L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Bonne sociète, voilà des mots qui résonna dans la tête de Aren cette chose que l'on lui avait appris a fuir telle la maladie. Aujourd'hui seulement il venait apprendre à la connaitre, cette socièter à si développer a y grandir . Son comportement qui était des plus froid telle la Toundra, seulement n'étais ce pas ainsi que l'on avait élever Aren et maintenant on lui demandé de briser cette glace .

- Je ne suis pas encore bien familier avec vos manières, observer ne suffis pas et je ne peux changer une façon d'êtres du jours au lendemain. La confiance que je peux porter aux hommes est encore fébrile, et si j’étaie un animale je serais de ce qui sont solitaire.Je suis ici pour apprendre, et je voie que vous êtes très bon pour donné des leçons, J'espère que le thé est toujours à la bonne température ?

Reprenant la tasse vide et la remplissant de nouveau pour la déposer une nouvelle foi devant l'homme avec qu'il conversait. Passant ensuite derrière les garde pour leur servir une nouvelle tasse, revenant ensuite vers l'homme . Jetant un instant un regard à la propriétaire, voir sont état et avis sur la discutions.

[Yahto Parak]

-Ah oui, quand même. Vous êtes vraiment pince-sans-rire. Je ne fais que donner d'humbles conseils, après vous en faîtes ce que vous voulez.

Il ne s'agit pas de confiance mais d'avoir une attitude si ce n'est accueillante et chaleureuse, du moins ouverte. Et ce n'est pas du tout votre cas.

-Maître ! Votre frère vous recherche. Il est non loin, dois-je aller le chercher ?

Yahto se raidit, comme un gamin pris en faute et se leva.

-N'en faîtes rien. Capitaine, faîtes comme si vous ne m'aviez jamais vu !
-Mais... ?!
-On ne discute pas les ordres, capitaine ! Sur ce, veuillez m'excuser. *à la patronne* Madame, la porte de service se trouve toujours dans cette direction ?
-En effet, patriarche. Au plaisir de vous revoir.
-Moi de même chère Madame. A bientôt !

Il salua le serveur et se précipita à l'arrière du salon. Un homme lui ressemblant passa par l'entrée, semblant chercher quelqu'un.

-Auriez-vous vu mon frère, capitaine ?
-Pas à notre connaissance, seigneur Wakiza.
-Il vous a ordonné de ne rien me dire, n'est-ce pas ?

Il soupira en se massant l'arête du nez.

-Quand apprendra-t-il à se comporter en homme responsable.... ?

Puis il ressortit.

[Yukiko]

Avoir une tenus accueillante et chaleureuse, voilà une chose qui le lui semblait bien futile. Dans sa vie de traqueur errent au côté de son père ce n'était pas l'attitude à avoir, combien de fois avait-il était réprimander pour avoir fais trop de bruis avec son rire. Et oui fut t'il une époque ou Aren était un jeune garçon souriant et jouasse, seulement l'influence trop importante de son père sur lui fit que la rudeur de l’entrainement lui fit perdre cette attitude enfantin. Celui si même qui ce comporté plus comme un maître et non comme un père, ce qui fit qu'il ne reçus pas de chaleur parental.

Il avait appris à fuir la civilisation et tous contacte, finalement il était effrayer pars elle mais aujourd'hui Aren n’était plus ce petit garçon grandissant dans l'ombre d'un homme qui n'a fais que fuir toute sa vie. Il était devenus un homme qui voulais venir apprendre à connaître l'Homme, seulement devant ce monde d'opulence et de confort permanent il ne ce sentait pas des plus à l'aise. En ce jours la rencontre avec cette homme qui ce fessais appeler Patriarche, lui avait à jamais sûrement changer sa vision. Finalement après cet homme qui ce faisait appeler le Léviathan, cet homme était un des seul à avoir réellement discuté avec lui. Pas de le comprendre, mais de lui posais les bonne question.

Aren avait depuis toujours observer l'homme, l'imiter ne lui serait pas des plus difficile avec un peux de temps d'adaptation face à son malaise en communauté trop importante. Maintenant d'autre question à part cette question d'éthique lui venais à l'esprit, que voulais dire ce mots Patriarche, Le vagabond restait tell un enfant devant le système des civilisation. C'est donc en cogitant qu'il débarrassa les tables, les gardent étant partie pendant qu'il commençait à débarrassait la tables du Patriarche laissant bien entendu la monnaies de leurs consommations.

Prenant le tous il partie vers la vieille gérante, qui le regardé faire avec ses yeux perçant un petit sourire qui ce dessiner au coins de ses lèvres avec toujours ce fin nuage au dessus de sa tête. Le vagabond déposant la vaisselle devant elle et posa ses interrogations, suite à cette conversation qui lui avait éclairer l'esprit.

-Dit moi es normale que le Patriarche n'est pas payer, d'ailleurs que veux dire Patriarche ? Que dois je faire de cela, je m'en occupe ? Désignant la vaisselle des tasses et théière fraîchement utiliser.

[Guru givré]

AREN

Elle sourit à la question de son nouvel employé. La patronne inspira lentement une bouffée de sa pipe puis expira tout aussi lentement, s'en délectant.

-Tu n'es pas sans savoir qu'il existe plusieurs dizaines de tribus qui composent le Pôle Sud ? Eh bien, celles-ci se divisent en deux catégories, les tribus majeures et tribus mineures qui se distinguent de par leur taille, importance, richesse et influence.

Il y a trois tribus majeures, le Poisson-Lune, le Loup-Garou et le Chien-Ours polaire chacune régnant sur les trois cités que sont : la Citadelle, la Falaise et l'Ancienne Citadelle. A l'heure actuelle, c'est Kaya Iluak, la matriarche du Poisson-Lune qui dirige le Pôle Sud depuis la Citadelle. A Falaise, eh bien... il y a encore débat au sujet de qui dirige véritablement la tribu mais cela devrait se régler sous peu.

Et à l'Ancienne, ici, c'est Yahto Parak qui est le patriarche du Chien-Ours polaire.

Elle savoura son petit effet de suspense puis reprit.

-Et ne t'en fais pas, il paie toujours d'avance. C'est un habitué des lieux. Je le faisais sauter sur mes genoux quand il était encore tout bébé.

[Yukiko]

-Très bien .

Il fut un brève instant surpris de savoir que l'homme était tous de même le chef de la cité, puis partie dans l'arrière salle laver les quelque tasse et théière utiliser il y a peux pars la garde et le patriarche.
Il ouvrit la porte arrière pour allez y puiser de l'eau pour ainsi y faire la vaisselle dedans, rapportant le sceau à l'intérieur et le déversant dans le bac prévue à cette effet il entama la vaisselle. On n'avait pas a lui dire ce qu'il avait à faire, ce genre de tâche ménagère il du en faire un bon nombre à l'académie et simplement quant-il était encore avec Tuvan où il devait aussi laver les couvert de voyage dans les quel il mangeait.

Regardent son reflet dans l'eau troublé, pars goûte qui venais produire des ondes dans l'eau. Il soupira un instant et regarda un peux mieux son reflet ce plongeant dans sa réflexion.

«  Avoir l'apparence chaleureuse et aimable, et garder ce que j'ai en moi pour moi sans le montrait au autre ..finalement cela reviens à créer un masque sur mon visage. Me montrait plus bien veillant... cet homme était bienveillant et avait de bon conseille je dois dire, que qu'il sentait un peu l'alcool. Cela à du lui délier la langue sûrement, je dois donc faire des effort et j'imagine que le salon de thé est ma nouvelle épreuve, une épreuve ou je n'ai pas à me battre...avec les poings »

Terminant la petit vaisselle il repartie dans le salon, reposais la vaisselle à sa place et reprit le ballait recommençant la ou il avait termine, le maniant tell un sabre entre souplesse et vigueur évacuant les poussière de salle la rendu ainsi propre. Retournant ensuite vers la gérante, venant lui posais de nouvelle question.

-Dite moi, comment fait-on pour sourire et semblait aimable avec des personne que l'on ne connais pas ? Je ..je sais ce que sont les émotions seulement... mmh excuser moi.

Ce retournant comme s'il en avait trop dit, reprenant le ménage passant un vieux chiffon sur les tables pour les rendre plus propre. Aren avait encore du mal à s'ouvrir au autre, parler librement avec eux .Pour temps avec la discutions qu'il avait eux , c'était un étrange sentiment qui était née en lui …

[Guru givré]

La vieille patronne eut un petit rire, crachant de la fumée à chaque fois.

-C'est simple, il faut tirer sur les muscles de ton visage, juste là.

Elle lui montra en tirant sur les pommettes de son employé, singeant une grimace avant de se remettre à rire.

-Pourquoi tiens-tu tant à te faire apprécier des autres, dis-moi ?

[Yukiko]

Reculant subitement au contacte des mains de la vieille femme, affichant une surprise sur le visage.

-Hurm ...c'est pars rapport à ce que disais le patriarche,il semblait que cela était important pour vivre en société.

Aren restait songeurs, balayant comme machinalement ce perdent doucement dans ses pensées .

«  C'est vrais pour quoi je voudrais me faire apprécier des autres …sourire, rire. Des choses qui cela fais bien longtemps que je non voie plus l'utilité. Et pour êtres agréable avec les autre il faudrait que je me sente à l'aise, ce qui n'es pas encore le cas . »

- Je ne me sens pas à l'aise... murmura t-il tous bas comment s'il pensée à voie haute, en détournant le regard, puis soupirant un instant et reprennent ce qu'il faisait.

[Guru givré]

-Pour vivre en société, il faut surtout se montrer poli et aimable. Même pas forcément se faire apprécier. Ça, c'est un dommage collatéral bienheureux.

Elle tapota sa pipe pour en faire sortir les cendres dans un petit pot dédié à cet usage. Elle sortit ensuite du tabac qu'elle fourra précautionneusement dans l'embout avant de l'allumer et de la fumer avec contentement.

-En même temps, petit, il est normal que tu ne te sentes pas à l'aise. A ton âge, il est difficile d'apprivoiser l'Autre. C'est l'apprentissage de toute une vie. Tes parents ne m'ont pas l'air d'avoir fait du bon boulot en ce qui te concerne.

[Yukiko]

L'homme qui passer l'éponge sur une table fut comme figer pars les dernière parole de la vieille femme, on ne lui avait jamais parler de ses parents Tuvan était le dernier souvenir de parent qu'il eu. Et le seul souvenir qu'il avait de ses parents était ses corps sans visage et l'odeur du sang, de leur sang. Pour quoi le simple faite de parler de ses parents lui faisais telle effet, lui même savais pas, seulement quant on énoncer le sujet sa vision ce troubler de quelque peux et les vision de ses cauchemars revenais le hanter.

«  Qu'es ..que mes parents, qui sont t-il ? Qu'es que, pour quoi je y pense maintenant, pour quoi m'en parle t'elle … qu'es que laisser moi tranquille vision de malheur, laisser moi. »

Tournant la tête de droit à gauche en crispant les muscle de son cous, il en avait les bras tétaniser sa mâchoire crisper comme si ce souvenir était douloureux . Appuyant sa main sur sa tempe puis frappent du poing sur la table de pierre, l'eau qui ce trouvais recouvert pars les couvercles de bois fut geler et comme expulser de son contenu, le couvercles fut projeté pars la glace qui ressortie forment un pique. Deux autre tables fur pris pars la maîtrise débordent et gelant elle aussi , Aren lui avec eu le visage un instant déformer pars la douleur il reprenait sont souffle appuyais sur la table.

-Je ..je dois me reposais .

Partent précipitamment, manquant de renverser une théière , une fois à l'extérieur étant passer pars l'arrière de la boutique il tomba sur le puits. Si dirigeant il ce lava le visage encore dans tous ses états chassent enfin les visions qui venais lui troublait ses visions.
Voyant comme des images trouble, entendent des son distordu, face à cela Aren avait des réactions disproportionné et seul a ce moment la ou pouvais voir son visage arborer un masque qui n'était pas l'impassibilité. Il ce voyais réellement troublais pars le sujet .

«  Personne, ne me parle de mes parents … pour quoi j'ai ses visions que veux t'elle dire, êtres apprécier, sourire qu'es que tous cela je ne comprend plus rien … »

[Le Conteur Blanc]

*Et pendant ce temps-là, un client sirote son thé dans la plus grande indifférence quant au manège offert par Aren.*

-En voilà un serveur bien turbulent...

*Et on boit son thé gentiment.*