Wanko
*Et en effet, tu n'as pas fait trois pas qu'un autre homme te rattrape et te saisit le bras.*
Mademoiselle, je vais devoir vous demander de me suivre.*Tout autour de vous, le nombre de soldat au mètre carré, déjà assez élevé habituellement, semble en augmentation constante. Et surtout, tout ce qui ressemble de près ou de loin à un civil est rapidement évacué. En ce qui concerne Wanko, il semblerait que ce soit le centre d'accueil. Elle en a de la chance, elle sera sans doute au première loge s'il se passe quelque chose. Tant qu'elle ne se verra pas forcée à descendre au sous-sol, en tout cas.*
Les Envahisseurs de Républic City
*En effet, le navire et les dirigeables avaient été aperçus depuis un bon moment. La Nation du Feu sait apprendre de ses erreurs, et les nombreux postes d'observation ont relayé l'information grâce au télégraphe. Et heureusement pour les nouveaux arrivants et la paix dans le monde en général, les dirigeants actuels sont "légèrement" moins susceptibles et va-t-en-guerre que leurs prédécesseurs. Néanmoins, tout ce que la Nation dispose d'arme à distance a été activé et préparé à ouvrir le feu. Juste au cas où. La section technologique tient-elle l'occasion de tester en condition réelle ses derniers joujoux ?
En tout cas, le premier homme présent sur les quais - enfin, le premier, le premier qui compte vraiment quoi - se trouve être le Général Deng. Qu'est ce qu'il fait là, très bonne question, toujours est-il qu'il est bien présent. Pas qu'il serve à quelque chose, les hommes chargés de la protection de la zone n'étant pas sous sa responsabilité, mais bon. La main dans la poche, il observe la scène avec intérêt.
Et soudain, le voilà qui arrive. Le ? Et bien, le véhicule transportant le Président du Grand Conseil et le Seigneur du Feu, voyons. Celui qui Luke s'étonne de ne pas voir arriver au Palais, et qui arrive directement de la place centrale. Faut suivre, un peu. Bref, le voilà qui entre en trombe et s'arrête non loin des quais. A peine le véhicule à l'arrêt, les deux hommes en descendent, et un homme s'en approche.*
Votre Seigneurie veuillez excuser mon impudence mais la zone n'est pas sécurisée et..