[CIT] Le Port de la Lune

[Lyssandre]

La jeune femme restait à l’affut d’un quelconque changement dans son environnement.

Lyssandre se pencha vers Mako tout en le maintenant au sol avec son genou. Elle lui tapota la joue tout en prenant un air peiné.

- C’est vrai, tu as raison. Si tu étais un marin. J’aurais commencé par les mains.

Elle prit la main de Mako dans la sienne.

- Mais, si ce n’est pas le cas….

Elle laissa sa phrase en suspens, pendant un cours instant.

Puis elle se remit à l’action en arrachant une partie du vêtement du jeune homme qu'elle lui fourra dans la bouche.

- Mais si tu me mens, je ne peux pas prendre le risque de te voir te défendre.

Elle se releva tout en le maintenant au sol avec son pied et d’un mouvement rapide elle lui cassa le genou. Elle accentuait son emprise au sol grâce à son pouvoir.

- Nous avons tout notre temps. Le corps comporte de nombreuses articulations. Et puis qui pourrait te venir en aide dans une rue aussi éloignée et sordide ?

Le jeune homme étant sous le coup de la douleur et ne pouvant pas réagir. Elle en profita pour le fouiller et le délester de tous objets se trouvant sur lui ayant de l'intérêt.

Puis la jeune femme retira le tissu de la bouche de l'homme tout en prenant garde d’avoir ses doigts bien éloignés des dents de Mako.
Elle se pencha vers lui tout en lui soufflant à l’oreille.

- Bien reprenons, veux-tu. Qui es-tu ? Et pourquoi tu me suis ? Car vois tu. Il était impossible que tu saches que je n'avais pas de papier d'identité car personne n'était au courant.


Lyssandre détestait faire ce genre de chose. Car ce n’était pas dans sa nature.

Elle faisait en sorte d’instaurer un climat de peur pour l’inciter à parler plus rapidement.

[Le Tribun]

[HRP: trololo, comment foutre tout un Rp' en l'air parce que j'avais zappé un détail, je pensais que Mako était au courant du statut sans papier de ton perso --"
Sinon je confirme, il va falloir que t'arrêtes de poster à Hosho tant que j'arriverais pas à faire retrouver la temporalité =)
Et la terre repose sous une épaisse couche de glace, donc tu peux difficilement t'en servir]

*Mako était coincé par une femme hystérique à ses yeux qui lui brisa les genoux avec une certaine froideur et précision mortelle. Il était paralysé par la peur et chaque démonstration de la femme l'enferma d'avantage dans la terreur.

Il se laissa fouiller et hélas, elle ne trouva pas grand chose, si ce n'est une bourse remplie de quelques billets.*

-Comment je pouvais savoir que t'avais pas de papier ? Je sais pas, parce que seuls les étrangers sans papier font appel à notre navire pour faire la traversée. Je pensais que tu le savais. Notre navire est habitué de ce genre de boulot.

*Malgré la peur, il arrivait à être méprisant. Si Mako avait été sympa avec elle jusqu'à présent. Ce serait fini.*

[Lyssandre]

(HRP : Comme ce genre de rp me met mal à l’aise je vais l’abréger surtout s’il y a rien à en tirer. Est qu’on peut partir du principe qu’il s’évanouit sous la douleur ?)

Elle récupéra la bourse pleine de billets pour son compte.

- Pour une personne qui est censé avoir peur. Tu es bien méprisant.

Son visage était froid, sans aucune émotion apparente. Elle ne prenait aucun plaisirs à faire cela. Mais pourtant elle continua à la recherche d’informations supplémentaires. Cette fois-ci elle attaqua la main, en lui cassant les doigts un à un, tout en lui mettant un chiffon dans la bouche pour ne pas l’attendre crier.

[Le Tribun]

HRP: Non, assume d'être une vilaine :p

*Mako tenta de défier du regard Lyssandre mais il s'en mordait les doigts, il n'arrivait un peu à rien en fait.*

-C'est pas de ma faute, je suis pas censé deviner que tu es complètement à la ramasse et que ça te rend totallement imprévisible !

*Il pensa très fort qu'en fait elle était folle et qu'elle méritait d'être enfermé, mais au vu du traitement qu'il subissait, il préféra s'abstenir.

Sage de sa part n'est ce pas ?

Du coup il crie, mais ne s'évanouit pas. C'était un marin, il avait une forte constitution.*

[Javeldose]

Nathanaël V.Speen

Message précédent

* Le marchand revenait de la grande place où il s'était entretenu avec Nauja sur sa démission, et ses craintes d'un incident à la citadelle, et au festival d'Hosho. *

Nathanaël : l'ambiance est pas folichonne, alors y'a intérêt à ce que tout se passe bien.

* Son esprit était pollué par le souvenir de son père. Il faisait pourtant des efforts pour se rappeler les bons moments qu'il avait pu passer avec lui, mais quoiqu'il fasse... c'était plus fort que lui. Comme une douleur d'un faux mouvement nocturne que l'on oublie et qui prend un malin plaisir à vous le rappeler opportunément. *

Nathanaël : Machine devrait se pointer, avec ou sans sa cousine.

* Il n'avait pas vraiment la mémoire des noms, mais il avait une bonne mémoire, elle devait aller aux académies pour parler de maitrise pointue de l'eau dans du soin nouvelle génération. *

[Yukiko]

Le cris des marins qui s'activaient à faire accosté le navire au port, cela faisait plusieurs semaine maintenant qu'ils étaient repartie de l'ile de Hosho. Notre homme en revenait quelque peut changer, ses quelques jours lui avait fais vivre bien des choses, son point de vue sur le Patriarche avait lui aussi changer. Au final il se demandé encore pour quoi suivre cet homme mais la réponse n'était pas encore à porté, son esprit divagant en observant l'horizon gris et ternie pars les cheminé de l'ancienne citadelle.

Cela lui avait manqué, le froid de la Toundra, il le signifiait d'un légers plissement des lèvres. Quelque soit l'endroit ou il pouvait êtres, le pôle sud restait l'endroit où il ce sentait le plus à son aise. Et pour temps, c'est ici même que sa famille est morte, morte ? Oui, mais pour quoi étais la véritable question. Embuer dans ses souvenirs et chimère, il prit quelque instant pour ce reposer. Sa confiance en l'homme commençait doucement à ce faire, elle s’étendait tel un courant d'eau vers un nouvelle mer,lac, océan .

Au final quel étais ses convictions depuis tous ce temps, apprendre l'homme à travers les armes lui semblé un concepts bien étrange maintenant et pour temps il savait qu'il avait encore beaucoup à apprendre. Toute ses lectures qu'il avait faite ce jour là, le jour où il était prisonnier de cet homme. Le Léviathan, restait une énigme pour lui car il n'avait réellement pus questionnée ses maitres à ce sujet et comprendre la réelle nature de cet homme. Et pour temps d'une façon, il l’éduqua. Prisonnier il ne pouvait rien faire, épuiser, la maitrise même était un fardeau. C'est dans la lecture de plusieurs rouleau et manuscrit qu'il s'instruit, de règles, de philosophie, d'histoire. Mais tous ce si n'avait êtes qu'une préoccupation.

Le navire arrivé à destination, il était temps de réveiller le Patriarche. Partant donc dans cette optique, Sura ouvrit la porte de son seigneur sans aucune pudeur. Il manquait encore parfois de tacts et d'étiquette à notre ancien vagabond. Ce qui pour certain trouvé que cela lui donnée un genre. Après tous, comme croire un simple vagabond douer d'une réflexion ?

- Patriarche, nous sommes arrivé.

[Yahto Parak]

*Yahto sursaute, il s'était endormi durant le trajet. Vexé d'avoir pris plusieurs taulées au Paï Sho contre la vieille, il avait décidé de passer le reste du séjour dans sa cabine à pioncer. Ce séjour à la Nation du Feu l'avait épuisé même s'il avait reprit des couleurs et avait pu se reposer à loisir.*

-Mmh... Il est quelle heure ?!

*Il se redresse et se frotte les yeux.*

-J'ai dormi longtemps ?

*Il se racle la gorge et se relève.*

-Il nous faut rassembler nos affaires. J'aimerais ne pas m'attarder à la Citadelle plus que de raison. Notre traineau doit être prêt avant ce soir.

[Shloka]

*Shloka observait la magnificence des glaciers du pôle sud. Il n'avait que peu voyagé dans le courant de sa vie mais ces derniers temps, il semblait que la vie lui réservait de nombreuses surprises. Le trajet avait été assez agréable malgré son état, il était sorti prendre l'air de temps à autre, enroulé dans un manteau chaud, il méditait et dormait dans sa chambre et mangeait ce qu'on lui donnait sans se mêler aux autres gens. Il n'avait pas vraiment la tête à faire des rencontres.*

-Ouah que c'est beau !

*Il apercevait la citadelle au loin et réalisa soudain qu'il n'avait absolument pas prévu quoi faire sur place une fois qu'il serait arrivé. Sa rapidité à quitter sa terre natale l'avait fait bâcler plusieurs éléments importants comme avoir des vêtements corrects pour tenir dans le froid, avoir un lieu où loger, connaître des gens qui pourraient l'aider,...*

/Mince... je crois que je me suis encore trop vite précipité... j'ai pas vraiment pensé à ce que je ferais là-bas...Bah ils ont sans doute un dojo ou bien un lieu où je pourrai apprendre la culture locale. Mieux vaut ne pas trop s'inquiéter avant d'avoir les soucis./

*Il attendait avec impatience que la navire arrive pour découvrir le pôle sud. La tribu soeur de celle de sa famille.*

[Yukiko]

Il s'avança dans la cabine et ouvrit en grand les rideaux qui masqué les rayons du soleil, commençant à s'occupe des affaires disparate qui était poser pars ici et pars là pour en faire les valises et affaire. Pars chance le Patriarche n'était pas le genre de personne qui avait plus d'affaire que nécessaire. Cela ce fit donc rapidement, bien sur ce n'était du grand ménage non plus toute était mise attifement dans ce qui servais de valise. Le Garde du corps n'avais bien sur jamais quitté son arc qui resté bandé quant il était éveiller.

- Vous avez dormi plusieurs heures, et sûrement bu assez au vue du nombre de bouteille que je puis voir. Les terres sont en vue d'où ma présence pour vous avoir réveiller.

Après avoir terminé de ranger les affaires sommairement, il ce posa dans la cabine pour attendre la suite des demande du Patriarche.

- D'autre volonté, Patriarche ?

[Guru givré]

SHLOKA

*Shloka avait passé un voyage coupé des autres fils de l'eau du navire. Ce qui avait été globalement du goût de tous. Depuis la fête, les passagers ne portaient pas vraiment les fils du feu dans leur coeur. Malheureusement pour Shloka, le froid mordant du Pôle Sud rendait son armure complètement inutilisable et il ressentait déjà les effets de son empressement. Le froid allait avoir raison de lui assez promptement d'autant que le voilà lesté d'un sacré poids. C'est que déjà que porter une armure n'est pas simple, mais devoir se la porter à bout de bras, c'est pas la même sinécure.

Mais voilà que le navire arrive enfin à destination. Le Port de la Lune.*