La Toundra

[Guru givré]

REKIN / FIDY

La maman ours-chien polaire s'apprête alors à vous poursuivre quand des grognements familiers lui parviennent. Elle se retourne et guette l'horizon. Une silhouette accourt, elle se redresse et la reconnaît. Oubliant totalement ses ex-futures proies, elle s'élance pour aller à la rencontre de son petit qui revient bien vite dans le giron de sa mère. Ils se retrouvent, ils se font des papouilles etc. Mais écoutons plutôt ce qu'ils se disent, cela doit être passionnant, cela ne fait aucun doute.

-Grrrooarrr !
-Grrrrooarrrag !!
-Grr ?
-Groaaarggr !
-Graaaorg ?
-Grooarrarraaoor !
-Graor graorrraoor !

Pour plus de facilité de compréhension, nous userons du traducteur Google.

-Petit museau !
-Maman !!
-Est-ce que ça va ?
-Oui ! Mais j'ai eu peur !
-Tu sais ce que te voulait ce deux-pattes ?
-Pas du tout, mais d'habitude, ils ont plutôt peur de nous !
-Oui, mais certains sont fous. Allez rentrons !

Mais, mais c'est sans aucun intérêt tout ça....
Et donc, Rekin et la jeune Fidy s'en allèrent vers de nouvelles aventures ne réalisant pas tout de suite qu'ils n'étaient plus poursuivis par la maman chien-ours polaire.

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IBURI

Des manteaux blancs s'affairent autour des restes de cadavres.

-Qu'est-ce que tu en penses, Coco ? On dirait qu'ils ont été découpés à la scie.

La femme se relève et retire ses lunettes en corne la protégeant de la réverbération de la neige.

-Je ne sais pas, Christian, mais le moins que l'on puisse dire... c'est qu'ils ont été refroidis.

Et là, c'est le drame.

-Roh, putain, le con... Karl ! KARL ! Non ! NON !
-MEEEEE-CREAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANT !

-Mais qu'est-ce que... ?!

Coco échange un regard avec Christian avant de sortir une corne de son manteau et la porte à sa bouche.

-Yves ?! *bruit de friture* Ici, Coco. *bruit de friture* Que se passe-t-il dans le secteur ouest ? A vous !
-Chef ? Je suis juste à côté de vous. Et pourquoi vous parlez toujours dans cette corne en faisant un bruit de friture ?
-Ça ne vous regarde pas et vous n'avez pas répondu à ma question, lieutenant Yves.
-Ouais, bon... il semblerait qu'un individu non-identifié ait franchi la ligne jaune que Karl était en mettre en place autour du périmètre, comme vous l'avez ordonné... chef.

Les deux manteaux blancs pâlirent jusqu'à faire passer pour gris la fourrure de leur uniforme. Coco sortit sa corne et parla à nouveau dedans.

-Roh, putain, le con !
-Lieutenant Yves, code gris ! Code gris ! Je répète à toutes les unités ! Ceci n'est pas un exercice ! Je répète, ceci n'est pas un exercice ! Code gris dans le secteur ouest ! Groupe d'intervention, je vous veux sur les lieux maintenant ! ALLEZ ! ALLEZ ! ALLEZ !
-Chef ? Ils sont juste à côté.
-Je ne vous entends pas, lieutenant Yves *bruit de friture* Ça *bruit de friture* coupe !

Coco, Christian, Yves et toute leur suite de blogueuses de mode sur les talons, ils foncèrent pour aller arrêter ce qui semblait être l'équivalent de la fin du monde (mouarf).

Le manteau blanc qui installait précautionneusement son ruban jaune où il y avait distinctement marqué dessus "Scène de crime - Ne pas dépasser cette ligne", Karl donc, se jeta sur Iburi en grognant, ouvrant grand la bouche, vociférant, prêt à en découdre. Tandis que Jean-Paul, catastrophé, le voyait s'abattre sur le parent éloigné du chef Kaya comme un rapace des pics sur rattatac. Ou quelque chose comme ça.

Iburi ne pouvait décemment prévoir ce type de réaction et se prit un Karl pas -du tout- content dans la gueule. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il aurait bien besoin de... points de couture.

[Leviathan]

AREN

C'est silencieux depuis plusieurs jours puis un bruit lointain, qui t'est totalement étranger, semble se rapprocher. Tu t'approches de la porte et colle ton oreille à la porte de pierre. Un certain remue-ménage a lieu de l'autre côté. Cela se bat, pas loin mais pas proche non plus.

Quelqu'un arrive et la porte bascule. Leviathan apparaît sur le seuil de la porte, ses sabres crochets en main.

-J'ose espérer que tu n'as rien à voir avec ces enquiquineurs ?

Il demande d'un ton posé, mais ferme où sourde une légère menace.

[Iburi]

*Un des poseurs s'était jeté sur Iburi avec force, ce dernier ne s'y était pas du tout attendu.*

-Ah !

* Iburi se fait donc lyncher dans la joie et la bonne humeur par un espèce de taré qui est pas bien dans sa tête. Il n'a guère le temps de parer les coups.*

-NAN MAIS OH !

*Oui, Iburi ne comptait pas non plus se laisser faire, aussi il claque des mains sur le sol et un pilier de glace se lève brusquement derrière-lui, lui et son nouveau copain sont propulsés en avant, mais plus l'autre que lui quand même. Iburi retombe sur le sol, serrant les poings et faisant fi de la douleur.*

-Ah ! Tu as réveillé la bête qui est en moi !

*Il frappe du pied sur le sol pendant que le décor de la belle scène de crime se déforme.*

-Et je vais te mettre une dégelée !

*Frappant du nouveau sur le sol, Iburi est projeté vers son adversaire à pleine vitesse alors que du givre se forme sur son poing.*

-PAR MON POING DANS TA GUEULE !

*Et paf ! Dans la caboche !*

[Yukiko]

Leviathan

Le Leviathan venait d’entrait dans la chambre de son inviter arme à la main, il semblait quel que peux troublait sûrement à cause du conflit que l’on pouvait entendre à l’extérieur. Aren le regardât sans comprendre vraiment pour il venait maintenant et en quoi il avait besoin de lui.

- Non …

Ce seul mot filtra entre les lèvres de l’homme assez fort pour qu’elle est audible, mais sans pour au temps êtres expressifs de son visage, Aren avait quel que peux changer durant son séjour il était un peux plus sec et marque au niveau du visage sa peau c’était encrasser entre un mélange de poussière et de sueur. Son teint avait lui aussi quel que peux blanchie lui qui d’habitude et plutôt basané, et il semblait non pas en sa meilleure forme.

[Leviathan]

Leviathan le toisa puis lui lança une dague que tu attrapes au vol.

-Suis-moi si tu veux rester en vie.

Puis il fila dans le couloir sur la droite, là où l'agitation semblait la plus intense. C'est parfait, toi qui avais besoin d'exercice.

Et là, Leviathan tombe face à un adversaire de taille. Un guerrier au long sabre qu'il manie pourtant avec aisance. Ses longs cheveux bruns fouettent l'air. Mais le chef des Sourciers n'est pas sans ressources et lui tient tête. Ils se tournent autour, et tu vois enfin le visage de cet homme....

Masaaraq... ce dernier t'aperçoit du coin de l'oeil mais ne perd pas sa concentration. il dévie un coup vicieux et repousse du talon Leviathan.

-Eh bien, mon élève... C'est ainsi qu'on accueille son maître ? A moins que tu ne t'en sois choisi un autre ?

Une vague violente emporta les sourciers qui arrivaient et boucha le couloir en créant un mur. Des manteaux blancs se battaient contre des vêtements noirs. Une femme bondit derrière Leviathan et fit pleuvoir des dagues de glace. Il repoussa le guerrier et se protégea en faisant un moulinet de ses sabres. La femme atterrit devant lui, prêt à en découdre. Makki...

-Je t'avais dit que c'était une mauvaise idée. On ne peut se fier à quelqu'un qui n'aime pas les hommes.
-Je vous dérange peut-être ? Je vous offrirai bien le thé mais j'ai bien trop d'invités pour cela.

Leviathan s'attaqua à la femme mais elle lui lança des.... boules de neige en rafales. Il ne put en éviter la plupart et reçut un coup étourdissant à la tête. Il recula, Aren dans son dos, les deux opposants face à lui. Un pan de mur sur sa gauche s'écroula. Des sourciers en sortirent pour lui ménager une voie de sortie.

Leviathan se tourna vers Aren.

-Reste ou suis-moi mais fais ton choix, vite.

[Yukiko]

Avancent Aren était quel que peux perdu ne savais plus ce qu’il devait pense ou faire. La dague en main il avança en suivant Le Léviathan.

La il vue la scène qui ce passer en contre bas et le Léviathan qui combattez déjà avec un féroce colosse, qui celui si l’interpella c’était en réalité Masaaraq son maître d’art martial il ne l’avait au début pas reconnu. C’est la que la voie grinçante venue avec des piques de glace qu’apparue Makki. Tout était bien flou pour Aren celui si c’était retrouvais dans la bataille et fessais ce qu’il pouvait pour ne pas ce prendre de mauvais coups, il ce retrouva dos au Léviathan et celui si avait ouvert un passage dans le mur .Celui si lui proposer de venir avec lui ou de rester, qu’il devait faire son choix est vite..

« Que ce passe-t-il pour quoi Masaaraq et Makki ..Avec..Avec toutes ses gardes son venus pour moi, que ce passe-t-il pour quoi je dois le savoir. Et lui qui est-il vraiment, que m’a-t-il offert ? Je lui dois certes la vie, mais je pourrais lui faire payer cette dette une autre foi. »

- MA PLACE EST AVEC EUX ILS SONT MA NOUVELLE MEUT !

Aren ce retrouvais obliger de crier avec tout les bruits du confie, les tomber de neige et autre attaque de maîtrise qui provoquer donc un raffut sans précédent. Aren attendit que le Léviathan saute pour ce retournée vers son maitre et lui faire un léger sourire .

[Le Conteur Blanc]

*Les bruits des combats souterrains remontaient jusqu'à la surface malgré les vents violents d'une toundra dépeuplée.

Recouvert de longs manteaux blancs deux étranges personnages revouvert de neige semblent scruter l'horizon alors qu'un autre homme est droit comme un i au sommet d'un petit monticule de glace, deux mains reposant sur la garde d'un long sabre, rangé dans son fourreau. L'homme contraste avec ses deux compagnons pour sa tenue légère. de longs cheveux gris cascadaient sur ses épaules, son regard sévère se pose sur l'entrée de la caverne où se sont engouffrés les manteaux blancs suivis des différents professeurs de l'académie.

L'un des deux hommes se tournent vers celui qu'on pourrait juger comme étant le chef du trio.*

- Vos ordres maitre ?

-On ne bouge pas et on observe.

-Bien.

-Si une occasion de supprimer Léviathan se présente, on la saisit, rien de plus. Nous ne sommes pas censé être là...

-Bien maitre.

*L'homme fait un signe de la main à ses compagnons qui s'agenouillent dans la neige. Il imite alors ses hommes enfonçant une main dans la neige, l'autre main saisit le fourreau du sabre et le maintient près du corps.

Ils attendent, ils observent.*

[Feu-de-Neige]

Feu-de-Neige commençait à ne plus avoir de souffle. Elle repéra un grand bloc de glace et le montra du doigts à Masao. Une fois derrière elle jeta un rapide coup d'oeil en arrière. Le monstre ne les suivait plus. Ouf! Elle sentit une vague de soulagement l'envahir. D'un coup elle sentit son poids se faire beaucoup plus lourd et elle en tomba par terre. Son coeur battait encore à vive allure, elle avait eu bien peur! Les effets secondaires du stress se faisaient sentir. Heureusement ils avaient réussi à semer la bête! Cette satisfaction fit rire bêtement la jeune fille comme un rire de soulagement et de joie. Elle regarda autour d'elle ils y étaient presque... à l'endroit où ils s'étaient rencontrés!

[Leviathan]

-Je suis déçu.

Leviathan lui lança alors cinq aiguilles dont deux se plantèrent dans le flanc et une dans l'épaule d'Aren qui tenta bien évidemment de les éviter. Puis il disparut dans le tunnel qui se reboucha par la maîtrise de sourciers. Maasaraq fondit sur l'ancienne ouverture et fendit la glace de son sabre mais rien d'y fit.

-Ecarte-toi ! Venez m'aider !

Le guerrier s'écarta pour s'enquérir d'Aren. Pendant ce temps, des manteaux blancs se joignirent à la maîtresse de l'eau pour rouvrir le tunnel.

-Allez ! Bande de fainéants ! Ou je vous jure que vous aurez l'impression d'être comme des princes avec Nauja, en comparaison de ce que je vous réserve !

Sous les... encouragements de Makki, la glace s'écroula plus qu'elle ne s'écarta. Makki jeta un coup d'oeil en arrière à son époux avant de se lancer à la poursuite du Leviathan.

-Aren ? Fais-moi voir.

Masaaraq retira une aiguille sans ménagement et en passa la pointe sur sa pointe. Il grimaça et cracha sur le sol une salive mauve tirant sur le noir.

-Du poison...

[Yukiko]

Masaaraq

Le Léviathan fit un mouvement rapide de la main avant de parti en ne disant quasiment rien, l’œil d’Aren eu du mal à discerner les projectiles que l’on venait de lui lancer dessus. L’éclat d’un d’entre eux le fit réagir et il put en esquivais un seuls les deux autres avaient déjà fait mouche, il resta un instant debout les manteaux blanc pessaire devant lui à ce moment la pour venir aider Masaaraq qui tente de casé la glace avec son sabre. Puis Aren tomba genou à terre le regard ce révulsant et fini pars s’écroulais, juste à temps son maître vin le récupérer et enleva les aiguilles puis suçota le doigt qui avait était en contacte avec l’aiguille il grimaça et cracha au sol une salive mauve tirant sur le noir.

-Du poison …

Aren qui avait peine à rester conscient commençait à avoir maintenant du mal à respirais, il avait sa main crispais sur le manteau de Masaaraq doucement si on tirait sur son col on pouvait voir les veines noircir au fur et à mesure de la lente progression du poison. Il restait ainsi à moitié dans l’inconscience, lutent pour rester conscient.

Les pensé d’Aren était elle aussi empoisonné et il était tiraillé pars sa conscience, ses rêves venais le tirais de la et lui prendre son esprit. Les visions d’un enfant seul titubent dans la grande Toundra en réclament après ses parents, le ciel rouge empli de nuage noir… l’enfant cours..Encore et encore, il tombe et se relève. Le bruit de bête qui le poursuive.. L’enfant tombe, mais ce fait rattrapé pars les bêtes, étrangement elles ont forme humaine et leur tête n’a pas de visage seulement des bouches difformes qui vomisse des Cries de monstres. L’enfant pleur … ce re -croquevie sur lui-même, ce fessant frapper pars les tentacules informes des monstres. L’enfant crie de rage maintenant et la glace commence à se fissurais, les petits yeux blancs sur le visage des monstres expriment la surprise puis la terreur. L’enfant c'était relève et viens comme s’il avait des griffes déchirer les monstres en les mordent et griffant avec toute la rage qu’il a, il finit pars s’évanouir dans la neige devenue rouge les monstres disparaisse et ne laisse que le sang …

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