L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Ferment un instant les yeux, ré-ouvrant son regard sur yahto.

" Si le sang dois couler, cela dois servir à la survie...oui mais de tous ? "

- Ce qui ont atteins à votre personne sont mort, pour quoi vouloir tuer ses personne qui ne sont pas concerner ?
Une vie dois s'éteindre uniquement dans le but de servir a une survie.

S’étant placer devant Yahto pour répondre à la question, ce placent ainsi au côté du chef de la garde.

[Yahto Parak]

Yahto s'attendait un peu à devoir argumenter avec l'homme sauvage qu'il avait accueilli en son sein.

-Il s'agit de faire passer un message. Je suis impitoyable mais juste.

S'il a un peu de jugeote, il mettra fin à ses jours avant que tu n'aies à le faire. Je n'aime pas ces extrémités mais vois cela comme une parade animale où je dois montrer les crocs. Si je ne le fais pas, je paraîtrais faible aux yeux de tous. Beaucoup de vies reposent sur moi, si je tombe, elles tombent avec moi. Et je ne peux le permettre. Jamais.

Alors ? Acceptes-tu ?

Mine de rien, le patriarche avait beau être très patient, il commençait à s'irriter.

[Yukiko]

[ Le Donjon]

Ce montrant plus enclins à la demande, les mots employer avec justesse avait fais comprendre pour quoi il était nécessaire d'agir ainsi.

" Il est vrai qu’un chef de meute ne peut se voir défier ainsi, et perdre de son autorité."

- Bien, je serais dans ce cas vos crocs ... je serais impitoyable, mais juste.

Sura salua le Patriarche lentement ce courbant en avant, poings dans la paume ce retournant après ce salut il accompagna l’officier de la garde. Il laissera derrière lui une atmosphère inquiétante et lourde, le loup part en chasse et il a faim. Le visage de Sura est calme et paisible, il marche à travers les couloirs telle une ombre furtive et suis les gardes qui se diriges vers l’extérieur qui l’accompagne. Les gardes pouvaient sentir comme un calme inquiétant émanant du garde du corps sa respiration était naturel et paisible, rien d’inquiétant au premier abord. Mais si l’on faisait plus attention et que l’on regarder dans l’unique œil de l’homme, c’était celui d’un prédateur qui regarder sa proie.

[Le Faubourg]

Les portes s’ouvrir à leur approche, et fièrement les gardes les saluèrent en ce tenant sur les côtés. Mélanger à la suie, la neige teintée de noir prenant la douce couleur grise voir noir. Tel le cœur de Sura, celui-ci étais d’une teinte grise il pouvait s’assombrir comme rester d’un gris pur. Enfilant une cape de voyage préalablement donnée par la garde il s’enfonça dans les rues pour se rendre là où se trouver sa proie . La tempête arrivée ...
Ruelle après ruelle, place après place le groupe traversera la ville si rien ne les empêche de progresser. Qui serait assez fou pour venir faire cela a une troupe du Patriarche même de la ville.

Ce présentent donc devant le portail de la demeure demandé, il désigna du menton l’entrée au garde qui l’accompagnée attendent de recevoir confirmation avant de rentrée et de laisser annoncer qu’un émissaire du Patriarche voulait les voir . Observant la belle maison de pierres qui ce dresser devant lui avec une cour paver, cet homme devait aimer les jolies choses ce dit Sura comme le Patriarche. Il y voyait ici encore une foi trop de matérialisme, peut utile pour la survie. Une foi l’invitation donnée et il l’espère accepté il rentrera, saluant poliment ses hôtes. Restant très observateur, a savoir combien de personnes il y avait, le nombre de sorties et si les personnes étaient dangereuse ou non. Le loup était dans la bergerie ...

- Bonjours, je pense que vous devinez le sujet de ma présence. Le Patriarche demande réparation....

Laissant un silence plané et le temps que réponde son hôte, il aura pris la peine d’enlever sa capuche dévoilant son visage qui était toujours d’une impassibilité glaciale .
...et le prix est votre vie, quel soit ôtés de vos propres mains

[Guru givré]

L'homme qui habitait la demeure avait les cheveux noir mais les tempes grises. Son visage, autrefois beau, était désormais alourdi par des rides. Il reçut l'envoyé du patriarche dans la salle de réception de son manoir avec toute la courtoisie que l'on doit à l'envoyé du patriarche de sa tribu.

L'espèce de sauvage qu'il lui avait envoyé ne l'avait même pas salué selon l'usage, ni présenté ses respects, ni inquiété de la santé des siens. A la place de salutations civilisées, l'homme eut droit à une injonction qui lui fit perdre ses couleurs.

-Je... je ne comprends pas. Qu'ai-je fait pour mériter une telle sanction ?

Son front se perlait de sueurs tandis qu'il commençait à être pris de tremblements.

[Yukiko]

Plongeant son regard dans celui de l'homme qui dégouliné de tous les ports de sa peau. Il répondit sans laisser souffle l'homme .

- Des membres de votre famille on attenté à la vie du Patriarche, vous êtes jugez coupable pars la loi du Grand chien ours polaire. Chaque refus ce terminera pars la mort d'un membre de votre famille, reconnaissez vous ses actes ?

Il fit signe à un garde en désignant une des personnes présentes, une jeune femme probablement sa fille ou petite fille. Tenus pars les cheveux d'une poignée ferme elle fit emmenés devant Sura et mise à genoux à ses côtés, celle-ci avait bien entendu les paroles et de chaudes larmes perler sur ses joues. Sa lèvre mordit pour étouffer les gémissements plaintifs, avec ses mains crispées sur sa tunique qui se voyais froisser sous la peur de la jeune fille. Ses cheveux noirs tomber devant son visage et venais cacher son regard.

Elle ne se débâtait aucunement et était résignée à son triste sort. L'ambiance s'étant alourdie plus encore, et les membres de la famille tremblé de peur ce reculant proche des alcôves et porte de la pièce, les plus sensible ou jeune pleurer tendit que certain serrer le poing de rage . La réponse de l'homme qui allez êtres donnée allez déterminé si le sang allez êtres oui ou non allez êtres versé.
En cet instant une étincelle aurait enflammé cette ambiance glaciale, qui ne faisais que duré et l'homme restant muer pars la peur ... Un premier refus silencieux se serait donc fait entendre ?

Prenant pars les cheveux la jeune fille et relevant ça tête en arrière offrant ainsi sa gorge, son regard paralyser pars la terreur ce posa sur Sura qui quant elle vue l'unique œil valide de l'homme le regard, aucune compassion ne pouvait ce lire dans ce regard froid et vide d'émotion. Ce fut la dernière chose qui pus être vue, après que d'un geste chirurgical il brisa la nuque de la jeune fille en la prenant par le menton.

Lourdement le corps sans vie retomba sur le sol, et les cris éclatés avec le non de la jeune fille appeler pour la faire revenir...il résonnait dans toute la pièce. Certain tombant au sol épuiser de ce porter pour supporté cette scène, un cauchemars qu’était Sura à leurs yeux l'envoyer du Patriarche qui à leurs yeux n'était nie plus nie moins l'incarnation de la mort. Revenant poser son regard sur l'homme, en attente d'une réponse qui ce devait positive. Il fit signe une seconde fois et une seconde-personne lui fit apporté ....

[Guru givré]

L'affreuse vision de la mort proche de sa petite-fille fit réagir le chef de famille.

-NON ! NON ! ATTENDEZ !

Le vieil homme se leva et arracha l'enfant des serres de l'envoyé du patriarche. La petite sanglotait en s'accrochant désespérément à son grand-père qui la calma avant de la confier à sa mère. Une fois mise à l'abri, il revint s'asseoir devant l'envoyé et leva son regard à la rencontre du sien.

Malgré des sueurs froides, il afficha une attitude digne.

-J'obéis, mais j'aimerai que vous transmettriez un message au patriarche.

Sa direction sur notre tribu ne nous mènera qu'à la ruine. Notre économie et nos richesses périclitent parce que nous ne pouvons plus commercer avec Republic City, privés de notre huile de pierre si précieuse. Nous avons fait connaissance avec la misère pour la première fois de notre histoire. Et c'est du fait du chef du Pôle Sud. Il aurait dû se présenter et prendre sa place.

Adieu.

Il sortit sa dague et la pointa sur le côté gauche de sa poitrine, un peu sous les côtes, la lame pointée vers le haut. De sorte à viser le cœur et de mourir sur le coup. Il inspira longuement puis enfonça sa lame à l'expiration d'un coup sec. Il tressaillit avant de s'effondrer.

La vie le quitta avant qu'il ne touche terre.

[Yukiko]

Regardant la mort dans les yeux il laissa avant cela le vieille homme emporté la jeune fille, quant celui-ci faillie sous la blessures qu'il c'était infliger l'envoyer du Patriarche ne le quitta pas des yeux un instant.

" Malgré sa faute certaine, il a sus garder sa fidélité ... et a malgré tous voulu protéger les siens"

- Vos paroles serons entendu, laisser l'enfant les paroles et la loi du Patriarche ont était faite. Nous rentrons .

Laissant les gardes en place tendit qu'il ressortait en rabattant la capuche de sa cape de voyage, celle-ci d'un gris neutre le confondait avec la couleur du ciel. Laissant les sanglots et pleur derrière lui, son visage resté impassible, son fort intérieur lui était plus tourmenter. Ses nuit était toujours entre couper de cauchemars et vision d'un passé incertain, n'arrivant jamais à fixer de visage sur les corps. Remontant la contre allée pour ce rendre au Donjon suivie de prêt des gardes, son visage était de marbre mais son regard avait changer. Peut êtres étais ce le remord, mais il sentie en lui de vieux souvenir revenir quant il repensait au crie et pleur qu'il venait d'entendre.

DONJON

Rentrant et quittant sa cape à l'entrée, il monta en suivant le chef de la garde qui fut le dernier à êtres ses côtés les autres fur congédies pars le chef pour qu'il puis ce retournée à leur activité lambda. Arrivant à la porter du bureau, l'officier frappa en attente du réponse et rentrera ensuite avec le garde du corps qui ce tenant devant le patriarche attendra puis prendra parole .

- Vos ordres on était fais, votre honneur n'est plus en cause. L'homme a tous de même demandé à transmettre un message, il vous fais savoir que votre gestion de la tribu la mène à sa ruine... je pense que vous pourrez demander les détailles à cette homme, celui-ci sera mieux vous expliquez possédant une connaissance de votre Tribu .

Il restait droit de façon martial et attendait la suite .

[Yahto Parak]

Yahto était face à la fenêtre. Le capitaine de sa garde lui fit un rapport plus détaillé comme Aren l'avait escompté.

-Une bonne chose faite, si je puis dire.

Quant à son message... je ne sais comment le prendre. Est-ce un reproche ou compliment par-delà la tombe ? Devenir Chef du Pôle Sud uniquement pour abroger l'interdiction de l'exploitation et du commerce du pétrole ? Croire que cela changerait notre situation est bien illusoire.

Notre commerce intérieur est en très bonne santé, et cela couvre déjà presque le déficit du pétrole. Se mirer dans la gloire passée est autant une illusion qu'une perte de temps. J'aurais très certainement fait comme la vieille.

Il parlait plus à lui-même qu'à quiconque se trouvait présent dans son bureau. Il se rassit dans son fauteuil, pensif. A son capitaine :

-Fais savoir que je ne tolérerai pas qu'on insulte la famille de (chef de famille qui s'est suicidé) ou qu'on leur manque de respect. Il s'est racheté auprès de la Tribu et auprès de moi. Nous sommes quittes. Un sort semblable attend tout contrevenant.

Le capitaine s'inclina et sortit, les laissant seuls avec Sura.

-Qu'en penses-tu, Sura ?

[Yukiko]

Après avoir saluer l'homme qui sortie d'un signe de tête il reviens porté son regard sur le Patriarche, sa réponse fut donnée sans hésitation.

- Il faut savoir récompenser la fidélité des membres de la meu..Tribu, cette homme à comprit l'erreur des sien et a obéis à vos paroles.

Affirmant d'un signe de tête .

[Yahto Parak]

Yahto fit les yeux ronds et eut un petit rire.

-Les récompenser ? Allons bon, Sura, tu dérailles. N'oublie pas qu'ils ont essayé de me tuer, à la base. Je ne vais certainement pas "récompenser" ce genre de comportement. Non.

Leur "récompense" est d'être toujours en vie. Fut une époque où toute la famille aurait été éradiquée, leurs cendres dispersées aux quatre vents et leur nom effacé des registres.

Il eut un soupir puis revint à Sura.

-Nous partons demain pour la Citadelle, de là nous prendrons un bateau pour la Nation du Feu. Direction l'Île d'Hosho.

Espérons que ce séjour sera les vacances dont j'ai tant besoin.

[Fin de la ligne du temps pré-Hosho]