Le dédale

[Quan Lao Tsu]

Il y avait pour illustré les propos de L'officier plusieurs dizaine de pendule et horloge sur le mur. Ce passant la main dans les cheveux le vendeur souris et en son fort intérieur il fut soulager, à croire que chaque personne qui passé le pas de cette porte avait des demandes bien simple pour leur apparence si étrange. A croire que aucune apparence n'était ce à quoi Quan pensée au premier abord, et cela l'arranger bien il dois dire.

- Comme vous pouvez le voir oui, nous ne faisons pas uniquement de la vente. Donnée la moi donc, je vais regarder ça. Pour changer la pile nul besoin que ce soit mon grand père qui regarde cela, je peux m'en occupé.

Il fit tournée sur lui même la chaise et prit de quoi réparé la commande du clients, une petite lentille pour mieux voir et quelque jeux de tourne vis de petite taille. Revenant au comptoir, gardent toujours ce sourire sur le visage, prêt pour bricoler un peu.

[Le Tribun]

YINGZI

-Sans déconner ?

*C'est tout ce que demande le vigile avant que Yingzi se barre. Personne ne lui court après si ce n'est les gens à l'intérieur qui se barre en courant pour fuir les flammes. Mais ils ne courraient pas vraiment après Yingzi. C'était juste une heureuse coïncidence.

Le fils de la terre pouvait tracer sa route à travers les ruelles sans être inquiété, ni par des brigands, ni par des flics. C'était une affaire rondement menée !*

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AYLA

*Ayla venait de se préparer pour partir au boulot. Pas de courrier et plus de fille beurrée. C'était pas si mal de pas à avoir à enjamber une totale inconnue. Dehors, il faisait déjà meilleur que la veille (mais je me répète), le bus arrive. C'était cool ce genre de matin où le bus arrive pile quand on arrive. Ça annonce souvent une bonne journée.*

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QUAN

*Le policier fut soulagé et fit un grand sourire à Quan.*

-Ah ! Je vous dois une fière bretelle ! Vous me sauvez ma vie !

*Rien que ça.*

[Ayla]

J'adore ça! Quand le bus arrive pile-poil quand je me pointe, c'est du tout bon. J'allais donc au travail de bonne humeur, même si je restais un peu stressée du retard potentiel que j'aurais. J'arrivais heureusement à l'usine juste à temps pour pointer et faire mon œuvre jusqu'à la fin de journée. J'avais beaucoup bossé aujourd'hui. Heures supp', tout ça. C'était de toute façon le tarif si je voulais garder l'appartement.

En sortant, il faisait déjà noir. C'est le genre de chose qui vous plomberait le moral facile. Mais j'étais plus jouasse que ça, il faut dire que demain c'était repos! Une fois n'est pas coutume, je décidais de sortir écumer la grande ville. Peut-être aller voir un match de pro-bending aussi... Qui sait, peut-être que j'en avais l'argent dans mes poches?

Eeeeeeeet... Non.

Un rapide coup d'œil me rappela ma condition. Faut pas déconner non plus, j'ai pas les moyens de m'offrir ce genre de choses. Déjà qu'un verre occasionnel et un repas au Chevautruche qui Fume pouvait parfois me mettre dans le rouge, selon mon état d'ébriété, j'étais forcée de faire attention à mon porte-monnaie.

Mais déjà, simplement vaquer dans le centre ville me paraissait une bonne idée. Oh que oui, une promenade me ferait le plus grand bien!

[Le Tribun]

AYLA

*Fort heureusement un bus menant directement vers le coeur de la villearrivait, cette soirée serait certainement une bonne soirée !*

[Quan Lao Tsu]

- Mais ce n'est rien officier, c'est bien mon métier, cela fera 30 yuan . Avez vous besoin d'autre chose ?

Ce dirigeant vers la caisse pour terminé la commande, poussant de ses mains les roue qui grincé un peut sur le parquet user . Le soleil éclairant la pièce, on pouvait voir la poussière qui était soulevé pars le mouvement avec en le son des horloges qui résonner. On pouvait entendre en plus de cela le bricolage du grand père dans l'arrière boutique, malgré toute cette vie, la boutique était calme.

[Le Tribun]

QUAN

-Non ça ira ! Merci beaucoup !

*Après avoir payé le vendeur, le policier fait volte-face et s'en va du magasin. La journée s'avance. Voilà maintenant deux heures qu'il n'a pas eu de clients supplémentaires.
Ses nuits agitées et le peu de sommeil qui en résulte commencent à se faire sentir, et il somnole à présent légèrement sur son comptoir.
Heureusement, le papy semble très occupé à bidouiller un truc dans l'arrière boutique.
La rue est vide, le magasin aussi...il semblerait que le monde entier ait décidé de vous mener la vie dure à tous deux.*

Hé...

Hého ?!

*Tiens, non. Il y a quelqu'un qui est entré dans la boutique sans que tu l'entendes.

Ca y est, la lumière est allumée ? J'ai un machin à faire réparer.

Il te tend le "machin" en question qui ressemble à une boite cubique. A y regarder de plus près il s'agit d'une horloge, finement gravée et décorée.
Pour tes yeux avertis, il est évident que l'objet a de la valeur. Ce qui contraste avec le ton et surtout le terme employé par le client pour désigner l'objet.

[Quan Lao Tsu]

Ce réveillant est venant près que à faire tomber la tasse de thé froid qui était poser sur le comptoir. Retrouvant ses esprits Quan, repris une mine plus amical avec un sourire remonté jusqu'au oreille. Cela faisait plus vendeur, faisant donc face à la personne qui de pars ces habit n'étais pas un client des plus habituel pour la marchandise apporté. Tien quelque chose de louche. Prenant la montre à gousset poser sur le comptoir et l'examinant.

- Oui oui cela peut être réparer, maaais cela va vous coûtez plutôt cher. Vous êtes sur d'avoir les moyens pour cela ? Si non, je peu toujours voir pour vous la reprendre contre quelque yuan. A vous de me dire.

S’enfonçant dans son siège, il croisa les mains avec la montre dans celle-ci. Continuant son observation, professionnel.

" Un voleur à la tire assurément, bien ma veine tien .Toute au mieux un orphelin qui a un héritage et encore ça...c'est vivre dans le monde merveilleux des biches-cygne et des vertes prairie. "

[Le Tribun]

Quan

Ton client semble hésiter sur la marche à suivre.

On m'a conseillé de venir vous voir en précisant que vous seriez l'homme de la situation, vous et pas un autre.
Vous pensez pouvoir le faire non ? Pas besoin de s'inquiéter pour mes moyens et occupez-vous des vôtres, l'artisan.

Dur de rater le ton ironique employé pour finir sa phrase.

Je suis pas pressé, je reviens dans un peu plus d'une semaine voir où vous en êtes.

Et il te laisse là seul avec son horloge.

A la base c'est une petite horloge, mais si tu préfères une montre à gousset ça ne change rien en fait x)

[Quan Lao Tsu]

Soupirant en ce passant la main sur le visage, ce n'était pas ça journée qui commençait bien. Il mis donc sur sur ses genoux l'horloge et partie voir son grand père pour voir à prendre donc la commande .

- Grand père, on a un clients pour qui faudra peut être gardé le produit. Il n'a pas voulu faire d'avance sur le produit, enfin bon dans le quartier c'est habituel. Je fais quoi de l'horloge.

Rentrant dans l'atelier et le lui montrant en ce balançant sur son siège.

[Le Tribun]

QUAN

Le grand-père lève les yeux du défi de sa vie du moment : un coucou qu'il bidouille depuis des jours et qui s'obstine à ne pas fonctionner.

Donne !

Il tourne l'horloge dans tous les sens, la secoue doucement et la scrute sous tous les angles.

Mhmmm...

Il sort un tournevis pour enlever le panneau arrière et regarder l'intérieur de l'engin.

Qu'est-ce que c'est que ce machin ?

Il en ressort un bout de papier plié.

Tu m'étonnes que ça marche pas, si on s'amuse à y flanquer des trucs qui n'ont rien à faire là !

Il jette le papier par terre et recommence à son étude du mécanisme sans faire plus attention à toi.