Siège du Journal - La voix de Republic City

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Siège du Journal - La Voix de Republic City

Aujourd'hui partie intégrante de la vie de Republic City, le journal se targue d'une histoire remontant à plus de 200 ans, avant même la création de la cité. Sur la façade, une plaque commémorative nous aide à nous souvenir de ces évènements :

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L'histoire de notre journal remonte jusqu'à ce qui était alors connu sous le nom de "La Voix des Quatre Nations", et dont le siège se trouvait sur l’Île Blanche. Nos prédécesseurs se faisaient déjà un devoir de partir à la recherche de la connaissance et de la vérité, n'hésitant pas à se faire des ennemis des puissants dans leur acharnement à informer la population. Malheureusement, quelques années avant le cataclysme, cette pugnacité fut récompensée par la mise à sac des locaux du journal, n'en restant plus que des cendres. Peut-être a-t-on eu peur de ce que nos investigateurs auraient pu découvrir sur les origines du cataclysme...

L'histoire aurait pu en rester là sans un homme, Sydjee Ledys. Comprenant l'importance de l'existence d'un journal indépendant, il parcourut le monde pour le faire renaître de ces cendres. Sur sa route, il inspira un de ses disciples qui créa le "Hai Oukoku Timess", avec lequel nous avons toujours quelques liens. Et lorsque l’Île Blanche fut rayée de la carte, c'est tout naturellement qu'il décida de s'installer dans ce qui deviendrait notre belle Republic City.

Jusqu'à la fin de sa vie, Sydjee Ledys se consacra tout entier à la recherche de la vérité et à sa propagation. C'est ainsi qu'il rencontra sa femme, Lynah Envhy. De cette union naquit une fille, Nozomi Ledys, qui poursuivi l'oeuvre de son père à la mort de ce dernier. Cette tradition s'est perpétuée jusqu'à nos jours, un membre de la famille Ledys restant à la tête du journal.

C'est lors de la prise d'indépendance que notre journal changea de nom, devenant "La Voix de Republic City". La directrice de l'époque, Madja Ledys, se fit la voix de tout un peuple en relayant les revendications de notre cité dans une édition spéciale aujourd'hui devenue célèbre.

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Une fois à l'intérieur, le visiteur pourra admirer sur les murs divers originaux des plus célèbres éditions du journal, de la toute première édition à la déclaration d'indépendance. Bien sur, quelques gardes sont présent au cas où un amoureux des vieilles choses déciderait de repartir avec un petit souvenir...

Un peu plus loin se trouve l’accueil, où le visiteur sera guidé selon qu'il souhaite postuler pour un poste, proposer une histoire ou tout simplement consulter les archives.

Les archives, justement, se trouvent au sous-sol. Il est possible d'y trouver la totalité des éditions jamais parue, à condition d'accepter d'être accompagné par un chaperon surveillant ses moindres fait et gestes. Il se raconte aussi que dans une salle se trouveraient d'autres archives, bien plus complètes... mais il ne s'agit sans doute que d'une rumeur.

Aux étages se trouvent les bureaux des reporters, des pigistes, des rédacteurs... bref, de tout ce petit monde nécessaire à la vie d'un journal. Et au dernier étage se trouvent à la fois les bureaux de la direction et les appartements de la famille Ledys. Le directeur actuel s'appelle Lorkhyn Ledys (voir sa fiche), et est le fils de Madja Ledys.

A rajouter : une image pour la PNJ à l'acceuil.

Les archives récentes :
[spoiler]Première édition
Deuxième édition[/spoiler]

[Lorkhyn Ledys]

*D'une petite porte sur le coté du bâtiment sortent soudain un certain nombre d'hommes, ayant tous pour point commun de porter un paquet relativement volumineux. Certains montent en satomobile, d'autres s'éloignent à pied. Les deux derniers, finalement, ne s'éloignent pas de plus de quelques pas. De chaque côté de la porte principale, ils prennent position.*

Eeeet.... C'est partit !

*D'un geste sur, les paquets sont ouverts. Que contiennent-ils ? Du papier, rien que du papier. Ah, et de l'encre aussi. Chacun des deux hommes en saisissent quelques exemplaire, et commencent à donner de la voix.*

Mesdames et Messieurs, voilà la nouvelle Edition de "La Voix de Républic City !

Les dernières nouvelles, Mesdames et Messieurs !

L'avatar arrive en ville ! 5 Yuans seulement !

*Hommes et femmes commencent à s'attrouper autour des deux hommes. Des pièces changent de mains, et les paquets fondent de plus en plus. Peut-être, vous aussi, voudriez-vous le lire?*

HRP : Pour cela, rien de plus simple, il vous suffit de suivre ce lien.

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*Sortant du tramway, Blake réajuste le col de son manteau et se dirige d'un pas décidé vers le siège de la voix de Republic City, cela faisait presque un mois qu'il n'avait pas travaillé et il allait avoir besoin d'argent sous peu si ils ne voulaient pas rejoindre les vauriens qui jonchaient le trottoir au pied de son immeuble. Arrivé devant l'immeuble, il jette un oeil à la couverture de la une du jour.*

L'avatar en ville ? Tiens donc ... Le vieil homme était bien avisé, à noter.

*L'homme monte doucement les marches et rentre dans le hall. Il enlève son chapeau et le glisse sous le coude tout en s'avançant vers l'accueil. Il s'accoude et lance sobrement.*

-Bonjour, j'aimerais m'entretenir Monsieur Ledys. Si il est occupé, dîtes-lui que le détective Char voudrait le voir.

[Lorkhyn Ledys]

*L'une des jeunes femmes à l'accueil te fait signe t'attendre un instant, puis se lève. Quelques minutes plus tard, la voici de retour.*

Monsieur Ledys vous fait savoir qu'il sera disponible d'ici quelques instants, et que si vous le souhaitez vous pouvez l'attendre à son bureau.

*Elle te tend alors un plan imprimé sur un petit morceau de papier.*

Si jamais vous aviez un doute sur le chemin à suivre...

*Puis, une fois sa mission accomplie, elle s'en retourne à son poste. Sur le petit mot ne se trouvent que ces quelques mots : "dernier étage, première porte à droite".*

[Pix]

*L'homme attend. Il fume tranquille son cigare en regardant les gens aller et venir. Il attend toujours, c'est long. Mais d'un autre coté, il avait rien à faire. L'homme attend encore, c'était toujours long. La femme revient.

Mais ça avait été long.

Sans un sourire il écoute ce qu'elle à lui dire. Il récupère le papier.*

-Merci.

*Parce que ça égorge pas un chien.

Il se met en route et jette le papier dans la corbeille juste à coté dès qu'il a lu la petite mention. Il monte, arrive devant la porte et frappe.*

[Lorkhyn Ledys]

*Une voix retentit à travers la porte*

Une minute !

*Quelques secondes passent... Et la porte s'ouvre. Derrière, un homme dans la fleur de l'âge aux longs cheveux blonds.*

Monsieur Char ! Vous avez vraiment le talent de toujours être là au bon moment. Mais entrez je vous prie.

*S'écartant, il te libère le passage, se dirige vers un meuble et en sort une bouteille.*

Je vous sert un verre ?

*Sans attendre de réponse, Lorkhyn s'en sert un.*

Alors, quel bon vent vous amène ?

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*On le fait attendre. Encore. Mais moins longtemps, c'est bien. La porte s'ouvre, salutations distinguées, franche poignée de main, et suites d'amabilités bien polies. Le détective prend place en silence sans enlever son trench-coat, il se contente juste d'écraser son cigare dans un cendrier et d'enlever ses gants qu'il installe dans une de ses poches. Il acquiesce en silence à la proposition de verre, un alcool fort, classique.

Blake se saisit du verre et boit la moitié d'une traite tout en s'installant plus confortablement sur la chaise, il pose le verre sur l'accoudoir de la chaise tout en le maintenant avec sa main.*

-Oh vous savez... La routine. Le Loyer à payer, le garde-manger qui se vide ...

*Blake n'est pas du genre à y aller par 4 chemins.*

-Je sais que vous avez l'habitude de faire appel à mes services... Vous avez un truc pour moi ?

[Lorkhyn Ledys]

*Lorkhyn prend le temps de boire une longue gorgée avant de répondre.*

Comme je vous l'ai dit... Vous avez un talent incroyable pour vous présenter à moi au moment où j'en ai le plus besoin.

*Quelques secondes de silence, alors que l'homme fait tournoyer le liquide dans son verre.*

J'aurais effectivement quelque chose pour vous... Mais d'un genre différent. Voyez-vous, j'ai fait une promesse, le genre de promesse que je ne peux pas renier.

*Une nouvelle grande gorgée, et Lorkhyn pose son verre vide sur son bureau.*

Et pourtant, je ne peux pas rester sans rien faire. Mais avant de vous en dire plus, j'ai besoin de votre parole quant à votre discrétion sur cette affaire.

*Un sourire, comme pour atténuer ses dernières paroles, et il conclut.*

Soyons clairs, si je ne vous faisait pas confiance, je n'aborderais même pas le sujet avec vous.

[Pix]

*Blake sourit aimablement à la remarque ô combien flatteuse de Lorkhyn Ledys, il savait s'y prendre pour caresser ses collaborateurs dans le sens du poil, mais Blake n'était pas dupe, la flatterie cachait quelque chose. Le détective écoute toute la tirade du directeur de journal sans lever les yeux de son verre, puis quand il finit de parler il le vide et le pose violemment sur le bureau.*

-Je pense qu'il est temps d'arrêter de tergiverser. Comme vous le dîtes, si j'étais du genre à avoir la langue bien pendue, je ne serais pas dans ce bureau maintenant. Donc cessons les ronds-de-jambes inutiles et rentrons dans le vif du sujet voulez-vous ?

*Blake se penche un peu, il joint ses mains et fixe son interlocuteur de son seul oeil.*

-Qu'attendez-vous de moi ?

[Lorkhyn Ledys]

*Le sourire se fait à la fois plus naturel... et plus narquois. Curieux mélange assurément.*

Je vous reconnais bien là...

*Ramassant un dossier sur son bureau, il le tend à Blake. A l'intérieur, quelques photos.*

Une jeune fille a récemment mis la main sur un certain... bijou de famille, dont je viens de vous fournir quelques illustrations. Dans la plupart des cas cela n'aurait pas eu grande importante, mais...

*Quelques secondes d'hésitations, et la suite arrive.*

... il se trouve que ce bijou porte l'emblème de la famille Ledys. Emblème qui, comme vous le savez peut-être, est devenu par la suite celui du journal.

*Lorkhyn s'assoit alors sur le bord de son bureau et, regardant son invité droit dans les yeux, il termine.*

Je ne VEUX pas que le nom de notre journal soit associé à une quelconque mauvaise action.