Le dédale

[Eréné]

Kishi ne fit aucun commentaire. Cela ne servait à rien.

-Cette merde finira par vous tuer.

Dit-elle à l'attention de son cigare avant d'effectivement tourner à droite.

[Pix]

*Blake suit Kishi, quelques pas en arrière, surveillant à droite et à gauche. Il sourit quand elle lui fit remarquer qu'effectivement, le cigare pourrait bien le tuer un jour.*

-Il faut bien mourir.

*Lache-t-il sans autre forme de commentaire en continuant de savourer son cigare qu'il était bon et qu'il évitait de sentir les remontées d'urines de la veille.

Les voilà enfin sortis des petites ruelles, on respirait déjà beaucoup mieux et voilà l'abribus !

Blake prend les devants et va regarder l'horaire du prochain passage. Il sort une montre à gousset et constate que le prochain bus est proche.*

-Tu veux aller à l'office de tourisme nous sommes d'accord ?

*Il se retourne vers Kishi.*

-Intéressée par quelque chose en particulier ?

[Tengu]

Relevant la tête et s’installant à genoux devant la vieille femme, Tengu écoute sans prononcer le moindre mot pour ne pas interrompre son interlocutrice. Même si extérieurement le jeune homme reste de marbre, intérieurement il bouillonne littéralement. Dire que la Madone lui demande purement et simplement de veiller sur le destin de Neima. Il ne fait aucun doute pour lui que la jeune fille est celle qui reprendra le dessein de feue Minae, le même sang coule dans leur veine.

_ Vous m’honorez madame, je me montrerais à la hauteur. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour aider Neima et l’assoir à la place qui est la sienne. Par quoi voulez-vous que je commence ma mission ?

[Le Tribun]

PIX / ERENE

*Effectivement, le bus, quelque soit la ligne, arrive pour prendre les deux gens (J'aurais pu dire jeune mais y a Blake quand même...).

Autour d'eux, une vieille, un adolescent et un chien-renard qui attend le bus. Oui, y a un putain de clébard qui attend le bus. Mais il est peut-être à la vieille. On sait pas et quand on sait pas, on juge pas s'il vous plait.*

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TENGU

*La vieille dame sourit alors qu'elle repose la tasse qu'elle remet sa pipe à la bouche. Elle fume quelques instants avant de cracher un peu de fumée et de reprendre.*

-Ce que j'attends de toi. Que tu restes tapi dans l'ombre. Suffisamment en avant pour pouvoir déblayer la route sous ses pas mais jamais trop loin pour pouvoir assurer ses arrières. Être là pour elle quand je ne serais plus.

*Elle frappe sur son genou.*

-Il est temps pour l'échiquier de renaître !

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QUAN

*Dernière allée. Dernière maison trouvée. Maison avec un petit jardin, le portail était déjà ouvert. Le jour déclinait.*

[Quan Lao Tsu]

Pénétrant dans le jardin dans un grincement de métal , il bouscule le portail avec sa chaise et continua son chemin en direction de la porte qui heureusement pour lui n'avais pas de marche. Le jardin quant à lui était magnifiquement taillé, on pouvais voir que le propriétaire était quelqu'un de méticuleux et attentionné avec lui . Après avoir admiré le paysage, il fit halte devant la porte pour y faire connaitre sa présence .

- Bonjour ! Excuse moi c'est le livreur de chez monsieur Lao, j'ai un paquet pour vous .

[Le Tribun]

QUAN

*Quan arrive devant la porte et cette dernière est déjà ouverte. On dirait qu'elle est fracturée.*

[Quan Lao Tsu]

Examinant la porte de plus prête et en y prêtant plus attention celle si était fracturer, aucun autre signe visible. Notre livreur êtes curieux , il pénétra donc avec prudence la porte s'ouvrit sur un hale d'entrée ou un escalier qui menés au second était contre le mur avec une porte en bas juxtaposant le début de celui. Une petite table avec un vase renverse, l'eau c'était rependu sur le sol avec les fleurs piétiner, une tension s’installer et cela rendez mal à l'aise de plus en plus Quan ce qui le fait tomber dans le mutisme. Il continuait à pénétrer dans la maison qui semblé dévaster, un cambriolage ? Peux êtres pires...pour l'instant rien ne pouvait dire plus, avançant lentement avec prudence vers la porte de droite regardent l'état de ce qui sembler êtres le salon .

[Tengu]

Tengu s'incline respectueusement pour acquiescer aux paroles de la vieille.

_ Vous pouvez compter sur moi, il sera fait selon vos désirs.

Sous son masque celui-ci sourit lorsque la tenancière évoque la renaissance de l'échiquier, il est temps de faire de nouveau trembler ce pitoyable monde.

[Le Tribun]

TENGU

*La vieille repose sa pipe fumante sur un cendrier.*

-Parfait...

*Elle sourit avant de reprendre.*

-Avant d'être le gardien de ma petite-fille, tu seras mon porte-parole. Je veux que tu retrouves tous les chefs de l'échiquier à travers le monde.

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QUAN

*Alors que Quan se dirige vers l'entrée, il se rend compte avec effoi que ... OH MON DIEU !

Il y a une petite terrasse en devanture avec des ESCALIERS.

Son pire ennemi... A fauteuil.

Un bruit sur le côté de la maison attire toutefois son attention, alors qu'il s'y précipite il voit une motte de terre se surélever et des enfants se jeter dessus et rouler jusqu'au sol, au pied du livreur. Ils sont en pleurs. Il entend ensuite un cri. Il relève les yeux vers l'origine du cri et voit une flamme émerger de la fenêtre. Un homme s'écrie "l'avoir trouvée" et encore au-dessus, un dirigeable de la police.*

-Ah la pute ! Elle a appelé les flics !

*S'écrie-t-il encore.*

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SETSUNA

*Le dirigeable était arrivé au-dessus de la maison. Dans la petite cour, les agents pouvaient voir deux enfants avec un type en fauteuil roulant. Le non-bender du groupe, qui est aussi le leader pour cette opération prend la parole.*

-Ok, vous deux, vous partez devant. Vous me sécurisez la cour et la rue. Vous me virez ces trois-là. Setsuna, tu sauteras à l'arrière et tu rentreras par la petite porte de derrière, je vais passer par le toit. GO !

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QUAN / SETSUNA

*Go.*

[Quan Lao Tsu]

Regardent les deux enfant, les bruis suspect à l'étage il fallait agir et vite avec la police qui arrive. Comme pour une foi il n'avait rien a ce redire, il ouvra les bras prenant avec lui les enfant et les rassuras avec des mots tendre et gentille . Regardent le ciel avec le zeppelin qui déverser ses soldats .

" Bon.. un petit tours au poste "