Bar: Le Chevautruche qui fume

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Lieu : Bar "Au chevautruche qui fume"

Quoi de plus pittoresque que les vieux débits de boissons ? Le citoyen ou le visiteur qui recherche la détente trouvera son bonheur dans le vénérable quartier de Hei Bei. C'est là, dans l'ancien cœur de la cité, que se serrent bars et cabarets historiques de Republic City.
De l'établissement le plus animé au troquet le plus paisible, tous les goûts seront comblés.
L'un d'eux est célèbre : sa réputation s'étend à tout le Royaume de la Terre. Il s'agit, bien sûr, du bar
« Au chevautruche qui fume ». La simplicité de sa devanture, qui contraste avec le confort de son intérieur, ne rebute jamais longtemps le connaisseur !

Haut lieu du jazz, cette nouvelle musique qui fait fureur dans les quartiers populaires, l'établissement s'est fait une spécialité des soirées folles à l'ambiance électrique. Aux cornes de diverses tonalités se mêle souvent la voix suave d'une pin-up, ce que ces messieurs apprécieront !

Amateurs d'alcools forts, vous y dégusterez l'une des meilleures liqueurs de banane-oignon de la ville. Les bouteilles superbes alignées derrière le comptoir appellent à la détente et semblent promettre une féérie alcoolisée.

Cette publicité a été financée et vous est gracieusement offerte par Maître. K. Raken., généreux mécène de l'office du tourisme de Republic City.

[Kanaën]

*Avec le profond soupir caractéristique du bien-être que l'on ressent en posant ses fesses dans un bon fauteuil après une rude journée, Tsao s'affale une banquette avec la grâce d'une loque. A la serveuse qui vient s'enquérir de ses besoins, elle commande une liqueur de banane-oignon, avant de laisser mollement tomber sa tête sur la table de bois verni. Dieu qu'elle est claquée ! Elle n'ouvre l'œil que lorsqu'une main miséricordieuse pose devant elle le doux breuvage demandé, relève le chef et gratifie sa bienfaitrice d'un sourire plein de gratitude. S'emparant du verre, elle le lève devant son visage et lui déclare de sa voix empâtée par la fatigue*

- Toi et moi. Seuls. La paix royale. L'extase.

*Un sourire béat sur les lèvres, la jeune femme se laisse aller contre le dossier de la banquette et se met à buller.*

[Le Tribun]

*Et là ... Tout s'effondre.*

-Je peux m'asseoir ?

*La voix est masculine, diable ! Encore un prétendant ?!*

[Kanaën]

*Captant des paroles qui semblent la concerner, Tsao quitte son nuage éthylique et idyllique. Sa mémoire auditive reconstitue le message et place la jeune femme en état d'alerte. Ça sent le pêcheur. Elle jette un coup d’œil dans la salle, constate que les sièges vides ne manquent pas. La question de l'inconnu est donc intéressée ; dommage, elle aimait bien son tête à tête avec l'alcool.*

- Disons que la place est libre. Pour l'instant. Il se pourrait que je reconnaisse subitement quelqu'un dans la salle qui accapare brutalement toute mon attention.

[Le Tribun]

*L'homme comprend le message, il s'incline en s'excusant poliment et trace son chemin. Après tout, le MJ avait lu le BG de Wizzard et donc son personnage devrait se trouver dans le bar à l'heure qu'il est actuellement... *

[Wizzard]

*Novac venais d'entré dans le bar. proche de lui un homme venais visiblement de ce faire éconduire sans ménagement par une jeune femme qui sembler vouloir savourer sons alcool en paix. Le scientifique avisa une table à l'écart de l'agitation et s'y installa. peu de temps après une serveuse vin prendre ça commande.*

Cinq liqueur pour commencer.

*La voix de Novac avait une sonorité métallique ces corde vocale avait elle aussi était endommager par les vapeur d'acide qu'il avait respirer lors de l'accident la jeune serveuse eu un mouvement de recule en entendant ça voix combiner à ce visage au motif mouvant. quelque instant plus tard on vin le servir. Novac paya ces consommations et commença à enquiller ces liqueurs.*

[Kanaën]

*Tsao hausse les épaules en regardant l'autre partir. Curieux pêcheur que celui-ci, mais elle n'est pas dans un état d'esprit favorable au questionnement. Réajustant sa position sur la confortable banquette, réactivant le mode cocooning, la jeune femme retrouve sa plénitude et laisse son regard planer sur la salle... Tiens, en voilà un type bizarre, là-bas. Soirée masquée ? Plutôt réussi. Un peu glauque, tout de même. Ah mais c'est qu'il aligne les shooters, le bonhomme ! Si le type précédent avait été accompagné de cinq verres, elle l'aurait accueilli avec bien plus d'enthousiasme. Il y en a qui ne savent vraiment pas parler aux femmes.
Tsao conclut en levant silencieusement son verre à la santé de l'inconnu, sans se soucier du fait qu'il remarque ou non le geste. Elle remarque au passage que ledit verre est pratiquement vide, ce qu'elle trouve fâcheux. Cela signifie que, bientôt, elle devra rentrer. Contrairement à ce que la langue laisse croire, liqueur de banane-oignon ne rime pas avec satisfaction du patron.*

[Wizzard]

*Alors que l'on viens de lui servir ces cinq verre de liqueur la jeune femme qu'il avait remarquer en entrant lui jettent un regard semble t'il curieux et lève sont verre à sont égard. Novac répond à sont salut d'un signe de la tête tout en portant ça main au rebord de sont chapeau. Puis lève le bas de ça cagoule révélant le bas de sont visage pour vidé un verre de liqueur d'un trait.*

[Kanaën]

/Oh.../

*Tsao reçoit le salut de retour de l'inconnu avec un sourire. Elle va pour détourner les yeux, mais se raidit soudain.*

/WH... TH... F... ?/

*Une lueur d'intérêt traverse son regard tandis qu'il se pose sur la peau couturée. Cet aspect...*

/Cher anonyme, finalement, tu m'intéresses.../

*Décidant qu'elle peut se permettre de faire encore patienter quelque peu un lit dans lequel personne ne l'attend, la jeune femme commande une autre boisson. De derrière son verre, elle couve du regard son vis-à-vis.*

[Wizzard]

*La jeune femme qui semblait vouloirs partir eu l'air de ce raviser en posant sont regard sur le visage ronger par l'acide de Novac. Elle commanda un nouveaux verre de liqueur et continua de l'observer. Après quelque instant ou Novac sentait le regard de la jeune femme sur lui, le jeune homme lui fit signe que si elle le voulais elle pouvait venir ce joindre à lui.*