard, il ajouta :

-Enfin, tous ces ennuis là concernent surtout l'Avatar !

La pauvre, il était presque désolé pour elle, mais était bien content de ne pas avoir autant de responsabilités que cette jeune femme là.

Il se dirigea vers la fenêtre.

-Une petite promenade, ça te dit ?

Oui, Yahto Parak cherchait encore à les fuir, ses responsabilités, justement.

[Yukiko]

Sura ne pensée pas aussi loin, pour l'instant le territoire qu'il avait à défendre pour le Patriarche était la ville. Jamais il ne lui avait traverser l'esprit que le commerce avait une telle influence, il n'y a pas si longtemps que cela, un peu moins d'un ans, il vivait de la chasse qui était la base du marchandage. Aujourd'hui il c'était instruit, mais de là à parler de gestion économique et politique au niveau mondial, là nous étiez plus au stade de la simple connaissance de son environnement.

Tendit que Yatho continué à expliqué la complexité de l'économie, il le ramena sur les évènements de Hosho, qui avait était fuis pars le Patriarche. Pour ce que ce souviens Sura, c'était impressionnant et inquiétant, après cela reste flou, car très vite il dû repartir pour la protection du Patriarche, l'évènement majeur de Hosho, qu'il garder en mémoire, la rixe général de la taverne, durant la quel il avait du faire tomber de nombreuse personne pour la protection du patriarche. Si vous demandez, si cela lui à plus ? Sura vous répondra qu'il n'a fais que son travaille.

Le Patriarche termina son thé et avec une idée derrière la tête demanda l'avis de Sura, sur la possibilité de sortir. On l'oublie souvent, mais Sura à encore du mal aujourd'hui à affirmé son avis.

- Comme il vous plaira, Patriarche.

A ses paroles, il ce releva et partie chercher la veste du Patriarche pour l'en habiller. Pour ensuite lui même s'habiller de son chaperon au couleur gris cendré, et au motif du Clans qui décorer l'arrière dans un file blanc. Il n'avait pas d'arme sur lui, depuis d'ailleurs son passage au dojo de la ville ou il avait remis ses armes, il les récupèrera plus tard. Quant cela sera nécessaire. A leur passage dans les couloirs, les gardes ce mettes au garde à vous, et une ambiance très militaire régner au sein de la structure, lugubre, discipline et ordre était les adjective qui pouvait le mieux qualifier l'endroit.
Sura en peu de temps s'était fias une réputation, bonne ou mauvaise, difficile à dire, certain pouvait dire qu'il était l'amant du Patriarche, tendit que d'autre avait eu vent de ce qui c'était passé avec une des famille noble de la ville, affaire qui laisser des sueurs froide dans le dos. Celle-ci provoquer donc une aura d'inquiétude quant à la présence de Sura dans le bâtiment, certain le savais donc impitoyable, bestial...mais cela changera peut être, avec le temps, quant certain auront apprivoiser la bête.

[Yahto Parak]

Dans les couloirs justement, en plus des gardes, et des employés dont certains chuchotaient sur leur passage, et regardaient avec toujours cette même curiosité l'étrange paire que formait le patriarche et son garde du corps, ils échappèrent de peu au frère aîné de Yatho Parak, et même son père. Heureusement, le patriarche connaissait parfaitement les lieux, et ils réussirent à les esquiver d'une main de maître. Bientôt, tous deux se retrouvèrent dans les rues légèrement animées de l'Ancienne Citadelle.

-La famille, quelle plaie !

Le patriarche avait dit cela sans vraiment le penser. Mais il lança un regard appuyé vers Sura, se rendant alors compte que son garde du corps n'avait jamais évoqué son passé avec lui. Contrairement à ses gardes, ou d'autres de ses employés, il n'avait jamais demandé à prendre un congé pour rendre visite à un parent. Il se contentait de rester à ses ordres, depuis qu'il l'avait pris à son service. En soit, c'était plutôt étrange, mais cet homme là était de toute façon étrange, même s'il avait changé.

-C'est au moins un point sur lequel je t'envie. Tu n'as pas ta famille sur le dos tout le temps !, hasarda le patriarche sur un ton amusé.

Mais son regard reprit de son sérieux, quand en parcourant les rues de l'ancienne citadelle, ils virent un message gravé dans la glace d'un bâtiment. Un message appelant à vider le Pôle Sud des sangs mêlés. Yatho Parak avait beau respecter les traditions et les faire respecter, ces histoires de sangs purs et sangs mêlés, il les déplorait.

[Yukiko]

Il fut intrigué pars la quetion que venait de lui posé le Patriarche, étrange qu'elle était. Sura commençait à réfléchir pars lui même et ceux depuis quelque temps, la lecture developpant son sens critique grâce à celle-ci. Il avait commençait à réfléchir aussi à sa famille, depuis peu il commençait à ce poser des questions. Car ses visions, ses cauchemards, continué et comme si elle ce préciser, il y voyait son enfant et maintenant dans différent endroits.

- Non, je n'ai pas de souvenir de ma famille. La seule personne que j'ai pu concidèrer comme tel est morte.

Puis tendis que l'on discution continué il tombaire devant le mur ensanglanté. Devant un tel actes, Sura ne reste pas de marbre. Cela éveiller en lui d'étrange sentiment, lui aussi était gêner. Mais il n'arrivait pas à mettre de mots sur ce qu'il pouvait ressentir.