L'Ancienne Citadelle

[Yahto Parak]

Le moins qu'on puisse dire c'était que l'incident entre Amalia et le patriarche avait fait le tour de l'Ancienne. Cela agitait la cour du Donjon et les tavernes du Faubourg. On saluait l'audace de la jeune femme mais critiquait son manque de fermeté. Quand on met le pied dans le terrier du Chien-ours polaire, autant mettre l'autre avec énergie ! Mais bientôt, on se désintéressa de son sort.

Et tandis qu'un nouvel arrivant venait frapper à l'académie se trouvant être une aile du Donjon, Yahto Parak passait un moment... irritant en compagnie de son frère Wakiza.

-Je ne te félicite pas pour tes derniers éclats, mon frère.
-Comme tu me vois, mon frère, je n'en ai absolument rien à faire.

Wakiza fronça les sourcils et pinça les lèvres d'agacement.

-Tu étais censé lui parler, pas l'estropier !
-Quand on manque de respect au patriarche, il faut n'avoir rien à perdre ou être inconscient. Si alors elle n'en connaissait pas les conséquences, ce n'est plus le cas maintenant. Et cela aura le double avantage de faire un exemple. La populace en manque toujours.

Constatant que son frère se montrait borné sur la question, il retint un soupir de consternation.

-En tout cas, ce n'est pas ainsi que tu te trouveras une épouse digne de ce nom. Maintenant, tu vas te traîner une réputation d'homme violent et brutal.
-Maintenant que tu le dis, je n'ai plus autant de propositions de mariage. Hm. Décidément, cette petite correction n'a que des avantages !

Il parlait d'un ton rieur mais on sentait l'ironie sous-jacente, dure et inflexible. Wakiza roula des yeux et ajouta simplement.

-Des avantages, pour toi. Yatsuki s'est retiré dans la montagne pour méditer sur son erreur de jugement, en jurant de ne prendre aucun élève avant d'avoir trouvé une réponse satisfaisante ! C'est une catastrophe !
-Toujours à dramatiser ! Il n'est pas le seul maître dans l'Ancienne, voyons ! Ama et Ikki sont d'excellents enseignants.
-Mais...
-Il suffit !

Cette fois, il usa de cette inflexion d'autorité qu'il utilisait pour couper court aux geignements de son armée de bureaucrates.

-J'admets volontiers que tu te soucies de moi, de Yatsuki et de l'éducation martiale de nos chers petits mais ! Je ne souffrirais pas une seconde de plus cette conversation au sujet d'une personne jetée dans l'oubli et les ombres du passé. Suis-je clair ?

Wakiza ne put qu'acquiescer de la tête. Lui-même reconnaissait son étonnement devant le comportement de cette... écervelée. Et pourtant, il lui avait pourtant semblé voir un immense potentiel en elle. Quel gâchis.

-Bien. On se voit plus tard à la réception.
-Hm ? Pardon ?
-La fête donnée pour mon anniversaire ? Tu sais, la chose avec laquelle vous m'avez rabattu les oreilles pendant des semaines ?
-Ah oui ! En effet, oui ! A plus tard. Fais-toi beau, Père et Mère ne désespèrent pas de te trouver un bon parti !

Wakiza sortit sur les soupirs exaspérés de son frère cadet. Yahto se passa les mains sur le visage puis expira longuement. Tout cela lui pesait. Peut-être qu'une compagne, une amie et une alliée serait d'un précieux secours. Mais à cela, il opposait deux problèmes. Le premier était que la perle rare se faisait attendre. Et le second était qu'il avait une aversion pour la faune féminine et noble. Intéressée par le pouvoir et l'argent, elle ne se souciait guère de leurs responsabilité et s'imaginait pouvoir le séduire et en faire sa marionnette. Non ! Il n'était pas, et ne serait plus jamais ce genre de faible. Jamais.

[Guru givré]

YUKIKO

Dans l'aile du Sabre, il y avait des enfants de tous âges, adultes et plus âgés s'entraînant ensemble dans la rigueur et la discipline nécessaire à l'exercice de cet art. Les confirmés se battaient à arme réelle, mais la plupart du temps on utilisait des armes factices en bambou fendu, importé du royaume de la terre auparavant et maintenant de Falaise.

Aujourd'hui, maître Ikki enseignait. Depuis le départ de Yatsuki, ce n'était plus tout à fait la même ambiance qui régnait.

-Détendez vos épaules, élève Tolen. La force n'est pas la seule chose qui importe, plus de souplesse vous rendra plus rapide. C'est pour cela que l'élève Anana vous met en défaut à chaque fois. Elle est plus souple, plus rapide. Telle l'Unagi, elle frappe vite et fort.
-Maître Ikki ?
-Continuez vos exercices. Oui, Maîtresse Ama ?
-Voici un nouvel arrivant désirant apprendre nos façons de combattre afin d'élargir ses connaissances.

Intrigué, Ikki se tourna vers l'arrivant en question. Lentement, il le jaugea de la tête aux pieds avant d'enfin s'adresser à lui.

-Pourquoi désires-tu apprendre notre art ? Tu me sembles déjà bien instruit.

[Yukiko]

Aren qui avait trouvais l’académie, c’était tout de suite fais aborder après avoir présenté la raison de sa venus à l’académie. Il fut donc menais dans l’aile des armes ou la spécialité était semblerait ‘il l’épée, ses habilles était encore humide puent allégrement la sueur et la bête. Le givre avait cristallisé sur sa barbe naissante et son poncho, et comme si son visage c’était lui aussi figer avec le froid il garde comme à son habitude son air impassible avec son regard fais de son unique œil qui lui était aussi percent que celui d’une panthère des neiges.
Le lieu dans lequel était arrivé le vagabond n’était très spartiate, pas de motif sur les murs, ni de gravure. Rien même pas des tapisseries ou arme décorative, cela ne rendez pas les choses effectivement plus gaies. Mais ce n’était pas déplaire au vagabond qui était habitué à telle décoration, le bâtiment quant à lui était fait de pierre avec une Charpente de bois. Nous étions loin du côté traditionnel avec les maisons en glace, difficile a chauffer et entretenir, mais sa tenais face à tempête est marée.
Une foi devant l’homme qui semblait êtres le professeur, celui si l question a de pour quoi il venait le voir alors qu’il semblait déjà maîtrise.

- Non je suis encore un apprenti, il me reste beaucoup à apprendre. Et malgré le faite que j’ai déjà appris ailleurs, voir de nouvelle chose ou revoir d’une manière différant reste intéressent. Je recherche simplement la diversité…

[Guru givré]

YUKIKO

Maître Ikki toisa le nouveau venu. Il prit un faux sabre, le lui lança et lui désigna la jeune femme nommée Anana.

-Entraîne-toi avec Anana pour aujourd'hui. Elle est une élève prometteuse et devrait te convenir. Tu t'appelles... ?

L'élève Tolen salua sa partenaire puis alla faire équipe avec un autre camarade. Anana prit place face au nouvel élève et le salua avant de prendre position.

[Yukiko]

Aren attrape le bokuto, un magnifique sabre de bois qu’il regarda rapidement de son unique œil, puis partit vers le mur le plus proche pour se défaire de sa besace et enlever ses vraies armes qu’il a sur lui. Une foi son poncho enlevé il ce dirigea vers l’air de combat, lui aussi ce mit en garde seulement lui n’avait pas ce côté martial que dégager la jeune fille. Tenant de sa main gauche le bokuto, ce positionnant d’une manière des moins conventionnelles pars rapport à Anana, une main en protection de son tors et l’autre plus en avant le bokuto en mains et celui si non menaçant vers Anana mais la pointe visant plus l’épaule de celle si. Son regard perçant fixant son adversaire, se tenant prêt à tout mouvement réellement dangereux.

Gardent un souffle régulier et constant, le cœur battant pour l’instant calmement comme le combat physique n’était pas commençais. Pars contre celui de l’esprit lui venait de s’engageais, et il était plutôt intense.

« Quelle étrange posture, aussi droite et rigide… »

C’est dans le parfum de la sueur, des Cries des combattent et du bruis des bokuto qui s’entre choque que la tentions était palpable et que le combat commençait, en toute logique des choses beaucoup dirait que c’est le premier qui attaque qui perd et aussi qu’il y a sûrement des règles qui vienne d’un code qui veux que l’on attende que l’on attende un ordre pour commençais. Seulement notre vagabond lui ne connaisse rien de cela et pour ce que disais les gens, lui avait appris si on peut dire seul donc l’avis d’autrui il ne connaissait simple pas non plus.

Il était buste à trois quarts sur le côté tous comme ses pieds qui était appuyaient sur l’avant, comme prêt à bondir à tous moment son regard s’intensifie devenant celui d’un animal. Restant un instant de plus ressentent la tension qui en devenait palpable dans l’air, et fini pars attaque avant qu’un quelqu’on que ordre envoie ne sois donné. Bondissant d’un seul bloque de ses appuies, il fit glisse sa lame sur le cote de l’autre lame et d’un coup sec et rapide, tenta de rabattre sa lame sur celle de Anana; pour lui faire ainsi casser sa garde vers le bas l’empêchant toute contre attaque. Remontant vers la garde de celle si, maintenant au niveau de la taille, de son autre main il vient tenté de lui attrapé l’avant-bras droit au niveau du coude et relève d’un coup sec et ferme; ce qui d'un côté avec le sabre maintenue vers le bas et le coude relevais faisait une clef au niveau du coude ce qui le mettais en tension. Son buste de trois quarts sur la gauche avec un son pieds droit devant, qui vient lui s'abattre pour écraser la partie nerveuse du pied; c'est à dire à l'interstice du tibia et du pied au temps dire que bouger devenais douloureux . Terminant pour la déstabiliser de plus belle, un coup de tête directe avec le front dans le nez .

Terminant en la regardent le regard telle un prédateur, qui observe sa proies ....du sang qui a éclabousser du nez venant couler de son front .

[Guru givré]

YUKIKO

Ne prenant même pas le temps de vérifier si son nez allait bien, Anana lança son sabre d'entraînement en l'air et plongea en avant, faisant le poireau. Elle projeta ses jambes vers la tête de son adversaire, prenant sa nuque en étau avec ses chevilles. D'une puissante torsion, elle termina son ciseau en projeta à terre adversaire. Atterrissant durement sur son torse, elle l'immobilisa en appuyant tout aussi durement son son arme factice sur sa gorge. Le sang de son nez goutta près de son oeil unique.

-Ton nom ?

[Yukiko]

La regardent fixement dans les yeux, m'est acceptent la défaite il continua malgré tous à soutenir le regard de la jeune fille . le sang perlant sur son visage, sa mains toujours accrocher au bokuto .

- Aren ... Parlent d'un ton assez neutre restant dans l'esprit du combat .

" J'ai encore beaucoup à apprendre ..."

[Guru givré]

AREN

Anana resta un instant interdite puis elle relâcha la pression et se redressa, te tendant une main pour t'aider à te relever.

-Comme je l'ai dit, vous en savez déjà beaucoup. Mais vous êtes une tasse de thé déjà trop pleine pour apprendre quoi que ce soit. Comme je l'ai dit. Par ailleurs, casser le nez de mon élève n'était pas la meilleure des façons de vous vendre auprès de moi.
-Ce n'est rien, maître.
-Permettez-moi d'en douter, élève Anana.
-Venez avec moi, élève Anana. Je vais vous soigner.

La jeune femme suivit maître Ama mais salua son adversaire au passage.

-La prochaine fois, ce sera moins facile.

Le maître Ikki eut un soupir d'agacement.

-La chose qui manque à cette jeune fille, c'est la tempérance et un peu d'humilité. Vous en manquez également. Demander à apprendre puis montrer sa force, voilà qui est bien primaire.

[Yukiko]

Ce relevant de lui-même le vagabond soupira légèrement de douleur ce passant deux doigts lascivement sur la marque, regardent la jeune fille et hochant la tête pour la saluer. Puis reposant le bokuto contre le mur et ce dirigeant vers le maître. Ce massant doucement l’épaule encore elle aussi endolorie dans sa chute, son regarde restant de marbre aux remarques que lui faisait l’homme.

« Mmh j’ai encore du mal avec la logique humaine…sa parle, mais je ne comprends pas vraiment »

- Vous parlez comme maître Masaaraq, vous m’avez demandé de combattre je me suis battue. Ai-je mal agi ? Je ne comprends pas ou est ma faute.

Le combat avait semblerait-il attirait l’attention de quelque élève qui maintenant écoute la conversation qui ce passe entre ce nouvel élève et le maître.

- Je n’ai pas l’impression d’avoir temps appris pour temps … Vous ne voulez pas m’apprendre ?

Attendent impassiblement devant le maître, les mains se croisant dans son dos naturellement en position d’attente. Les élève commençait à discuté de la situation alors que d’autre restait silencieux, attendent la suite des évènements.

[Guru givré]

AREN

Maître Ikki écouta le vagabond et eut une expression consternée.

-Masaaraq a été votre maître et vous a dit exactement ce que je viens de dire ? Eh bien, Aren, étant donné que vous semblez refaire la même erreur, c'est que vous n'avez pas appris ce qui est nécessaire. Il n'est pas question que je veuille ou pas vous enseigner, encore faudrait-il que vous soyez capable d'apprendre. Voire plutôt, de nous comprendre.

Et, moi, ce que je ne comprends pas est votre... ardent désir d'apprendre notre art. Vous n'en avez pas besoin, vous savez visiblement vous défendre. Et très honnêtement, vous ne semblez pas... sociable. D'où ma conclusion, vous n'avez pas entrepris cette quête de vous-même.

Alors je reformule ma question : si vous ne vous sentez pas à l'aise et si vous ne comprenez pas vos semblables pourquoi les côtoyer ?