L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Suivant d'un regard de vieux loup l'ombre qui ce glisser dans la chambre, tendit qu'il était contre le mur ou la fenêtres venais d'êtres ouvert. S'approchant dans la plus grande des discrétions de la personne, plus rapide que le faucon qui attrape de ses serres son repos. Venant faire une manœuvre pour éliminer la personne, un bras passant autours du coups de la personne tendis que le second viens faire leviez sur le poignes du premier bras. Ainsi déposant sur l'arrière de la tête sa main et tournant brutalement la tête de celle-ci . Reposant le corps avec le moins de bruits possible, le sommeille de son maitre ne devais à tous prit êtres perturber . Tous cela ce passe bien sur si, le garde du corps arrive à agir .

[Guru givré]

Ah bah, bien sûr. Si le joueur part tout de suite du principe que son action est achevée, c'est plus facile...

Mais non !

La silhouette en question réagit vivement et se dégagea avec une souplesse laissant sous-entendre qu'il avait connu l'entraînement une grande partie de sa vie. Il siffla, laissant échapper ce qui ressemblait le plus à un cri d'oiseau. Aussitôt une silhouette beaucoup plus massive surgit de la fenêtre et plaqua le garde du corps au sol.

Le premier intrus en profita pour se rapprocher du lit du patriarche.

[Yukiko]

Venant ce faire plaquer pour s'écraser sur le sol, venant ce réceptionné avec les bras tendu a égalité fléchissant ceux-ci amortissant au mieux son impacte sur sur sol malgré la masse imposante qui venait de l'attraper à la taille.
Roulant sur son épaule, s'aidant de l'effet de rotation obtenu avec ses jambes pour ce retrouve dos face à terre. Frappant simultanément de ses talons dans l'entre jambe, contractant son abdomen ce relevant en position assise. Venant pour assommer définitivement son agresseur au tempe avec le tranchant de ses deux main, prenant élan devant lui et frappant vigoureusement sous son postérieur ou ce trouvé l'homme celui-ci même écraser pars le garde du corps qui c’était assis sur son tors. Ce qui avait du lui couper la respiration dans une certaine mesure .

[Yahto Parak]

L'animation a pas tout compris mais c'est pas grave.

L'intrus massif est KO. L'autre silhouette s'avançait donc toujours vers le lit du patriarche. Le garde du corps avait mis du temps à se défaire de son adversaire mais ce n'était pas grave.

L'intrus plus fin tomba à terre, répandant un liquide noir dans cette quasi-obscurité. Un briquet à silex craqua et alluma une lampe à l'huile révélant le visage grave du patriarche. La flamme dorée projeta sa lumière sur la scène de chaos.

-Eh bien, cela faisait longtemps.

Yahto Parak observait le cadavre gisant à ses pieds. De son sabre à la lame rougie, il retira le masque. Une femme.

-Une femme devrait se contenter de donner la vie... quel dommage. (à Aren)

Est-ce que ça va ?

[Yukiko]

- Oui Patriarche, pardonné j'ai failli et n'ai pus vous laissez dormir ... Je vais nettoyer cela pour que vous puissiez vous rendormir Patriarche.

S'approchant du deuxième cadavre, celui de la femme qu'il prit avec lui pour l'emporté plus loin . et ainsi le sortir de la pièce a moins de recevoir un contre ordre de la part de son supérieur. Continuant sa manœuvre avec le deuxième corps, celui-ci avec plus de difficulté, et sans poser de question viendra ce reposer devant l'homme qui était celui qu'il devait protéger de sa vie aujourd'hui. Concepts qu'il avait bien comprit au instruction simple que l'on lui avais donner.

[Yahto Parak]

-Attends !

Il s'approcha de l'assassin massif, inconscient mais encore vivant.

-Mettons celui-là au frais, il pourrait nous être utile.

Le patriarche alla tirer une corde dissimulée derrière une tenture. Sur un signal invisible et inaudible, la garde personnelle du Patriarche arriva et emporta le cadavre pour s'en débarrasser et l'autre pour s'en "occuper".

-Nous verrons bien ce qu'il a à nous dire, ou pas. Tu aurais failli si j'étais mort, Sura. Ne trompe pas ce ce point.

[Yukiko]

S'inclinant respectueusement devant le Patriarche, il prit parole d'une voix formelle.

- Bien Patriarche.

Puis relevant la tête il put voir la garde personnelle s'occuper des corps, il fit un rapide tour de la pièce pour voir que tout était en ordre en terminant enfin avec la fenêtre.

" Peut êtres à pensée à piégé celle-ci...cela évitera toute autre tentative"

Ayant terminé ses tours d'inspection, il se dirigea à sa couche et se positionna en position du garde. Position que l'on dit inconfortable, permettant de rester toujours éveiller. Après que la garde est sortie les corps et que le calme était revenu, il put reprendre sa méditation sur les bruits environnants. Prêt à attendre toute réclamation ou ordre de la personne de Yatho, tel le fidèle chien qu'il transparaissait êtres.
La fidélité était encore un concept dont il ne comprenne pas tous les tenants est aboutissant, pour l'instant il cherchait à suivre le courant de l'eau qui lui plaise. Et si le courant prenait un autre chemin qui lui déplaise, alors il y avait un risque que le garde du corps parte sans rien dire ni demander .
Malgré tous, il savait qu'il avait besoin de l'homme civilisé pour lui même ce laisser influencé et apprendre de cette culture et philosophie. Ce n'est pas le combat qu'il est venu cherche, c'est celui-ci qu'il vient à lui. Mais c'est la connaissance et la compréhension que notre Chasseur itinérant, devenu vagabond puis élève de l'académie en passant pars simple serveur et étant aujourd'hui garde du corps royal du grand Patriarche Yatho . Seul une quête de savoir et non de puissance anime la flamme de Aren, cet homme sans nom oh passer trouble qui n'a jamais pu savoir qu'elle était son enfance..Ses origines. Tuer comme respirais, tuer ou êtres tuer rien ne devait arrêter sa survie.

[Yahto Parak]

Le lendemain matin, frais et reposé, le patriarche s'occupait de divers papiers dans son bureau lorsque le capitaine de sa garde personnelle arriva et vint lui murmurer quelques mots à l'oreille.

-Eux ? C'est étonnant de leur part. Je leur ai pourtant accordé une exonération de taxes pour leurs caravanes. Je vais devoir revenir sur ma générosité.

Je m'en occupe. Vous pouvez disposer des corps comme bon vous semblera.

Une fois seuls, Yahto se tourna vers son garde du corps.

-J'ai une mission pour toi. Il faudra malheureusement verser le sang. Cela te pose un problème ?

[Yukiko]

Regardant le Patriarche impassible comme à son habitude, il s'approcha de lui pour venir écouter la demande et y répondre au mieux.

- Verser le sang, est-ce que cela menace votre survie ? Ils sont donc des ennemies, j'imagine, à vos paroles.

Le garde du corps devenait curieux, ce posant des questions qu'il n'aurait posées il y a de sa quel mois en arrière. L’obéissance aveugle , ce n'était pas encore cela. Il suivait cet homme, car il savait qu'il pouvait lui apporter. Mais si les intérêts de celui-ci n'en avaient aucun pour Sura alors il partirait tous simplement.

[Yahto Parak]

Yahto s'adossa dans son fauteuil, l'air las. Il regarda par la fenêtre, c'était une belle journée qui s'annonçait aujourd’hui.

-Au vu des récents événements, oui.

Voici ce que tu vas faire. Des gardes te guideront où habitent ceux qui ont voulu ma mort. Tu ordonneras à leur chef de se suicider sur mon ordre. S'il refuse, tu tueras la première personne de sa maison que tu croiseras à chaque refus renouvelé. Toute sa maison, s'il le fait.

Je suis miséricordieux en lui permettant de choisir sa mort, ma bonté me perdra...

Il se tourna à nouveau vers son garde du corps.

-Toujours partant ?