Hrp : Dernier post à la La place Centrale.*L'indignation. La honte. La colère. Plus un millier d'autres sentiments tout aussi positifs les uns que les autres. Voilà ce qui traverse l'esprit de la jeune Yellis en ce moment. Comment a-t-elle pu en arriver là ? Et surtout, comment a-t-elle pu laisser comme ça sa toute nouvelle (première ?) amie ? Même si, à tout bien y réfléchir, pas sur que le sort de l'une soit meilleure que celui de l'autre...*
J'entends déjà le "je te l'avais bien dit"...*Sauf que cette fois, justement... il n'y en aurait peut-être jamais. Ici, à la Nation du Feu, personne ne se cache dans l'ombre pour la suivre. Personne pour la surveiller... mais aussi, personne pour la tirer d'un mauvais pas. Cette présence qui l'a toujours horripilée au plus haut point... voilà maintenant qu'elle lui manque. Enfin... presque.*
MMmmbbbmm !! uuuuuuhhhnnnn !!*Oui, bon... pas facile de parler avec un machin dans la bouche. Si seulement elle avait été plus rapide... Mais non, il avait fallu qu'elle fasse la maligne et suive un inconnu ! Elle aurait pourtant du se méfier lorsqu'il a commencé par les faire rejoindre sa "bande d'amis" comme il les a appelé... La suite, elle est assez floue. Elle se souvient juste avoir vu Ariane tomber à terre alors que deux des garçons la saisissait pendant qu'un troisième lui mettait son écharpe dans la bouche...*
Je ne sais même pas combien ils étaient... J'espère qu'il ne lui est rien arrivé...*Avec un peu de chance, Yellis s'est assez débattue pour nécessité l'attention de tous leurs... agresseurs, oui, c'est le mot. Et avec encore plus de chance, ces derniers n'étaient pas vraiment préparés à tant de résistance de la part de deux jeunes filles... Ce qui a bien l'air d'être le cas au vu de leur tête un peu ahurie. A moins que ce ne soit naturel, bien sûr.*
S'ils pensent que je vais me laisser faire...*Finalement, l'insistance de son père pourrait avoir une utilité... faisant de son mieux pour faire abstraction de tout ce qui se passe autour d'elle, elle prend une longue inspiration - oui, c'est un peu plus long avec seulement le nez - puis, dans un souffle, libère toute la chaleur dont elle est capable. C'est à dire... pas grand chose. N'est pas cracheur de flamme qui veut. Mais cela suffit à expulser le morceau de tissu qui l'entravait.*
AAA L'AAAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIDE*Oui, pas vraiment ce qu'on appeler un acte héroïque. Mais il a l'avantage d'être légèrement plus pratique, surtout lorsqu'on est un tout petit peu maîtrisée physiquement par trois gusses un peu paumés sur les bords.*