Le dédale

[Le Tribun]

QUAN

*Hé ben... On va laisser Quan dans son moment solennel, ça m'embêterait de le déranger, surtout qu'à l'heure actuelle, il est surtout spectateur de ce qui était en train de se passer. L'agent de police s'engouffre dans la maison. Derrière la barrière de la maison, des badauds s'agglutinaient pour voir de quoi il s'agissait mais des patrouilles au sol était arrivé sur les lieux pour sécuriser la place et appeler des secours. Dans le brouhaha, Quan cru comprendre qu'il y avait effectivement des blessés des morts.*

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SETSUNA

*Setsuna se jette donc en bas pour tenter d'intercepter le brigand. Un homme habillé avec une tenue noire typique de la mafia. Il comptait s'enfuir par derrière là où de nombreux agents l'attendaient pour l'intercepter.*

-Vous m'aurez pas comme ça la flicaille !

*Dégainant deux grenades il en jette une dans la tronche de Setsuna et une dans la direction de la police. Ses collègues sont prit dans la fumigène tandis que la détonation plonge Setsuna dans le brouillard. La radio de Setsuna s'activait.*

#Setsuna ?! Qu'est ce que tu fous ! Laisse les troupes au sol s'en charger, on a à faire dans la maison ! Ramène ton cul maintenant ! On a deux hommes à terre et probablement un mort sur les bras ! On doit sécuriser la maison !#

[Tengu]

Tengu reste quelques instants à réfléchir, caressant machinalement son menton entre son pouce et son index. Et lorsque finalement sa décision est prise, il prend la parole.

_ Très bien. D'après vos informations je pense commencer mon voyage par le Pôle Nord, je redescendrais ensuite sur le Royaume de la Terre pour finir au Pôle Sud. Si j'approche le fils de Dongzhou avec l'appui de la cellule du Nord, il sera peut-être plus enclin à la discussion. Cela devrais m'occuper pour quelques temps, et durant ce laps, la rébellion du Sud se sera apaisés je l'espère. C'est à mes yeux la meilleure chose à faire, cela dit je reste à vos ordres. Dites-moi si vous préférais que je modifie ce plan.

[Setsuna]

Setsuna s'empresse d'obéir aux ordres et rentre sécuriser la maison mais pas sans lancer une vague d'air vers le fumigène lancé près de ses collègues, cela devrait les aider à attraper le malfrat alors qu'elle fait ce qu'on lui demande.

[Le Tribun]

SETSUNA

*La demoiselle se remue alors les fesses et tente de rentrer dans la maison mais la porte de derrière est toujours fermée. Setsuna est alors obligée de passer par la fenêtre. A l'intérieur, elle voit pleins de gens au sol. Deux hommes dont habillé en noir qui sont grièvement blessé. Une femme avec un regard figé vers le plafond et à l'autre bout de la pièce ses 3 collègues, son chef est au sol, un de ses collègues et assis contre le mur avec une main sur son épaule et le dernier debout à l'autre bout de la pièce.*

-Sécurise-moi la pièce, je vais voir ailleurs dans la maison.

*Et il part.

A l'extérieur des agents au sol investissent la cours et éloignent les curieux.*

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QUAN

*Finalement les choses ont l'air de bouger. Quan comprend que l'affaire a potentiellement mal tourné et qu'un des malfrats a tenté de s"enfuir mais c'est de l'autre côté donc il est tranquille. Des agents se mettent en place et encadre la maison. Un de ces même agents, une femme, arrive vers Quan avec un de ses collègues qui prend en charge les enfants.

*La femme s'accroupit face à Quand et lui pose une main sur le genou.*

-Rassurez-vous, on va prendre en charge les enfants. Vous allez bien ? Comment vous appelez-vous ?

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TENGU

*La vieille reprend son activité aka fumer la pipe en silence en méditant en silence. Après quelques minutes, elle acquiesce avec un mouvement de tête.*

-Je vais essayer de voir de mon côté ce qu'il se passe au Pôle Sud. Pour le reste, tu seras seul.

*Elle sourit.*

-Et puis je vais peut-être me payer un voyage au soleil. Il parait que c'est bientôt la fête sur l'ile d'Hosho....

[Quan Lao Tsu]

- Eu .. je je suis Quan le livreur , visiblement la cliente ne recevra pas son colis puis je vous le donnez cela reviens tous de même aux enfant.

Les explosions et autre bruis l'avait stresser lui aussi et il n'était pas rassurer avec les bruis qui ce faisait entendre encore maintenant, il avait les main quelque peux crispé sur sa chaise, et regardé la policière d'un regard inquiet un faux sourire aux lèvres pour faire mine d'êtres rassurer .

[Setsuna]

-Sécurise-moi la pièce, je vais voir ailleurs dans la maison.

-Très bien !

Setsuna fit ce qu'on lui demandait du mieux possible.

[Le Tribun]

QUAN

*Les enfants furent donc enlevés à Quan et les secours pénétrèrent la maison quand tout danger fut écarté, un des policiers le libéra de son étreinte et lui demanda de le suivre jusqu'au commissariat afin de recueillir la déposition.*

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SETSUNA

*La maison fut sécurisée, plus personne. Résultat des courses. Un des malfrats était arrêté, l'autre avait réussi à fuir. Le père de famille était grièvement blessé mais il pourrait être sauvé malgré des cicatrices qu'il porterait à vie.

La mère de famille était malheureusement morte.

Les blessés furent envoyés à l'hopital pour essayer de minimiser les séquelles de l'incident.

L'équipe d'intervention, amputée de deux de ses membres, se dirigent alors vers le commissariat.

[Tengu]

Frappant ses cuisses l’air résolu, Tengu se relève d’un bond son sabre à la main. Il attrape son sac avec son arme pour la replacer en mode baluchon avant de faire de nouveau face à la vieille femme. Il pose sa main libre sur son cœur et s’incline respectueusement.

_ Portez-vous bien Madame. Je ne vous décevrais pas.

Le jeune homme fait volte-face et repasse dans la salle principale de la taverne. Il lance un regard furtif sur l’ensemble de la pièce avant de repasser le rideau de l’entrée. Il monte ensuite les marches pour rejoindre les rues du Dédale. Direction le port…

[Quan Lao Tsu]

La nuit était tombée et les lampadaires était les seules sources de lumière , cela rendent des plus inquiétants les ruelles. Heureusement pour Quan, il connaissait assez bien celle si et donc réussissait à évitait les coins qui était le plus malfamé. Ses roues grincées à chaque mouvement, ce qui pouvais rendre l’ambiance des plus tendue encore, mais ce n’était pas le genre de notre livreur de s’inquiéter ainsi. Avec toutes ses émotions, il n’avait qu’une envie c’est rentré chez lui et de pouvoir libérer toute cette frustration en allant courir, il ce remémorait la fin de journée et ne pouvoir rien faire ainsi le frustré au plus au point. Ce ne sont pas les enfants, non c’est seulement de ne pas avoir pu faire quelque chose.

Traversant le dernier quartier avant d’arriver au sien, il prit de quoi préparer un repas pour le soir. Comme il le savait sont grand-père allez encor lui demandé où était-il passait et pour quoi ce retard, il était donc normal que pour s’excuser il dût apporter un repas. S’approchant de la boutique les lumières étaient éteintes, vu l’heur c’était bien normal, sortant donc son trousseau de clefs il ouvrit la porte et rentra en direction de la pièce secondaire; la salle commune.

- Bonsoir grand père, je suis rentrée et j'ai rapporter le diner !

[Rika]

[Pardon, Quan-chou ! J'avais pas vu que tu avais déjà posté. >w<]

Elle était jolie, blanche, scintillante sous la lumière lunaire, finement ouvragée. Les engrenages se mouvaient en silence, avec élégance. Des fleurs en faïence rouges étaient délicatement incrustées dans le fer immaculé et poli. Rika maniait avec la plus grande douceur une montre à gousset qui lui avait attiré l’œil depuis la rue. Un ouvrage magnifique qui était mis sur un présentoir dans la vitrine pendant la journée. Et la nuit était mit sous clef, pendant le sommeil du détenteur de la clef. Enfin avait été mit sous clef, vu que à présent le dit objet trônait hors de son coffre donc le mécanisme avait été gelé pour le détruire sans un bruit.

Un cliquetis et l’objet tant convoité fut enveloppé dans une soie noire et solidement fermé dans un sac à dos. Le coffre se trouvait dans l'arrière boutique, la voleuse tout de noir vêtue refermait la petit porte du coffre. Des flocons de neige en suspension dans l'air étouffait le moindre petit son.

#- Bonsoir grand père, je rentrée j'ai rapporter le diner ! #

Mais les gros en revanche, comme une voix qui s'élève dans toute l'habitation, ils résonnaient plus clairs que jamais. Comme si il n'y avait qu'eux dans l'air. Le chat-pardeur sursauta et se figea une seconde le temps d'analyser la provenance de la voix. La seconde suivante, elle fit volte face et se précipita vers la fenêtre laissée entre ouverte. Rika eut un regard en arrière pour vérifier si on l'avait vue ou non et se glissa au dehors. Là elle se laissa tomber en souplesse sur le sol.