Le dédale

[Le Tribun]

QUAN LAO

Tandis qu'ils partagent le dessert, Quan peut voir que la jeune boulangère tente de dire quelque chose... Mais quand elle tente de parler, son visage prend un air contrit et elle secoue la tête pour retourner immédiatement à la dégustation de son dessert.

[Quan Lao Tsu]

Quan fronça les sourcilles au moment même où notre jeune jouvencelle ne sembla avouer son sentiment coupable. Quan dans sourire enjôleur, pris la main de la belle demoiselle et mangeant le contenu de la cuillère à sa place. S’attendent aux réprimandes il lui embrassa la main, et captura un instant son regard du sien.

- Vas-tu me dire, ce qui te gènes autant à ce point ?

Et d’un revers de la main il lui retira le morceau de glace qu’il lui restait sur le coin de la lèvre, avant de lui-même porter ce doigt à ses lèvres.

[Le Tribun]

QUAN

Gênée, même après le geste romantique de Quan, la jeune fille arrive à dire:

Je me demandais... Comment c'était arrivé... Tes jambes ?

Elle lève les mains, inquiète.

Si tu n'as pas envie de me répondre, je comprends !

[Quan Lao Tsu]

Quan ce recula dans sa chaise et eu un bref sourire en coins, puis ce voulant rassurant il garda un air décontracté et calme.

-Cela fait un moment déjà, tu devais être un peu jeune peut-être pour avoir lu l’information au journal ? Tant mieux de toute manière, les médias m’avaient descendu, je soupçonne un pot de vin pour ça d’ailleurs. Enfin, c’est une autre histoire. Ce qu’il y a à savoir c’est que ce jour-là cela aurait pu arriver à n’importe qui, il pleuvait, la nuit était bien avances et c’est là, là qu’un chauffard m’a percuté de plein fouet.
De ses mains il mime l’action, semblant détacher de l’évènement, comme si celui-ci n’avait pas d’importance, et pourtant, c’est celui qui a clôturé sa carrière de champion en probending.
- Je ne souviens plus ensuite…le bruit, les gens autour, j’avais froid, ne ressentant plus rien. Je me suis réveillé à l’hôpital, mon grand-père était là, et quand j’ai voulu me relever… il me manqua quelque chose. On m’a alors expliqué que l’on m’avait amputé de mes deux jambes, l’infection m’aurait tué si non, et je serais donc mort. Voilà toute l’histoire.

Mais ça c’était un mensonge, là n’était pas toute l’histoire, car, le jeune homme qui ne pouvait plus marcher a appris à voler à l’aide de ce cadeau maudit qu’il a eu de son grand-père. Il prit le digestive et en but une longue gorgée avant de le poser sur la table.

[Le Tribun]

QUAN

Elle tend les mains vers Quan et caresse les mains de l'horloger.

-Franchement, tu sais, t'es vraiment impressionnant ! Traverser ça et en sortir comme tu l'as fait... Tu es quelqu'un de fort, Quan.

Elle lui sourit, pleine de compassion sincère.

[Quan Lao Tsu]

Lui rendent un beau sourire sincère, il lui repris les mains dans les siennes et viens le lui embrasser. La fixant d'un doux regard.

- Il le faut bien, pour porter les problèmes des autres il faut pour cela sois même porté ses problèmes. On peut le résumer ainsi, sois fort pour toi et encore plus fort pour les autres.

Il recula quelque peut et vérifia la note du repas, sortant l'appoint il y laissa un petit pourboire. Il recula avec sa chaise et refis un petit sourire a la jeune fille.

- Bien, que pensez vous d'allez terminé ce repas autour d'un thé, chez vous. Cela sera plus intime.

Il plissa les yeux de malice à ses mots, étirant son sourire à celui d'un sourire mutin.

[Le Tribun]

QUAN

-Merci pour le repas Quan, c'était très bon et j'ai passé une excellente soirée.

Elle tique quand elle entend l'invitation de l'horloger. C'est quand même un peu impoli et pas galant ce que Quan vient de lui proposer. Elle répond, plus froide qu'avant.

-D'habitude, c'est à l'homme d'inviter la dame chez lui pour terminer la soirée...

L'ex-pro-bender vient de perdre des points.

[Quan Lao Tsu]

- Il est vrais, mais pour quoi dois ton à tous pris respecter les codes et tradition, mise en place pars nos aînés ? Pour être tous à fais franc avec vous ma cher, mon grand père n'a qu'une modeste maison, et je ne vie que dans les combles de celle-ci. J'ai pensée cela indigne d'une tel perle de beauté, tel que vous, de vous proposez de vous y invité.

Il tourna son siège et puis passant une mains dans ses cheveux, lui proposant ensuite son bras pour qu'elle y dépose sa mains. Il était prêt à partir.

[Le Tribun]

QUAN

La demoiselle dépose sa main sur le bras de Quan. L'ex pro-bender peut toutefois sentir qu'elle ne fait ça que par politesse. Elle semble fermée.

-Allons-y !

[Quan Lao Tsu]

Sortant du restaurant, ils sortirent tous deux et sur le chemin il pur commençait la conversation. Quan avait bien sentie qu'il avait refroidie sa compagne du soir. Pour cela il allait devoir être plus charmeur que jamais.

- Je vous sens gênés de la situation, alors laisser moi vous montrez où j'habite. J'aimerais tous de même vous montrez, et je vous raccompagnerez ensuite chez vous, pour la tasse de thé nous verrons si vous êtes plus d'humeur. Cela me peinerais de vous laissez seul rentrée dans la nuit.

Il lui souris confiant en lui et avec un air désoler, on pouvait sentir qu'il regrettait ses mots, de les avoir formuler ainsi. Lui caressent la mains il le lui embrassa, tendit qu'il continué de marché pour l'un et rouler pour l'autre.