L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Maitre Ikki

Le vagabond continue de regarder l’homme ne détournant pas le regard, on pouvait le sentir confus et désorienter à son échelle bien. Seul des micros expressions pouvaient êtres perçus sur son visage.

« Je ne comprends pas … pour quoi je n’arrive pas à comprendre où était mon erreur, pour quoi … qu’elle à était ma faute, combattre... je veux apprendre encore, encore … »

Son regard qui maintenant reluise de son éclat de l’envie de combattre, les traits de son visage ce durcisse donnant une expression qui ce voulais menacent, Aren ne comprenne pas les mots de l’homme pour lui cela semblait si évidant. Pour temps on ne lui donné pas l’occasion, est donc cet énervement intérieur en vers lui-même qui n’arriver pas à comprendre.

-Je …je ne connais que cela, je n’ai que cela…c’est ainsi qu’est ma vie, c’est la seule chose que l’on ma laissé. Tuvan ma parler des arts martiaux, lui n’aime pas cela… lui avait peur des humains. Il n’a fait que fuir quelque chose, en ne m’apprennent cas me battre. À travers votre art … à travers cela, la seule chose pour la quel je suis fait, je veux apprendre à connaître l’humain. À travers, ce que vous appelez esprits … je veux apprendre, car je veux connaitre.

Il salua de façon formelle est traditionnel, s’inclinant légèrement plus qu’il ne le faut rompant le contacte des yeux avec le maître. Ce mettant alors totalement à sa merci, restant ainsi attendent un jugement des paroles du maître. La scène avait rameuté les plus curieux, et une troupe s’était ainsi former à demi cercle derrière Aren, murmurant entre eux regardent avec beaucoup d’intérêts.

[Guru givré]

AREN

Ikki prit une longue respiration, d'un geste, il renvoya les élèves à leurs exercices.

-Personne ne peut décider pour soi, Aren. Si votre "père" vous a tenu éloigner des hommes et ne vous a enseigné qu'à vous battre, il n'est guère étonnant que vous ne connaissiez que cela. Là où vous faîtes erreur, c'est que pour connaître l'Homme, il ne suffit pas de lui casser le nez ou d'apprendre toutes les façons de se battre contre lui. Vous devez vous-même prendre conscience que vous en êtes un et l'accepter. J'ignore d'où vous venez, mais vous y êtes toujours. Vous n'êtes pas parmi nous.

Pour apprendre à connaître l'Homme, il faut vivre, rire, souffrir et mourir avec lui. J'enseigne le maniement du sabre et le combat à mains nues, rien de plus. Ce n'est pas ici ou dans une autre école que vous trouverez ce que vous cherchez. Vous fuyez vous aussi.

[Le Conteur Blanc]

*Dans le fond, à l'abri des regards ... Un homme écoute silencieusement la conversation entre le maître et le vagabond. Il se fait invisible dans la masse, personne ne le remarque. Et c'est mieux ainsi...*

[Yukiko]

Ce relevant avec toute sa fierté, regardant droit dan s les yeux avec son unique œil la foule d’élève qui ce disperser, il continue de garder ses traits impassibles. Malgré qu’il est une carrure d’homme avec le visage et le corps travaillé partent les années, devant de telles questions, de telles interrogations… Il restait un enfant, qui au lieu de s’émerveille devant les choses. Donné juste un vague sentiment d’incompréhension, de colère et de peur …
Finalement, il ne connaissait rien de l’homme civilisé, bien pour cela qu’il était aussi maladroit. Pour temps il avait appris, des maîtres avait pris le temps de le formé et commençait à l’éduqué, seulement il avait décidé autrement et seul Aren devait trouvais la réponse. Face à ce mur de question, il n’arrivait pas à trouvais les justes mots pour s’exprimais et intérieurement ce sentait perdu.

- D’où je viens … je viens de la Toundra, je reviens ou je ne conseille à personne dit êtres….Vous dite que je fuis, alors que je ne veux que restait ici…non le temps ou j’ai était dans l’ombre de Tuvan est termine. Cela vous semble étrange, mais j’apprends ainsi en apprenant vos arts martiaux cela est une base dans la quel je me sens à mon aise, sur la quel je peux construire et apprendre à connaître votre société…ou voulez vous que je parte, alors qu’il n’y a que dans ses lieux que je me sens au mieux dans la société des hommes ?

Le vagabond garde son ton neutre, sa voix qui est profonde augmente légèrement avançant d’un pas vers l’avant, croisant les mains dans le dos restant droit imposant avec toute sa présence. Son regard vif, son visage n’arborant d’autre que l’impassibilité ce tenant dans cette position d’attente.

[Guru givré]

AREN

Maître Ikki battit longuement des paupières.

-Vous êtes sourd ou vous aimez me faire répéter ? Je le répète, nous n'enseignons pas à connaître l'être humain. Vous vous trompez de voie. Il n'y a pas d'école pour ça. Cela se fait au jour le jour en côtoyant ses semblables et en vivant avec eux.

Aren, vous êtes dangereux. Pour vous et pour les autres. Ainsi vous qui êtes un combattant aguerri, vous dîtes tout ignorer de la nature humaine ? Alors n'importe qui pourrait vous montrer sa vérité et vous le croiriez juste parce que vous voulez apprendre ? Je ferai tout aussi bien de vous tuer ici et maintenant, plutôt que de risquer des vies innocentes.

Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.

Appuyant ses propos, maître Ikki dégaina son sabre, attendant une réponse satisfaisante. Bien que les élèves soient concentrés sur leurs exercices, l'attitude de leur maître les interpella. Ils fixèrent Aren, l'observant, le détaillant, cherchant à voir ce que leur maître voyait. Prêts à agir eux aussi, sur un ordre de celui-ci.

[Yukiko]

MAITRE IKKI

- Ainsi donc vous préférez détruire plutôt que de prendre le temps d'apprendre, d'apprivoiser une chose que vous ne connaissez pas et dont vous semblez effrayé . Voici un an que je suis arrivé parmi vous, la civilisation … a mon arrivée j’étais un chien-ours polaire effrayé par la foule, seulement quant j'ai demandé de l'aide, quant j'ai demandé à ce que l'on m'apprenne les arts martiaux on m'a juste prit pour un sauvage incapable de comprendre quoi ce soit. Seulement personne n'a essayé de me comprendre, de m'apprendre l'esprit des Arts martiaux. On ma seulement apprit à mordre mieux … a m’entraîner chaque jour, à entraîner mon corps pour combattre. Seulement, ce n'est pas ce que je cherchais il semblerait que vous ayez du mal à me comprendre dans mes mots ,alors je vais essayer de me faire comprendre avec des mots plus directs.

Je cherche a apprendre la philosophie des Arts martiaux, son essence … je veux apprendre à ne plus me battre, pas a apprendre a me battre. ça , je sais le faire …je vous demande une chose qui m'a était refusée car on ne considère qu'avec intelligence d'un animal, je sais penser et réfléchir tous comme vous...me prendre pour plus stupide que ça serais une erreur que l'on a fais pendant trop longtemps.

J'ai était franc avec vous, en parlant de ma vision des choses et de ce que je savais, je vous ai montré le respect d'après vos règles je me suis incliné devant vous, vous offrant mon respect envers vous. J'ai à apprendre mais seulement,vous ne regardez pas la où il faut... la tasse de thé peut être versée dans une théière …Et pour l'instant celui qui n'arrive a se contrôler en montrant sa colère c'est vous, dégainer sa lame pour faire couler du sang .

Montrant sa détermination dans le regard, restant impassiblement devant la lame il se tenait droit sans sourciller devant l'homme qui le menacé, les élèves c'était alors de nouveau rapprochés armés cette fois-ci. Aren transpirer de son être sa détermination, il voulait se faire comprendre et maintenant il savait que la meilleure des manière était le dialogue.

« Voici mon erreur, je comprends cette peur animal qu'ils ressentent a mon égard...peur de me voir contre eux car je suis une menace pour eux, cela veut dire qu'ils me considèrent seulement. Ce n'est pas effectivement par les armes que je dois me faire entendre, mes par la parole... j'ai mis du temps à arriver à parler sans gêne en leur présence . Mais il ne veulent pas comprendre... j'espère qu'avec ce que j'ai dit il arrivera à le comprendre. Je ne veux que cela, me faire comprendre, Tuvan tu avais tellement raison...tu devais être effrayé pars la nature humaine. Je te regrette, et j'ai envie de comprendre la où tu as raté et réussi . »

[Guru givré]

AREN

Ikki fronça d'autant plus les sourcils. Il baissa les bras, marcha pour s'approcher d'Aren, le dépassa et lui asséna une tape derrière la tête. Façon Gibbs. Puis il rengaina patiemment en soupirant avant de croiser à nouveau les bras, les mains dissimulées dans ses manches.

-Ton maître est un pauvre idiot, et toi aussi. Il n'a fait que te transmettre son aversion pour ses semblables et t'a rendu aussi incapable que lui de voir son erreur. Je comprends ce que tu cherches mais je me répète, Aren, ce n'est pas ici que tu trouveras ce que tu cherches. Mais puisque tu insistes pour apprendre notre... philosophie. Je superviserai ton apprentissage. A la condition que tu fasses exactement ce que je te dis sans protester.

Cela te convient-il ?

[Yukiko]

MAITRE IKKI

Aren fut comme libéré pars la taloche qu’il prit derrière la tête, celle si sous le choque eu un léger mouvement vers l’avant avec les traits de son visage qui ce crispée d’un rictus de douleur un très bref instant. Puis ce retournant vers le maître un faible sourire ce dessinant sur son visage avant de disparaître, le saluant de façon formelle le poing gauche dans la main droite s’inclinant légèrement.

- C’est ce que j’attendais, cela me conviens tous à fais … Sifue .

La tension dans la salle était retombée, les élèves repartant vaquais à leur occupation reprennent l’entraînement. Le nouvel élève restait donc à côté du professeur, regardent l’agitation ce dissiper puis sans regarde le professeur.

- Quel sera ma première tache, Masaaraq aimer le thé vous en voulez peux êtres …

Tournant le regard vers le professeur, observant sa réaction ses mains c’était place naturellement dans le dos attendent dans une position militaire.

« Je pense avoir enfin compris, si je veux apprendre il ne faut pas que je passe par les chemins conventionnels, je vais enfin véritablement apprendre…Masaaraq, Makki je reviendrais vous montrez quel homme je suis devenu. »

[Guru givré]

AREN

Ikki eut une expression neutre tandis qu'il écoutait la proposition de son nouvel élève.

-Ton apprentissage n'aura rien à voir avec une cérémonie du thé.

Maître Ama fut de retour sur ces entrefaites.

-Confie toutes tes armes à Maître Ama, puis pars en ville te trouver un travail. Petite précision, tu as interdiction formelle d'utiliser ta maîtrise de l'eau, à moins que cela fasse partie de ton travail bien évidemment. Tu reviendras me voir régulièrement lorsque tu auras appris quelque chose. Si tu n'as pas d'autre question, tu peux disposer.

[Yukiko]

Aren fit le salue traditionnelle, puis sans retourna vers ses affaires ou il avait déposé ses armes. Sortant à demi de son fourreau sa lame courte, la regardent un instant puis la rengainant la posant dans une peau tannée qu’il avait sortie de son sac. Prenant ensuite en mains son sheng biao, prenant la lame en main passe ses doigts sur la chaîne, la regarde un instant puis range l’arme avec l’autre arme déjà ranger. Enroulant le tous dans la peau, et venant présenter le tous au maître Ikki s’inclinant ensuite puis repartant prendre ses affaires. Une foi sa besace sur l’épaule il repartie donc du Dojo sans un mot, s’exécutant aux ordres du maître…

« Comment c’est il que je maîtrise l’eau … »

Une foi sortie du dojo, il ce mêla à la foule, évitant de trop rentrée dans le torrent humain passent devant diverses échoppes qui proposer divers produis. Il y a avait quelque mendient qui demandé l’aumône, la neige au sol était crasse et poisseuse. Les bâtisses faites de pierre brute ressemblant au style que l'on retrouvais dans les bas cartier du royaume de la terre , user et ternie par le temps et l’humidité ambiante, si l’on regarder le ciel celui si était ombragé pars les fumer qui s’échapper des cheminées en constante activité. Continuant à avançait parmi la foule, cherche toujours un magasin qui lui conviendrait pour le peu de choses qu’il savait faire. I l ce tourna vers un salon de thé, après tous c’était la seule chose qu’il avait apprise hormis survivre ..

Ce présentent au porche de celui si, il décroûta ses bottines et rentra passant le rideau de tissus qui faisait office de porte, observant alors a l’intérieur plus en détaille. Des tables simples sans fioriture, les couverts étaient faits de bois aussi et c’était une vieille Dame qui était assise derrière le comptoir. Une pipe de métal à la bouche, et une tête de vielle grenouille un chignions dresser sur la tête crapotant sa pipe de la fume s’échappant de ses narines avant qu’elle ne la souffle de sa fine bouche, la fumer s’accumulant au-dessus d’elle. Aren s’approcha alors d’elle et viennent ces poses devant elle, posant une main sur le comptoir. La détaillant du regard, et pour ne pas faire naître un mal aise il fit les salutations, expliquant pour quoi il était là.

- Bonjour, je me nomme Aren et j’aurais aimé savoir si je pouvais travailler ici…Je, je sais faire le thé.Parlent d'une voie calme paisible y mettant plein de bonne volonter pour paraitre le plus amical possible, à l'échelle de Aren bien sur .

Aren avait encore du mal à s’exprimer aussi librement en publique dans un endroit qu’il ne connaissait pas, il redevenait le petit enfant qui découvre le monde.