Le dédale

[Le Tribun]

YINGZI

*La déclaration de Yingzi a le don d'énerver ses compagnons de jeu qui se lèvent en choeur quand le fils de la terre annonce son départ. Ils ne l'entendaient pas de cette oreille et la situation n'allait pas tarder à partir en cacahuète.*

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AYLA

*Ayla parvient à faire dormir la demoiselle qui se vomit dessus sans que cette dernière ne s'étouffe dans son vomi, c'est un peu chiant de se faire réveiller par une ambulance à cause d'un mort puis après la police mène l'enquête et on finit toujours par avoir des problèmes.

Au vu de ses démarches actuelles, mieux valait qu'elle ne se fasse pas remarquer.

Aussi la nuit fut bonne si on enlève un cri qui l'avait réveillé dans la nuit. Desfois, y a des gens qui se font agresser. C'est comme ça le dédale.

En tout cas, il faisait beau, ça allait être une bonne journée.*

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QUAN

*Pas de chance pour Quan, son grand-père était mal luné ce matin.*

-Hé bien alors ! Qu'est ce que tu as fabriqué de ta nuit pour te lever si tard ?! T'as vu l'heure !

*Il était 8h30.*

[Quan Lao Tsu]

Ce secouant les puces pour ainsi dure, et buvant son thé qui avait refroidie il regardait de manière déterrer son grand père qui avait réussis à l'attrapé pars la conversation avant sa fuite.

- Hurm...mes jambes, mes jambes mon fait mal..ce qui ne ma pas laisser beaucoup d'heurs pour dormir. Ne t’inquiète donc pas comme ça grand père ça ira pour aujourd'hui, mais tu ces comme c'est ... autre chose que tu as besoin ?

Buvant des gorgées de thé pour ponctuer sa phrase, grimaçant sous le goût amère de celui-ci. Repartant ensuite vers le comptoirs.

[Le Tribun]

QUAN

[HRP: Désolé, coquille dans le post précédent, je voulais dire "tard" et pas l'inverse, ça a été corrigé]

*L'argument des jambes, le seul contre lequel le vieil homme avait du mal à argumenter.*

-Ouais bah ... T'as qu'à en prendre soin, de tes jambes ! Sinon tu n'auras jamais ma forme quand tu auras mon âge mon garçon !

*Il pointe un doigt rageur vers son petit-fils.*

-Je ne serais pas toujours là pour prendre soin de toi !

*Non mais. Quan pouvait partir vers son comptoir. Mais personne ne semblait se presser sauf peut-être un agent de police en uniforme qui venait de faire son entrée.*

[Yingzi]

Musique d'ambiance.

Comme le disait feu ma mère: la meilleure défense, c'est un bon gros coup de latte dans les parties.

Je prends donc à cœur d'appliquer ce sage conseil en dégommant l'entrejambe du premier mauvais payeur à portée avec mes grosses godasses sans que celui-ci n'ait le temps de crier gare.

Sans attendre la suite, je réduis la distance avec les autres afin qu'ils fassent connaissance avec deux de mes compagnons de voyage, solidement arnachés à mes poings : paix et amour.

[Le Tribun]

YINGZI

*Le premier des combattants s'effondrent sans avoir eu le temps d'esquisser un geste. Les deux autres sont pris de vitesse par le fils de la terre et se font sécher par ses poings rapides. Parmi les deux derniers gaillards à tomber, il y avait un maitre du feu qui avait préparé son attaque qui malheureusement file vers le plafond. En un bois ancien bien sec.

Ça s'embrase.*

[Quan Lao Tsu]

De manière toute à fais placide Quan prit une gorgée de son thé, et quant il vue l'officier de police rentrée, lentement il recracha le liquide qu'il avait en bouche. C'était un peut la panique dans la tête du vendeur, qui avait tous de même la petite boule au ventre. Même s'il le savait, il n'avait rien à ce reproché. Prenant un air en premier lieux surpris, il s'adressa à l'officier.

- Monsieur...l'agent que nous vos cette visite aussi matinale ? Rien de grave n'est arrivé à notre bon cartier paisible j'espère ? Dit-il avec une certaine ironie, car le dédale était tous de même les bas fond de République City après tous. La ou l'on y mettes la basse populace, celle qui ne pouvais vivre dans les grande tours et autre maison au vert jardin.

Reposant sa tasse qu'il tenait toujours dans ça mains, il croisa celle-ci et posa son menton dessus.

[Yingzi]

Je me saisi aussitôt d'une chaise que je balance de toute mes force afin de briser l'une des fenêtre de la pièce.

Je m'approche du rebord et repère une autre fenêtre en contrebas, de l'autre coté de la ruelle : si je prends suffisamment d'élan, je pourrai m'accrocher à son rebords et descendre en m'aidant du tuyau d'évacuation des eaux situé non loin de là.

Qui m'aime me suive !

Arnachant solidement mon butin, je prend du recul et après une profonde respiration suivie d'une course effrénée, je fais finalement le grand saut vers l'inconnue.

[Le Tribun]

QUAN

*L'officier de police lève de grands yeux vers Quan.*

-Hein ? Non.

*Il sort une montre à gousset.*

-J'aimerais changer la pile. Si je sais pas quelle heure il est, je suis perdu.

*Il fronce les sourcils.*

-Vous faites bien dans l'horlogerie non ?

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YINGZI

*Étrangement, la plupart des gens présent dans la pièce ont une préférence pour la porte plutôt que pour la fenêtre. Yingzi se retrouve donc tout seul à sauter par la fenêtre et c'est sans difficulté qu'il parvient à rejoindre le niveau du sol où il retrouve les deux hommes de mains chargés de veiller sur l'accès à ce lieu un peu underground.

L'un des deux est étonné de voir Yingzi débarquer de cette manière.*

-Mais qu'est ce que qu'il se passe là-haut ?

[Yingzi]

Qu'est-ce que j'en sais moi ? Demandez donc au maître du feu qui a commencé à tout cramer à l'étage ! Moi je me tire d'ici avant que l'immeuble ne soit carbonisé et que les pompiers accompagnés de la police viennent vérifier d'où vient la fumée !

Et je détale aussitôt à toute vitesse.

[Ayla]

En effet la journée promettait, un beau temps comme ça au réveil, ça me mettait toujours de bonne humeur! En plus je me trouvais ici bien plus reposée qu'hier, j'avais bien récupéré de mon insomnie de l'autre nuit. J'ouvre la fenêtre pour humer l'air, même si je me doute qu'il est pollué... et puis ça reste plus frais que l'atmosphère de renfermé dans mon appartement.

Vivement que je change de bled.

En attendant, il fallait aller bosser. Et j'étais presque en retard. Merde.

Je saute dans mes habits sans prendre la peine de boire un café ou de m'allumer une clope. Ça attendrait la pause ou la fin de journée. J'espère juste ne pas devenir irascible entre temps! C'est en claquant la porte que j'attrape au passage mon courrier si il y en a. Je les lirais dans le bus vers l'usine.