Hai Oukoku

[Le Conteur Blanc]

[HRP: Je prends le contrôle de Lee à partir de ce moment-là Spoony /o/]

*Lee s'incline brièvement.*

-Ok patron.

*Et il s'en va ... *

[HRP: C'était EPIC !]

[Flamme]

~ 86 ~

Lieu : centre-ville

*En possession des informations dont elle a besoin – je suppose et j'espère – Calice se rend donc au bâtiment. Elle a laissé tomber poncho pour une veste de citadine, espérant que ça ne détonnerait pas dans le décors. De même, elle n'a pas son bâton de combat mais toujours un éventail, caché dans la veste.

Première fois qu'elle visite cette ville mais peu importe, elle ne diffère pas tant d'Omashu. Elle a donc emprunté le monorail pour venir jusqu'ici et se retrouve devant le bâtiment-cible.

Va-t-elle rester plantée là ou entrer ? Je laisse planer le suspense...
…
…
Elle entre.
Par la porte d'entrée du centre social de Jereg, je précise.

[Conteur de la Terre]

Lau

Le groupuscule emprunte donc le monorail pour rejoindre la ville de façon plus discrète et se trouve ainsi à la gare.
[Petite animation, mais ne voyant pas quoi faire de plus pour l'instant... °°]

Calice

Porte fermée.

[Flamme]

~ 87 ~

Lieu : centre-ville

*Déception.

Mais hauts-les-cœurs car nous savons tous qu'après cet échec, nous en ressortirons plus grands !

Et Calice est là devant cette porte fermée. Elle n'a pas dû faire gaffe aux horaires, regardons donc les horaires... Vous vous attendiez à ce que je fasse le tour du bâtiment, c'est ça ?

Bah OK, faisons le tour du bâtiment. Cherchons la fichue porte qui ouvre sur l'auberge (que les aventuriers n'empruntent jamais parce que l'elfe a su toquer la porte)...

Une petite minute !
Toquons la porte ! /o/*

[Fullflo]

* Lau et sa troupe venait d'arriver à sa gare et il devrait donc trouver un lieu ou dormir. *

- Les gars, vous connaissez un endroit pas trop chers pour dormir ? Ensuite faudra retrouver Lee et Calice...

* Lau commença à tilter. *

J'ai oublié de dire à Calice qu'aujourd'hui c'est dimanche et comme chaque l'entreprise est fermé... J'espère qu'elle aura l'intelligence de regarder sur la lettre que je lui ai donné, j'y ai marqué l'adresse de Rio.

* Le groupe de Lau passa devant une auberge. *

- Vous pensez quoi de cet endroit ?

[hrp : c'était le coup de pouce de Lau]

[Flamme]

~ 88 ~

Lieu : centre-ville

Mais avant de toquer la porte et de faire le tour du bâtiment, Calice voit que le bâtiment ferme le dimanche qui est – comme chacun sait – jour de la tortue-lion géante (celui où elle s'est reposée). Donc si on est dimanche, le dame n'a aucune raison d'y être... Calice se rappelle que Lau Jereg lui avait donné un bout de papier. Et à moins que vous n'ayez pas lu le mec d'en haut, je répète que l'adresse de Madame Rio est écrite dessus.

Calice reprend le moyen de transport et retrouve le bâtiment. Vous devinez comment elle a procédé, carte, orientation. Bref quelque chose que même après des années d'entrainement je ne maitrise pas parfaitement.

Surprise, le portail est fermé (oui, un portail). Calice toque au portail...

(À quoi ça servait de passer du bâtiment officiel à la maison officieuse si c'était pour toquer encore une fois ? Sacré nom d'une pipe en papier !)

Sauf que toquer un portail c'est pas pratique, disons qu'elle utilise la sonnette. Ou alors elle pourrait glisser la lettre dans la boîte aux lettres... Mais elle privilégie la première solution.

[Conteur de la Terre]

Lau

- Bien miteux. Je serai d'avis d'aller ailleurs.

Pilier de bar en ses temps difficiles, Isaac semble connaître le milieu. Mais sa crédibilité se voit être mise à l'épreuve par ses collègues.

- Bah alors, on fait son difficile ? On a été habitué au luxe en fréquentant un haut fonctionnaire ?

- C'est pas comme si on a été la tête dans le sable pendant tous ces derniers jours. Aller, vieux, on est crevé on ne va pas encore marcher trois plombes pour tomber sur pire. Bon, on rentre ?

Tous se tournent vers le patron.

Calice

L'interphone s'allume et passe en visio. C'est à cet instant qu'une voix en sort et... comment ça c'est anachronique ?

Après le tintement de la cloche, il se passe un long moment d'attente avant que quelqu'un vienne daigner entre ouvrir le portail. C'est un homme, assez âgé, à l'hygiène impeccable d'où émane de l'eau de toilette, qui fait face à la guerrière kyoshi.

- A qui ai-je l'honneur, mademoiselle ?

[Flamme]

~ 89 ~

Lieu : quartier résidentiel chic

*Une personne arrive, bien habillée, c'est vraiment une maison de luxe dis donc.*

Ah bah enfin !

*Ceci n'est nullement une attaque au maître du jeu – je ne me permettrais pas – car je me base sur le vocabulaire qui suggère que la guerrière a poiroté longtemps. Un temps qu'elle a passé à admirer la brillance du portail, à calculer ses chances de l'escalader aussi... pas pour entrer par effraction mais anticiper un... Bref !
Le mec a l'air sec mais la pensée positive de Calice est trop forte pour s'en émouvoir et c'est avec un grand sourire qu'elle dit :*

Quand on est poli, on dit « bonjour », mon vieux. *Pas exactement... mais plutôt :*

- Bonjour, j'ai un message à remettre en main propre à Madame Rio. Annoncez...

*Elle hésite une seconde, se demandant si ses employeurs connaissaient son nom. Force est de dire qu'elle ne s'en souvient plus... après deux mois.*

- … Mademoiselle Genbois. *Elle ajoute*, et je vous assure qu'elle veut ce bout de papier ; il vient du patron de Jereg.

*Les entrées en matière n'ont jamais été mon fort...

Si le vieil homme est gentil et bisounours, il la laisserait probablement le suivre (dans l'instant). Genre c'est un bisounours... Et genre Lau Jereg est encore « patron » de la compagnie, ça fait combien de temps qu'il a repris contact avec ?*

[Fullflo]

* Lau soupira, il allait devoir être l'arbitre de ce petit conflit. *

- Je suis moi même très fatigué, du moment qu'on trouve un lit pour dormir... Et si vous voulez trouvé plus " chic " nous chercherons mieux demain matin.

* Le sujet était désormais clos. *

- Hiro va réserver des chambres pour nous six, je ne sais pas si Mlle Genbois va revenir.
Mais j'ai totalement oublié de donné un lieu de rendez-vous à elle et à Lee, quand nous aurons réservé les chambres Hiro et Baï-ma vous irez les retrouver pour leur donner notre lieu de repos.

[Conteur de la Terre]

Lau

La réservation effectuée, Hiro et Baï-Ma partent aussitôt à la recherche de Calice, en commençant par l'entreprise elle-même, puis la résidence privée de Mme. Rio dans un second temps. S'ils ne trouvent personne, ils aviseront. Après tout, ils connaissent bien la ville.

Lau se retrouve donc seul en compagnie d'Isaac, pas vraiment enchanté de crécher dans cette auberge.

- Hem. Patron, ça vous dirait de faire un tour en ville en attendant la nuit ? Moins je serai ici mieux je me porterai, alors autant n'y être que pour dormir. Pourquoi pas un match de probending ? A moins que vous ayez quelque chose à faire de plus urgent. Bref, du moment que l'on parte d'ici.

Calice

Le majordome observe la guerrière pendant qu'elle s'annonce. Bien trop jeune pour lui, se dit-il, mais il ne laisse paraître aucune empathie sur son visage, si bien qu'il arbore toujours un air de croque mort lorsque la fille lui agite une enveloppe sous le nez. Ouvrant le portail pour qu'une personne puisse entrer, il présente la porte d'entrée de tout le long du bras, l'invitant explicitement à passer devant.

Une fois arrivés sur le palier, Alfred ouvre en grand la porte d'entrée laissant apparaître l'immense atrium faisant office de salle d'attente pour les invités.

- Mettez-vous à l'aise. Je vais informer Madame Rio de votre requête.

Il s'arque humblement, puis disparaît à l'étage pendant quelques minutes, après avoir emprunté l'escalier de marbre. Des plus pittoresques, la maison semble plus ressembler à un manoir qu'autre chose. Il faut dire qu'être membre du Conseil du Jereg, c'est une situation plutôt aisée. Des bruits de pas provenant des marches résonnent dans toute la pièce. C'est alors qu'une femme, la quarantaine, aux habits très professionnels et à la coupe soignée, vient à la rencontre de Calice.

- Bonjour, je suis Madame Rio. On m'a dit que votre visite concernait le Jereg. Que puis-je pour vous ?