[Capitale]Place Centrale

[Kasen]

*Ne pensant alors plus qu'au délice de la viande tendrement préparé, la jeune femme ne saisit pas vraiment l’importance des quelques phrases que Shloka daigne lui offrir après son dialogue, pendant qu'elle demendait aussi aimablement qu'elle pouvait si Kuro savait quoi que ce soit sur un hypothétique magasin d’apiculteur.*

/Myuuhm, du Croco-Tigre Miellé, on va se faire plaisir. D'ailleurs Surah n'a jamais du goûter à ça. Mais attend l'autre avait pas parlé d'autre chose ?/

Ah ? Dommage des toits on voit beaucoup mieux où on court en ligne droite. Les ruelles ne coupent pas notre chemin. Je ne vol jamais non mais oh ! Et enfin pour l'autre machin ... règles ça avec qui tu veux, je ne sais même plus de quoi il s'agissait alors ça ne devait pas être si important. Sinon Kuro oui quoiquoi ?

/Qu'il est primitif, toujours à penser à manger. C'est pas comme si on avait pas partagé un repas un tout petit peu plus tôt dans la journée . . . Rustre !/

Eh bien moi je veuuux ... Je passe ! (Ce qui fait que je n'ai pas perdu) Choisis donc Shloka.

*Elle prit alors dans le sac sur le dos de Surah, une belle pomme qui lui restait de ses courses précédentes et, en la donnant à Kuro, dit d'une voix douce.*

Manges donc à ta faim, fais juste attention à ne pas finir gros. A force de manger hein ... En plus de devenir moins performant.

[Shloka]

IV.10

*Shloka écoute Kasen avant de lui répondre*

Ah ? Dommage des toits on voit beaucoup mieux où on court en ligne droite. Les ruelles ne coupent pas notre chemin. Je ne vol jamais non mais oh ! Et enfin pour l'autre machin ... règles ça avec qui tu veux, je ne sais même plus de quoi il s'agissait alors ça ne devait pas être si important. Sinon Kuro oui quoiquoi ?

Bon pour les toits, j'admets que c'est sans doute idéal pour la vue mais pas vraiment apprécier en pleine ville de se balader dessus, d'accord ? Je te fais confiance, je te dis juste ce qu'on ne peut pas faire, nul doute qu'une guerrière de ton acabit ne s'abaisse pas à voler. Si le troisième est très important, tu ne dois pas faire usage de violence envers autrui que ce soit par le corps ou la parole ! C'est très important !

*Shloka se retourne vers Kuro et l'écoute*

Ah, c'est ton cousin? Je croyais que c'était ton frère, ou quelque chose du genre.. Il a l'air sympathique..

Il est vrai que nous nous ressemblons mais c'est parce que sa mère vient du pôle nord tout comme mon père. Du coup notre peau se ressemble beaucoup mais outre ces détails, c'est vrai qu'il a été comme mon grand frère quand j'étais petit mais vu que je n'avais pas beaucoup de vacances à cause de mon entraînement, je ne l'ai pas souvent vu. Sympathique, oui bien sûr mais intraitable en affaires *dit Shloka avec humour* non il est très sympathique et je l'apprécie beaucoup.

Je ne sais pas trop.. Kasen voulait du miel, on pourrait peut-être l'aider à en trouver? Tu dois savoir où en trouver! Sinon, on peut toujours aller manger, j'ai un petit creux.. Bref, toi, qu'à tu envie de faire, Kasen? Et toi, Shloka?

Eh bien moi je veuuux ... Je passe ! (Ce qui fait que je n'ai pas perdu) Choisis donc Shloka.

*Alors que Shloka réfléchit un bref instant, il entend Kasen dire quelque chose à Kuro alors qu'elle lui tend une pomme*

Manges donc à ta faim, fais juste attention à ne pas finir gros. A force de manger hein ... En plus de devenir moins performant.

/Pas très sympathique comme remarque mais elle a raison, on a mangé il y a moins d'une heure et un sacré repas en plus. D'ailleurs je devrais faire moins la prochaine fois, trois poulet-souris c'était trop, juste deux ce sera parfait !/


Du miel ? Et il y a un stand juste-là qui vend des pots de miel pour 20 yuans vous savez... *shloka leur indique le petit stand un peu plus loin avant de continuer* Je propose un retour au dojo pour nous entraîner.

[Kasen]

Miel me voici !

*Partant alors à toute allure dans la direction indiqué par Shloka pour s'acheter son fameuse ingrédient : Elle perd la notion de l'importance des 20 fameux yuans le pot et commande à la vieille tenancière du magasin 4 portions moyenne et un joli sourire*

#Le votre suffit amplement pour toute une belle journée jeune fille, *dit elle en se mettant à sourire les yeux rieurs* et ce sera tout ? Ces messieurs voudraient-ils peut-être eux aussi quelques douceurs ? #

# Merci bien madame cela suffira. Kasen, ton sac peut potentiellement t'être utile ?
*Il lui donne alors, en s'avançant d'un pas sur, le sac qu'il avait bien gentiment ramassé alors qu'elle même n'y avait pas pensé après s'être faite blâmer par le soldat un peu plus tôt.*
Enfin pour ce que j'en dis, laissez moi donc payer madame. Voici les 80 Yuans, et je vous souhaite aussi une très bonne journée. #

Oh, merci c'est gentil. Tu vois, tu deviens progressivement mon responsable de la cuisine ! Dans deux ans quand je gouvernerai le monde, tu auras ta place toute trouvé, à ma droite et aux fourneaux. D'ailleurs en parlant de nourriture, tu sais faire le Croco-Tigre au Miel ?

*Elle se mise à le regarder dans les yeux comme si elle voulait le scruter jusqu'au plus profond de son âme, cherchait-elle à voir s'il allait mentir ? Comment il allait réagir à cette demande ? De quelle couleur était son Âme ? S'il pensait à elle nue ? Non, bien plus simplette que ça, elle se demande si l'histoire de la transmission de pensée marchait encore !*

/"Oui et j'adorerai te faire goûter ma recette !" "Oui et j'adorerai te faire goûter ma recette !" "Oui et [...]" Ca doit marcher à un certain nombre de fois ... j'en suis à 5 allez encore une ! "Oui et j'adorerai te faire goûter ma recette !"/

[Shloka]

IV.11

*Suivant Kasen du regard alors qu'elle se dirigeait vers l'étal, il remarqua qu'étourdie comme elle était, elle avait oublié son sac à terre. Shloka le ramassa et se dirigea vers l'étal. Il vit Kasen et la vendeuse discuter un peu alors que lui et Kuro se rapprochaient*

/je peux bien lui offrir ça, ça lui fera plaisir/

Ces messieurs voudraient-ils peut-être eux aussi quelques douceurs ?

Merci bien madame cela suffira. Kasen, ton sac peut potentiellement t'être utile ? Enfin pour ce que j'en dis, laissez moi donc payer madame. Voici les 80 Yuans, et je vous souhaite aussi une très bonne journée

Oh, merci c'est gentil. Tu vois, tu deviens progressivement mon responsable de la cuisine ! Dans deux ans quand je gouvernerai le monde, tu auras ta place toute trouvé, à ma droite et aux fourneaux. D'ailleurs en parlant de nourriture, tu sais faire le Croco-Tigre au Miel ?

*Kasen commença à regarder Shloka dans les yeux avec insistance en pleine place publique*

Voyons les jeunes allez faire ça en privé. Vous serez plus à l'aise *dit la vendeuse avec un regard très sympathique et un clin d'oeil qui sous-entendait beaucoup de choses*

/Hein ? Comment ça ? Elle sous-entend que moi et Kasen, Kasen et moi..../

*Shloka devint aussi rouge qu'une tomate présentée sur l'étal juste un peu plus loin et nous tairons où ses pensées ont dérivées car cela reste du domaine privé de la vie du jeune homme. Néanmoins nous pouvons dire que cela le concernait aux côtés de Kasen dans de nombreux endroits romantiques et que généralement cela se concluait par un baiser mais comme vous vous en doutez mais revenons-en au vif du sujet car cela dura moins d'une dizaine de secondes*

/Vite trouver une solution, trouver une solution... Tilt !/

*s'adressant à Kasen avec non pas son calme habituel mais un entrain non caché*

Du croco-tigre au miel ? Bien sûr ! Profitons du marché pour acheter les aliments nécessaires.

*Shloka offrit son bras à Kasen qui l'attrapa au vol mais que dire de plus. Pensez-vous qu'il y eut une ballade ? Oh que non, la force de la belle était telle que c'est elle qui décida où aller. De son regard d'aigle elle avait repéré différents étals qu'elle souhaitait visiter et c'est avec entrain qu'elle emmena ce dernier là où elle le désirait*

Shloka, regarde il a l'air bon ce croco-tigre ! *lui dit-elle en pointant du doigt un superbe bestiau tout frais de 5 bons kilos*
Pardon Monsieur, combien pour ce croco-tigre ? *demanda-t-il à un vendeur sympathique*
*Celui-là mon bon monsieur ? C'est 80 yuans le kilos. Attendez je vous le pèse et voilà 5 kilos et 223grammes mais on va dire 400 yuans pour vous *dit-il avec un sourire purement commercial*

/400 yuans pour ça ! Bon je vais en discuter avec Kasen/

*Il se tourna alors vers la jeune femme et vit ses yeux qui dévoraient déjà le morceau sanguinolent de viande dans son esprit*

/Bon allez c'est pour elle, je sais que ça va lui faire plaisir/

Très bien, je vais le prendre, vous me l'emballez s'il vous plaît ?
Bien sûr monsieur

*L'échange se fit quelques secondes après. Shoka reçut un superbe sac en papier cachant un superbe morceau de croco-tigre alors qu'il donnait 400 yuans au vendeur*

Merci beaucoup, bonne journée
Vous de même *lui dit le commercial avec son éternel sourire de façade*

*Kasen entraîna Shloka à divers endroits du marché. Dès que quelque chose l'intéressait, c'était acheté dans les secondes qui suivaient. Apparemment donner son bras à Kasen était synonyme de "tu vas bien me l'offrir, non ?" mais ça le jeune homme l'ignorait encore et toujours. Heureusement pour lui d'ailleurs dirons-nous. Kuro suivait le duo qui attirait tous les regards. Il faut dire que les deux concernés étaient trop occupé pour entendre les remarques de certaines personnes qui trouvaient pour certains ce jeune couple adorable et d'autres qui se plaignaient que de leurs temps, on ne s'affichait pas ainsi mais en même temps, Kasen passait son temps à courir avec Shloka au bras puis à s'arrêter brusquement devant un stand quand quelque chose l'intéressait. Alors dès que cette dernière bavait littéralement sur les achats, Shloka allongeait la monnaie pour cette dernière et Kuro tentait de rattraper ses amis. Heureusement faut-il le dire, Le faucon-lion de Kasen planait dans les airs et ne causait nul tort à quiconque*

*Finalement après un petit temps, ils s'arrêtèrent non contents d'avoir rendus heureux plus d'un marchand après avoir acheté d'innombrables victuailles. Le sac de Kasen était maintenant bien plein*

Kasen ?

Moui Quefque tu veux ? *lui répondit-elle alors qu'elle mâchait la bouche pleine ce qui semblait avoir été une pâtisserie*

On fait quoi maintenant ? On va au dojo ?

Lieu Suivant

[Kasen]

Le doch ...!!

*S'étouffant alors, Kasen se lamina l’abdomen de coups de poing pour faire passer le gâteau de flocon de feu qui avait décidément du mal à descendre.*

Pardon, oui le Dojo ! Il faut qu'on y retourne Maître Hiruma avait dit que je pouvais revenir après la pose de midi ! Il est quoi 14 heure ? ... Ah ça va je suis pas trop en retard alors. Mais on a pas oublié ... SURAH !!

*Elle regardait partout à la fois, aussi vite que la lumière pouvait permettre de voir, en une fraction de seconde elle avait observé toutes les parties terrestres et vain ... C'est alors qu'elle vit une ombre au sol, comprenant que Surah n'avait pas recommencé à marcher sur les toits mais n'avait tout bêtement que prit son envole, elle se mise alors à se calmer, apaisant la colère si brusquement monté en elle. Depuis qu'il la connaissant, c'est à dire à peu près quatre heures, Shloka ne l'avait jamais vu si énervé. Ce fut comme si Surah était le seul trésor de cette femme à peine plus mure qu'une fillette commençant son adolescence, et qu'elle vit ce même trésor se faire voler sous ses yeux sans pouvoir le retenir de ses mains.*

Aah, c'est bon. Évites de la regarder sinon les greluches vont encore gueuler comme des tarés qu'un Griffon maudit veut les manger. Bande de paranoïaques. Elle ne fait pas peur ma Faucon-Lion adoré hein ? Tu me le dirais sinon ?

*Faisant des yeux de chienne battue cherchant de la pitié pour qu'on aille dans son sens, Kasen regarda Shloka sans détourner ses jolies yeux mais tira pourtant son bras dans la direction du Dojo.*

Suite au Dojo.

[Gutenplud]

*Fraîchement arrivé du port, Wenjin se retrouve sur la place centrale. Il s'arrête quelque instant, hôte son capuchon et son foulard. Il se rappelle alors ses jeunes années où, avec sa mère, il venait faire des emplettes dans ces boutiques.

Il se dirige vers l'une d'entre elles et y achète deux pommes. Il en fourre une dans sa tunique et croque dans la deuxième. Wenjin vagabonde sur la place au gré de ses souvenirs.

S'approchant petit à petit d'un autre endroit cher à sa mémoire, l'Ambassade des Nomades de l'Air. Il s'arrête devant et la contemple avec un petit sourire en coin. Combien de fois avait-il rendu son père fou à courir dans ses couloirs.

Son attention n'est pas d'y entrer, et puis son père étant à la retraite, il n'a pas plus de droit qu'un citoyen lambda. Il préfère diriger ses pas vers le quartier résidentiel, mais un soupçon de regret peut se lire sur son visage.*

/J'espère qu'ils ont reçu mes missives, sinon je suis bon pour me prendre un de ces savons. C'est drôle mais même après toutes ces années, en colère, elle me fait toujours aussi peur./

*Avec cette pensée, il ne peut s'empêcher de rire de lui-même et s'esclaffe, plusieurs badauds se retourne. Mais sans y prêter la moindre attention et sans éprouver la moindre honte, il continue son chemin vers le quartier résidentiel.

[Nefken]

*Yiwang avait déambulé dans les rues de la Capitale depuis le quartier militaire. Une fois arrivé sur place, il se rendit dans une petite boutique dotée d'une enseigne décolorée et vétuste sur laquelle on pouvait lire : "Le Guerrier". Il poussa la porte, ce qui fit tinter une clochette. Un homme d’âge avancé arrivait en hâte depuis l'arrière-boutique, surpris d'entendre la cloche.*

*En effet, la ruelle dans laquelle se situait sa boutique était peu fréquentée et généralement, personne ne remarquait sa petite boutique. Seuls ceux qui connaissaient la qualité de son travail passaient le voir... et ils n'étaient pas nombreux. Lorsqu'il posa les yeux sur son potentiel client, son visage sembla s'illuminer. Il avait bien sûr reconnu le jeune Yiwang, même s'il n'était pas passé depuis longtemps.*

*La première fois qu'il avait vu le jeune homme, il y a de cela 2 ans, il semblait perdu dans la capitale et... seul. Le hasard avait mené Yiwang dans sa boutique ce jour-là car il connaissait très peu la ville. Ses pas l'avaient mené dans la ruelle et, il avait entendu du bruit dans le magasin, ce qui l'avait poussé à entrer. Il avait alors trouvé le vieux marchand derrière son comptoir, acculé par un homme qui souhaitait sans aucun doute le contenu de la caisse.*

*L'homme en question n'était pas armé, il ne s'attendait pas à que quelqu'un entre. L'arrivée de Yiwang l'avait surpris et compromettait largement son entreprise, même si le jeune homme semblait davantage perdu que dangereux. Yiwang n'avait pas bougé et ne semblait pas enclin à faire quoi que ce soit ce qui agaçait d'autant plus l'homme : il ne pouvait affronter deux hommes à la fois, surtout qu'il se disait du vieillard qu'il était moins inoffensif qu'il en avait l'air.*

*L'homme, prit de court avait ainsi, ce jour-là, renoncé à son butin et était parti sans demander son reste. Il s'était fait arrêter quelques jours plus tard pour vol à main armée mais c'est une autre histoire...*

*Yiwang avait donc, sans le vouloir, empêché cet homme d'accomplir son méfait et de léser le vieil homme. S'ensuivit une conversation :*

- Qui es-tu donc jeune homme ?

- Je m'appelle Yiwang, monsieur.

- C'est le ciel qui t'envoies mais pourquoi donc es-tu rentré dans cette boutique ?

-Je m'étais perdu…

- Je vois, nouveau dans la capitale, hein. Mais, où est ta famille ?

- Je l'ai quittée il y a longtemps, ces gens me détestaient. Depuis, je survis.

Tu ne survivras pas bien longtemps si tu continues comme ça... Même si ce n'étais pas volontaire tu as failli te mettre dans de beaux draps. Au fait, je suis Mashito Kayabura, humble propriétaire de cette boutique. Dis-moi, aujourd'hui, tu as sauvé une partie de mes richesses, je te suis donc redevable, qu'est-ce qui te ferais plaisir ?

*Ce n'est qu'à ce moment que Yiwang avait pris le temps de regarder les objets posés sur les étagères. Il s’agissait d'armes, armures... Bref, tout le nécessaire mentionné dans "Le parfait combattant". Yiwang avait désiré plusieurs de ces objets car, ces armes lui semblaient de bonne facture, mais il n'en avait pas l'utilité, du moins pas encore, il avait répondu au vieil homme.*

- C'est inutile, je n'en ai pas l'utilité. Gardez vos biens.

- Dommage... Un jeune homme tel que toi... Tu pourrais faire des ravages avec ces dagues de lancer... Ou cette épée...Tu sais quoi, on va trouver un arrangement. Je ne peux pas croire qu'un jeune homme comme toi ne devienne pas un combattant exceptionnel, alors, le jour où tu en aura besoin repasse par la boutique et je t'offrirais ceci...

*Il désignait alors une splendide armure rouge et noire avec un sabre.*

- Elle appartenait à mon fils, mais les sauvages qui ont attaqués le campement de sa troupe ne lui ont même pas laissé le temps de la mettre.

*L'évènement semblait passé depuis longtemps car s’il réveillait une émotion en lui, l'homme ne la laissait que peu paraître. Yiwang avait, ce jour-là, accepté l'offre du vieil homme, et était reparti à la découverte de la ville, supposant qu'il ne viendrait jamais réclamer son dut.*

*Il était revenu plusieurs fois voir le vieil homme qui à chaque fois espérait offrir sa récompense à son protecteur d'un jour, mais à chaque fois Yiwang exécutait quelques tâches mais ne mentionnait pas de futures batailles, seulement quelques rêves d'aventures qui semblaient irréalistes.*

*Mais, aujourd'hui, c'était bel et bien pour dire adieu au vieil homme qu'il était venu.*

- Mashito, je suis heureux de vous revoir. J'ai une bonne nouvelle pour vous, j'ai suivi vos conseils de la dernière fois et je suis allé au Dojo m'exercer.

- Alors ? C'est incroyable cette sensation que l'on ressent quand on se bat, n'est-ce-pas ? En tout cas, je suis fier de toi. Je te vois perplexe, y a-t-il autre chose ?

- Je suis venu vous faire mes adieux, je pars tout-à-l’heure en bateau, je ne peux rien vous dire de plus mais j'ai trouvé une place dans l'Armée...

- L'Armée, toi ?!?! Je croyais que tu avais abandonné tout espoir pour la Nation du Feu...

- C'est toujours le cas, je me suis arrangé avec un homme, je trouvais son idée étrange mais, il a un projet et ne semble pas vraiment patriote, je verrai bien ce qu'il a derrière la tête, ça peut être intéressant.

- Je vois... Dans ce cas, je suppose que tu es venu réclamer ce qui te revient... Elle est là-bas, dans l'arrière-boutique. Suis moi.

*Yiwang suivis le vieil homme jusque dans l'arrière-boutique. Celui-ci désigna l'armure magnifique et demanda au jeune homme de l'enfiler. Yiwang le fit, elle lui allait très bien, et si le marchand eut un pincement au coeur quand il la vit sur lui, il n'en laissa rien paraître. Yiwang n'était pas devenu un fils adoptif mais il était le jeune homme avec lequel il s'entendait le mieux dans toute la ville et le seul qui écoutait ses conseils.*

- Tu es magnifique. Alors comme ça tu t'en vas ce soir. En tout cas, c'est gentil de ta part d'être revenu me voir.

- Je compte aller au Dojo, méditer, me remémorer les évènements de ces derniers jours avant de partir. Ça me fera du bien. Et je ne puis te remercier autant que cette armure le vaudrait, alors :
Merci, monsieur Kayabura. Et adieu.

*Il avait prononcé ces mots en saluant très bas le vieil homme, signe d'une reconnaissance infinie, de façon solennelle.*

- Je t'en prie Yiwang... Si tu n'avais pas été là ce jour-là... Bref. Puisse le courage et la détermination être tes alliés pour toujours. Adieu.

*Le vieil homme respecta le choix du jeune homme en lui faisant des adieux solennels, même s'il aurait préféré prendre le jeune homme dans ses bras.*

*Après ses derniers mots, Yiwang sortit de la boutique, avec une détermination et une posture nouvelle. Il fit une pause, il paraissait plus imposant et dangereux qu'il ne l'était il y a vingt minutes, et beaucoup plus que la première fois où il avait passé le pas de cette porte. Il reprit sa route, en direction du Dojo, l'après-midi était à peine commencée, et il comptait bien en profiter.*

HRP : L'armure

[Felixzuko]

*En arrivant à la place centrale, Kuro marcha quelques instants, puis il trébucha sur quelque chose et tomba sur.. l'affiche du Renard, le célèbre voleur..*

/Le Renard?.. Grrr, [s]il me semble que c'est le fils de[/s]Encore un brigand comme la Main Rouge, celui qui a assassiné mes parents.. jamais je ne pourrai supporter ce sourire sur son masque.. Ah? Sa tête a augmentée de 200 yuans.. Elle est maintenant a 5200 Yuans!!!

*Il regarde l'affiche de plus près, puis a l'impression que le Renard le fixe droit dans les yeux..*

/J'ai comme un mauvais pressentiment.. je crois que je devrais rester sur mes gardes aujourd'hui..

*Il avance dans la place centrale, comme s'il attendait quelqu'un, prêt à se battre.. Lorsque tout à coup......*

[Gutenplud]

* Venant tout droit du quartier résidentiel, Wenjin vagabonde sur la place et passe devant des boutiques par-ci par-là. Il cherche surtout à réfléchir et depuis des années, le meilleur moyen pour lui, c'est la marche. *

/ Mince, comment je peux leur annoncer ça ? Bon pour le père ça va aller, je crois, mais pour mère…aïe,aïe,aïe… elle va me trucider en petit morceaux. /

* Toujours l'air pensif, il continue son errance le long des petites rues qui bordent la place, relevant de temps à autre la tête sur les choses qui peuvent l'intéresser. *

/ Bon après c'est ma décision, je ne suis plus un gamin… mais bon sang s'il y a bien une personne sur terre que je ne veut jamais voir souffrir c'est bien elle. Il faut absolument que j'essaye de passé le maximum de temps avec elle, jusqu'à mon départ du moins. J'espère que ça réduira les chocs. /

* Wenjin ne sortit de ses pensées que lorsqu'il s'aperçut du déclin de la lumière. Il a passé toute la journée à se balader et à réfléchir. Mais à l'heure actuel un autre problème retient son attention, son ventre réclame famine. *

/ Ma foi, je peux toujours aller grailler un morceau au Dragon, je me demande si c'est toujours Zed, le proprio… Allez, une spécialité comme au bon vieux temps, j'en salive d'avance. /

Aussitôt dit, aussitôt fait, et le voilà parti pourl'auberge du "Dragon de Feu".

[Piggy92]

* Ianz pénétra dans la place centrale et regarda autour de lui , il recherchait son cousin, celui-ci lui ayant indiqué qu'il se rendait à la place centrale. *

/Mais où peux-t-il bien être ?/ *Pensa-t-il *

*Soudain, il entendit une voix et il se retourna. Il vu alors son cousin, Kuro*

Iaaaanzzz!! C'est si bon de te revoir!!

Kuro!! Moi aussi, je suis très heureux! Qu'y a-t-il?

Tu te rappelles de l'assassin de mes parents? Eh bien, [s]s[/s]en voilà un autre dont la tête a été augmentée a 5200 yuans!

/5200 yuans? C'est beaucoup!/

Tant mieux pour lui! Il mérite que justice soit faite.. [s]malgré que c'est son père[/s] Même si c'est un autre qui a commis le meurtre de nos parents..