Le dédale

[Shashi]

en arrivant a la gare, Mashi se demanda quel tram prendre,

bah, celui qui m’emmènera le plus loin possible de cette ville de fou ! pensa t'elle. Puis un panneau attira son attention
"animaux interdits"

ha merde...sa va poser problème ça dit t'elle en regardant Chulee a ses pieds...

elle ouvrit sont grand sac brun et montra a son renard le chemin a suivre
allez mon vieux, rentre dedans ! pas d'temps a perdre !

Chulee la regardant a instant, grogna et reculant d'un pas,mais Mashi bien décidée a continuer sa route le pris par le cou et le força a entrer dans son sac, Chulee raclait le sol avec ses griffes de toute ses forces

RAAAH mais tu va rentrer saloperie !!!


après quelques minutes acharnées, elle pris enfin le dessus, réussi a fermer le sac avec la bête dedans en le laissant quand même un peu ouvert pour qu'il puisse respirer
bah voila ! tu vois c’était pas si compliqué ho !

grrrrrrroooooooooww

la ferme !

[Le Tribun]

SHASHI

*Petite gare routière, plusieurs lignes pouvaient la faire s'éloigner de la ville... Elle pouvait toujours prendre la ligne D qui l'emmènerait jusqu'au limite de la cité au niveau du quartier résidentiel. Ca la mènerait vers les Contreforts, qui était quand même relativement déconseillé étant donné la forte présence militaire.

Sinon elle pouvait toujours rejoindre la Gare du Centre-ville, là-bas, elle pourrait prendre des trains pour les différentes villes du Royaume de la Terre ou peut-être même un dirigeable vers les Temples de l'air.

Ou alors il restait bien le Port si elle préférait prendre le bateau.

Le soucis, c'est que tout ça demandait de l'argent et des papiers.

Elle a tout ça la demoiselle ?*

[Little D]

*L'homme se dirige vers Gut et s'assoit et se penche en écoutant Gut parler, il se tenait les mains en souriant.*

-Tu as frappé à la bonne porte mon frère...

*Il se redresse et s'attrape les bretelles.*

-Tout ce dont tu pourrais avoir besoin, je peux le trouver !

*Il sourit.*

-Et tu peux compter sur ma discrétion...

[Le Tribun]

DARKDOG

*Kayo se lève en sursaut et se rend compte qu'il est dans la chambre pourrie d'un motel moisi en plein dans un quartier louche en plein milieu de la ville.

Semblerait qu'on est décidé de le libérer finalement.*

[DarkDog]

/Ou suis je ?/

Apparemment pas dans le cachot dans lequel il se trouvait la veille,en effet il était dans une chambre un peu délaissée vu la peinture qui s'écaillent et l'odeur de moisi qu'on y trouvait.Il ne voulait pas rester plus longtemps dans ceux trou à rat.Il ramassa donc c'est affaire (en gros ses papiers) et se sentit un peu nostalgique quand il se rendit compte que son épée ne lui avait pas été remis.

/Tant pis/

Et le jeune homme quitta l’hôtel pour respirer une ai saturée en pollution.La suite de son voyage....? Il y avait réfléchi,il devait retourner au base de la maîtrise de la Terre et pour cela il avait une idée......

Avant de partir il grava dans le sol avec son doigt "Au revoir Républic City",puis il prit la direction de la gare.

[gutgut]

-Tout ce dont tu pourrais avoir besoin, je peux le trouver !


-Et tu peux compter sur ma discrétion...

-J'y compte bien.

*Il avait déjà pensé à ce dont il avait besoin s'il devait se battre contre les agents de Neïma.*

-Il me faudrait un ensemble de combat. Jambière, cuissardes, brassards, épaulières et cuirasse. Le plus léger possible, il faut que je sois discret, mais il faut également que ça me protège suffisamment. Du cuir très épais pour l'ensemble suffirait probablement.

*Il laissa un instant à Little D pour assimiler cette partie de la commande.*

-Maintenant que j'ai de nouveau mon épée, il va me falloir la ranger sans qu'elle gêne mes mouvements. Des ceintures dorsales seraient les bienvenues.

[hrp] Pas trouvé mieux pour définir les sangles pour attacher l'épée dans le dos ^^"[/hrp]

-Pour parer à toute éventualité, il me faudrait également un masque, je ne dois pas pouvoir être reconnu.

*Il venait de commander tout de dont il aurait besoin pour mener à bien sa vengeance une fois qu'il aurait mit la main sur Neïma et sa bande.*

-En combien de temps pensez vous pouvoir me fournir tout cela?

[Little D]

*Little D sourit.*

-Oh... Deux jours grand maximum. Mais ... Une chose me turlupine.

*Il se penche et frotte ses doigts en synonyme de "Et tu le paies comment tout ça ? Parce que là par contre ça va te couter bonbon".*

-Comprends que pour une relation commerciale durable... Il me faut une rente l'ami.

[gutgut]

-Comprends que pour une relation commerciale durable... Il me faut une rente l'ami.

-Ne vous inquiétez pas pour cela, du liquide, les chèques permettraient de faire trop rapidement le lien entre nous.

*Gut tourna le dos à Little D et commença à s'en aller avant de se retourner et d'ajouter.*

-Je crois que cette endroit sera l'idéal pour se retrouver. Je vous attendrais dans deux nuits.

*Il salua Little D d'un signe de main avant de se retourner et de disparaître dans les ténèbres, A'z en main.*

Nous rentrons à la maison ma belle...

*Il traversa aussi furtivement que rapidement la ville, évitant les barrages, sautant de toits en toits en se projetant sur de longues distances avec sa maîtrise de la terre.*

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[Pix]

*La porte de l'appartement de Blake vient de s'ouvrir. Le détective referme à clé derrière-lui et pose son sac sur une petit table à l'entrée. Il enlève son manteau et le jette sur une vieille chaise de bois.

Sans attendre, il se dirige vers un petit placard dans la salle de bain. Il attrape une boite de cachets et en avale quelques uns sans prendre garde à la posologie du médicament. C'était fait pour soigner, ça ne pouvait lui faire de mal !

Blake se frotte alors vigoureusement le visage et regarde sa mine affreuse dans la glace. Il soupire et se dirige vers son lit. Aujourd'hui, il se reposerait. Demain il aviserait.

Ainsi va la vie.*

Il faudrait que je m'achète une hygiène de vie ... C'est dommage qu'ils aient pas ça en stock à la supérette ...

*Blake s'endort rapidement malgré le brouhaha de la ville. Les cris et les larmes hantent ses rêves, mais il n'en a cure.

Il dort. Point.*

[Le Tribun]

*Un homme en costume blanc ouvre la porte d'une petite auberge de rue. Il est presque... Non. Il est décidément trop classe pour être dans ce genre de rafiot. Pourtant, il a l'allure d'un habitué, quelques signes de tête en guise de salut poli envers des gens attablés. Certains même lèvent leur verre à son passage.
Malgré tout, l'homme ne cache pas son dégoût quand ses belles chaussures toute neuve trampouille dans une flaque dont l'origine n'est hélas pas connue. Malgré tout, l'endroit est coquet, nous ne sommes pas dans ces bâtiments habituels du dédale où l'ivrognerie est un sport national. Mais bien dans une petite auberge familial avec une décoration finalement très intimiste. Une ambiance tamisée et tout ce qu'il faut pour être à l'aise.

Assise en tailleur sur le comptoir, une très vieille dame joue à un jeu de dames contre un jeunôt qui déguste une bonne petite pression. L'homme se dirige vers elle avec un mince sourire sur le creux des lèvres afin d'aller saluer la maitresse de maison. Le parquet craque sous les enjambés de notre inconnu tandis qu'il arrive aux abords de la vieille dame.

Cette dernière lève un doigt alors qu'il ouvrait la bouche. Sans même détourner le regard de sa partie elle intimait à ce bel étalon de gentiment fermer sa gueule alors que c'était son tour de jeu. Le coude posé sur un de ses genoux, le menton reposant sur la main tendue, la dame abaisse le doigt. La main directrice suit doucement le mouvement et c'est en douceur que ces doigts usés par le temps saisissent une pièce en bois dont même la peinture a subit les affres du temps et ... Le coup est joué.

Le jeune garçon qui lui fait face prends le temps de réfléchir à ce qu'il vient de se passer. Et alors qu'il se décompose, la vieille dame déclare simplement.*

-Il t'attend.

*L'homme pose son chapeau sur son coeur et s'abaisse simplement.*

-Merci madame.

*Il se détourne de cette partie et se dirige à présent vers l'arrière salle. Après avoir dépassé un mince rideau de couleur bleu-nuit, il descend un petit escalier de béton l'emmenant vers les sous-sols de la batisse. Il arrive dans un petit réseau de couloir qui mène vers différentes petites pièces où sont stockés les denrées de l'établissement. Notre ami se dirige vers la dernière porte qui donne sur une salle assez bien éclairé, une petite musique entrainante arrive à ses oreilles alors que face à lui un homme est caché derrière les grandes pages du journal. Il ferme la porte derrière-lui et avise la radio, responsable de ce remue-ménage. Il prend la chaise qui fait face au lecteur assidu et s'assoit simplement. Il pose son chapeau sur la table et joint les mains sur la table.*

-Les nouvelles sont bonnes ?

*Le journal est en train de se plier.*