Les logements et lieux de vie

[Avatar Korra]

*Ainsi les enfants du Chef de la Tribu du Pôle Nord venait d'arriver, peu de temps après le départ du Seigneur du Feu. Domros Kahn était toujours là et parlait de tout et de rien avec un Wyrd assez peu intéressé par ses paroles mais fichtrement poli.

Korra n'avait pas pensé à demander des nouvelles de Lance au Seigneur du Feu. Il faudrait qu'elle le fasse demain...

Mais elle ne pensa pas à tout ça et s'inclina devant les princes et princesses avec un sourire. Ils étaient jeunes mais paraissaient sympathiques. Elle nota également la présence de gardes royaux et de 3 autres personnes aux accoutrements beaucoup plus éclectiques.*

Des amis du prince ?

*Se demanda-t-elle quand le prince héritier en personne tendit une rose à Kaya, chose qui fit sourire Korra surtout à l'énonciation du "gentleman des océans". Le titre pompeux fit glousser l'avatar et elle devina assez rapidement qu'il s'agissait certainement du Papy Bateau. Après tout, ils avaient la même tranche d'âge et cela rentrait bien dans le caractère rapidement décrit par Wyrd. Elle lui lança un regard amusé et interrogateur. Il lui répondit avec un mouvement de tête désabusé qui arracha un sourire plus grand à Korra.

Kaya avait un admirateur ! Korra aurait adoré taquiner la Chef, mais ils n'étaient pas en privé et elle ne savait pas si ce genre de remarque serait pertinente en face du Chef Hakan et de sa suite.

Quand un détail la marqua et la troubla...*

Elle a plus de succès que moi...

*Hé oui, avec tout cet entrainement, Korra n'avait plus eu le temps de s'occuper de "ça". Oh elle avait bien connu les joies de l'amour dans son adolescence. Mais une déception amoureuse couplée à des difficultés de son apprentissage l'éloignèrent de tout ça... D'autant plus que les fils de l'air n'étaient pas du tout son genre d'homme. Les cheveux, c'est quand même chouette.

Troublée, elle fit une grimace qu'elle masqua bien vite par un autre grand sourire. Elle était contente pour Kaya.

Mais l'ambiance se troubla légèrement. Les accompagnateurs des princes semblaient se prendre le bec et les lances des gardes venaient de céder.*

Un autre coup de Papy Bateau ?

*Elle regarda également s'éloigner deux hommes qui semblaient vouloir en découdre. Idée qui dit comme ça, semblait complètement stupide.

Elle lança un regard à Wyrd, mais ce dernier lui indiqua qu'il ne pouvait et ne voulait rien faire. Embêtée, elle aurait aimé aider, mais elle ne savait pas de quoi il en retournait et ne voulait pas faire de bêtises. Aussi elle préféra s'abstenir. Ce n'était pas ses affaires après tout. Elle avait plus important à gérer.*

[Le Conteur Blanc]

YORKO

*A l'oreille du Chef de guerre, la voix rauque d'Ineka se fit entendre. Cette dernière s'était poliment penchée vers lui quand elle capta la conversation entre Amarok et Azaruk.*

-Mon ami, je déteste m'impliquer dans tes affaires, mais je te conseille toutefois d'intervenir avant que la situation ne dégénère.

*Elle se redressa au moment où les lances se brisèrent. Choquée, elle se mura dans le silence en portant un regard furtif aux armes.*

...

*Elle tourna légèrement la tête vers le Chef de guerre. Son regard était grave, car si comme elle le craignait, ces deux gaillards ne se livrent à un combat de coq à pareil moment, les conséquences pourrait être dramatique pour eux.

Elle aurait peut-être une conversation avec ce garde royal. Car même si elle n'était pas dans l'armée, ce dernier faisait honte à la délégation du Pôle Nord. Elle n'aimait pas ça.*

[Conseiller du Feu]

Les officiels

*Tout se passe bien. Beaucoup se retirent, d'autres restent. Domros reste avec ses hôtes et discutent avec qui le veut bien en apportant des précisions sur des choses à faire, à découvrir et sur tout ce qui est bien sur cette île et pour cette fête en leur honneur.

Ah qu'il prend bien soin de ses hôtes celui-là... Mais qu'est ce qu'il est collant.*

Amarok & Azaruk

*Les gardes royaux assignés à la sécurité de la petite réception vous regardent sortir avec un air tendu. Si Azaruk était stressé par les derniers évènements, eux ne le savaient pas et n'appréciaient pas du tout de voir ce qui était en train de se passer.

Beaucoup se lancèrent des regards discrets et manoeuvrèrent discrètement pour parer à toute éventualité.

Les épées se dégainèrent. La situation devenait tendue. Azaruk pourrait le sentir, il était dans le métier après tout... *

Kayo

*Le vieil homme ferme la porte vers Kayo et pars sans un mot en faisant signe au fils de la terre de le suivre. Il traverse un petit couloir jusqu'à arriver dans un petit jardin, protégé par des grillages et des buissons. Il grimace quand ils arrivent à l'extérieur, le jour était en train de tomber mais les festivités aidant ; il y avait toujours beaucoup de monde.*

-Fichu festival ! On est plus chez nous !

*Il se tourne vers Kayo en s'essuyant le visage avec un chiffon.*

-J'espère que tu t'y connais en travail de la terre. J'aimerais que tu m'arraches la mauvaise herbe et que tu me retournes ce petit lopin de terre là-bas. Il va falloir que je prépare les tomates pour l'été qui approche ! 7

Saiko & Den

*Le groupe va donc loger là pour la nuit et ils se répartissent donc les taches. Ils se coucheront tôt pour pouvoir se lever le lendemain sans difficulté.*
[HRP: Rien d'intéressant à dire pour le moment, je mets ton Rp' en pause jusqu'au jour 2]

Flamme

[HRP: Même combat, dors bien petit enfant :p]

[Kenaï Hakan]

La réponse de la chef du Pôle Sud balaya toute crainte de Kenaï. Il avait vu juste ! La rose était bien pour elle. Il eut un grand sourire quand elle lui demanda s'ils avaient croisé papy bateau.

-Oui, nous l'avons vu sur la plage et il nous a accompagné partout ensuite. C'est un homme plutôt sympathique, fit-il en toute franchise.

Il aurait bien discuté encore de cet étrange vieillard, seulement, il s'aperçut du trouble qui s'installait, et vit Amarok et Azaruk sortir de l'hôtel. Et ensuite, les armes des gardes royaux qui les avaient accompagné se brisèrent. Il lança un regard plus interrogatif qu'inquiet à son père.

[Ermite des vagues]

Le chef de guerre avait toujours son regard porté sur Lyanna, quand le fracas des armes brisé s'éleva. Là, le chef de guerre vit rouge. Comment une telle chose était-elle possible ?

Mais il ne s'interrogea pas bien longtemps. Le départ de l'un de ses éléments les plus prometteurs, et du pécheur avait suscité l'attention, et couplé avec les armes détruites aussi facilement, la tension monta d'un cran. Ineka lui glissa même quelques mots. Qui n’améliora pas l'humeur de Kharstark.

-Justement, ce ne sont pas tes affaires Ineka.

Bien sûr, Toruuk Hakan avait suivi leur échange, il allait demander à Kharstark des explications. Et pas vraiment parce qu'il était inquiet, même si les armes brisées ne l'avaient pas fait rire non plus. Plus parce que la tension ambiante l'exigeait. Les regards des deux hommes se croisèrent. Ces deux là se comprenaient si bien qu'il n'y avait pas besoin de mots.

-Je m'en charge. Que personne n'intervienne !....Alala ces jeunes !

Toruuk le laissa faire. Et rassura les dignitaires :

-Il n'y a rien à craindre, je vous assure. Ce n'est sans doute qu'une dispute entre ces deux jeunes hommes, rien de dramatique.

Le chef de guerre partit donc en direction de l'entrée de l'hôtel, d'un pas décidé. Arrivé à hauteur de Lyanna, il crut bon de lui dire quelques mots :

-Toi, tu restes là !

Puis il rejoignit donc les gardes qui avaient levé leurs armes vers Amarok et Azaruk.

-Baissez donc vos armes. Ils ne vont tuer personne. A part eux peut-être, mais ça, ça les regarde !

Il était en mode "autoritaire" le chef de guerre, et bien décidé à ce qu'on lui obéisse. Il se mit alors entre les deux idiots du jour. Son regard se posa plus longuement sur Azaruk. Ce dernier n'agissait jamais sans bonne raison. Même si là, il ignorait de quoi il s'agissait, et porta encore la faute sur Lyanna. Après tout, il n'était pas sans ignorer les liens qui unissaient le garde et la jeune femme.

-J'espère que ce n'est pas pour elle que vous voulez vous battre. Mais maintenant que vous êtes là, allez-y ! Mais tâchez de faire honneur au Pôle Nord quand même !

Si Yorko Kharstak n'avait pas stoppé d'emblée les deux hommes, c'est qu'il voulait saisir cette occasion pour les juger en même temps. Et il avait de toute façon senti qu'entre eux, le courant ne passait pas. Et parfois, il fallait passer par la manière forte. Et au pire, si ça dégénérait, il était là.

[Le Conteur Blanc]

[HRP: Je posterais plus tard avec la "vraie" animation, mais j'étais obligé de réagir au dernier post :p]

*Furieuse, Ineka foudroie du regard le chef du guerre du Pôle Nord alors que ce dernier se dirige vers la sortie et que le Chef du Pôle Nord se voit contraint de rassurer et détendre les esprits.*

Je n'aurais pas à me mêler de tes affaires si tu tenais tes hommes, abruti !

*Voilà ce qu'elle lui aurait rétorqué si... Bah si elle n'était pas bien plus distinguée qu'il ne le serait jamais. Outrée et furieuse, Ineka affiche un masque de neutralité et s'incline respectueusement.*

-Je vais me retirer dans mes appartements. Passez une bonne fin de soirée.

*Et sobrement, elle se retourne et s'en va, non sans accorder un dernier regard vers l'arrière.

Le message avait été, semble-t-il, entendu.*

[HRP: By the Way, les gardes royaux de la NF n'ont pas dégainés d'armes mais se tenaient juste prêt à intervenir en cas d'échauffourée, mais je pense que vu comme la situation part en couille, ils vont juste s'assurer que le combat à l'épée reste "amical". Quitte à intervenir si ça part vraiment en couille. Ce Rp' part en sucette, event's style]

[Kaya Iluak]

Kaya sentant l'heure tardive s'inclina et se retira pour la nuit.

-Mesdames, messieurs, je vous souhaite la bonne nuit.

Aussitôt dit, aussitôt fait.

[Anora Nakaide]

Anora salua le chef du Pôle Sud avant de revenir à la présente situation où la tension ne faisait qu'aller croissante.

-Mais qu'est-ce qu'il se passe entre ces deux-là là-bas ?

Dit-elle innocemment. *tousse tousse* Quoi ?

Raan Afut crut bon de lui répondre.

-Il semblerait qu'ils veuillent en arriver à dégainer leurs armes pendant cette réunion qui doit célébrer la réconciliation et la bonne entente de nos nations. En somme, un exemple dont on se passerait volontiers.

Les deux font la paire, n'est-ce pas ?

[Gwlaglus]

Quand les armes des gardes royaux qui les avaient accompagné durant leur découverte d'une partie de l'île se brisèrent, Lyanna sursauta presque, tant toute son attention était tournée vers ce qui se passait à l'extérieur de l'hôtel. Elle éprouvait même des remords. Si elle s'était confiée à Azaruk, rien de tout ceci n'aurait eu lieu. Enfin, c'était ce qu'elle croyait.

Les éclats de voix entre Ineka et le chef de guerre la forcèrent à se retourner vers le groupe de dignitaires. La colère qui se lut sur le visage de Kharstak ne présagea rien de bon. Il allait intervenir. Lyanna eut comme un regard suppliant envers lui. Par crainte qu'il ne veuille botter les fesses d'Azaruk et d'Amarok. La tension se fit encore plus palpable, et quand le chef de guerre fut à sa portée, elle fit quelques pas dans sa direction. Mais il la stoppa proprement, avec ses mots. Son ton était autoritaire, et pour le coup, Lyanna n'eut pas envie de se frotter à lui. Elle devait rester près du prince en plus. Il y aurait eu une solution simple : décider Kenaï à aller voir ce qu'il se passait. Elle ne la choisit pas. De toute façon, quoiqu'il se passe ensuite pour Azaruk et Amarok, ils ne devaient pas espérer revenir vers elle comme si de rien n'était.

Les lieux se vidaient peu à peu des invités. Et Lyanna vit alors une Ineka apparemment énervée aller se coucher, bientôt suivit par la chef du Pôle Sud. Et les paroles échangées ensuite entre une tribaine du Pole Sud et le sage Raan Afut ne firent qu'ajouter de la colère en la jeune femme. Comment un « simple » duel né d'un différend entre ses deux amis pouvait-il amener de telles réactions si disproportionnées ? D'autant que ça ne les concernait pas.

Elle leur lança un regard désabusé. Tout en s'efforçant de rester maître d'elle même et de ne pas monter au créneau. L'image du Pôle Nord était déjà écornée, pas la peine d'en rajouter.

[Daisuke]

-H15-

S'il avait vu la réaction quelque peu exagérée de toutes les personnes présentes dans le salon avant de partir, nul doute que le pêcheur y aurait songé à deux fois avant de vouloir jouer au coq.
Mais pour l'instant, il voit rouge et ne désire qu'une chose, prouver qu'il n'est pas un énième poids inutile probablement autant à lui-même qu'à Azaruk qui a eu le malheur de l'insulter une fois de trop.
Nul doute que le garde allait avoir des ennuis d'ailleurs, la seule présence de son supérieur pour jouer les baby sitter l'atteste.
Trop tard pour s'excuser. Le pêcheur serre les dents, se demandant encore quelle mouche l'a piqué de défier en combat un garde royal, nettement mieux entraîné que lui qui n'a eu que quelques leçons et sait à peine par quel bout tenir une lame.
Quand on est lancé, il faut assumer, et c'est avec un air résigné qu'il fait face à son adversaire, bien décidé à faire de son mieux.
Si ce n'est pas pour lui, ce sera au moins pour prouver que Lyanna sait se montrer capable d'autre chose que de s'attirer les foudres de Kharstak.
Comme d'apprendre à un pêcheur à mettre un pied devant l'autre et à manger la poussière avec dignité par exemple.

Pour commencer, il sera très fier si il arrive à tenir debout plus d'une attaque. Tenant son épée à deux mains, il essaie de se remémorer rapidement les précieux conseils de son maitre.
Il inspire à fond et fait de son mieux pour ne pas trembler, puis salue son adversaire et jete un regard rapide au chef de guerre.
Se déplaçant de côté, un pied après l'autre, il cherche une tactique pour approcher cet adversaire dont il ne sait au final pas grand chose.
Comment se bat-il ? On va vite être fixés. Après avoir tourné en rond un moment, il se décide à placer une attaque, un peu maladroite, pour tester la défense adverse.
Une simple frappe de taille sur le côté gauche, en théorie le plus faible chez un droitier.
De quoi voir comment Azaruk bouge et riposte, et si le pêcheur est capable d'éviter le contre coup à temps ou, au pire, de le parer.