Omashu

[Flamme]

~ 5 ~

#La dernière fois qu'elle est apparue, une île entière a fait le grand plongeon... Des centaines de milliers de personnes ont disparu... Un gigantesque raz de marée a frappé les côtes !#

/Un raz de marée ? Ah oui c'est pas mal ça. Comment j'ai pu zapper ce détail en cours d'histoire ? Quant au légendaire roi Quan Ti, je me souviens que c'est grâce à lui que les députés se sont installés ici... Quel genre de décision a-t-il pris ? Je suis sûre qu'il il y a plein de complication pour organiser l'exode de la population vers l'intérieur des terres. Donc : très bientôt, risque de grosses inondations, je note./

Merci monsieur. Bonne journée.

*L'homme partant, Calice frappe à la porte de la maison d'Iwato. Après dix grosses minutes, un vieil homme ouvre la porte. Après les politesses, elle lui donne le paquet de la part de Lundy, qui n'a pas trop souffert de l'incendie, ouf ! Il contenait un cadeau pour les 75 ans de son grand-père. Le vieil homme offre à Calice une bonne tasse de thé au litchi.
Après une bonne heure à parler amicalement de Lundy et d'Omashu, lLa jeune femme lui dit au revoir et sorti de la maison. *

/À présent je vais rentrer chez ma mère pour me reposer. Il faut que je trouve un travail simple et rapide si je veux voyager à travers le continent. Hum... Je pourrai cueillir des plantes médicinales au cas où et même les revendre… Ah non, le problème avec la lumière ! Est-ce j'aurai vraiment le temps de gagner de l'argent ?/

Ou même de me mettre à l'abri ?

*Les derniers mots sont sortis de sa bouche malgré elle. Vérifiant vivement que personne n'est assez près pour l'avoir entendu, elle accélère le pas vers son bon vieux chez-elle, encore là même après 5 ans d'absence.*

[Reave]

Reave fit une grosse croix sur le papier, il appuya si fort qu'il faillit déchirer le papier.

Voilà ! Maintenant lis vite !

C'est à se moment qu'une vielle dame lui adressa la parole pour lui dire que la jeune fille s'en allait.

- Hep reviens ici !

Il se dépêcha d'aller la rechoper par les vêtements et la maintenu au dessus du sol.

- J'ai dit pas bouger seule ! Si tu continue je vais te Boum la tête pour plus que tu bouges.

Et voilà que le mec qui lui avait demandé ou vendre ses poteries se remit à lui parler.

-...

Reave leva son bras libre et l’abattit sur la tête de potier. Il se redirigea ensuite vers l'homme à la lettre pour écouter ce qu'il avait à dire.

- Voilà, plus de gens qui nous embêtes, lis maintenant.

[Esprit des Vents]

*Vayneck se gratte le menton, d'abord en observant le presque trou qui orne sa décharge, ensuite en regardant le potier se faire proprement assommer. Alors que Reave exige de lui qu'il remplisse son office de messager, le marchand commente*

- Je prends note. Monsieur a ses manières.

*Il déplie la missive, se racle la gorge et déclame.*

[spoiler]"Comme convenu, les Lilas des Cimes viennent d'arriver à la gare d'Omashu. Les fleurs sont dans des pots cachés dans les jarres du troisième wagon d'un train bleu et vert sur lequel figure l'inscription Gaïa. Les fleurs sont fragiles, aussi devriez-vous allez les récupérer aussi vite que possible. Faites attention aux autorités. Le commerce de ces fleurs n'est pas vraiment légal, car certains s'en servent pour concocter un puissant poison, mais je sais que vous n'en ferez pas un tel usage.

Je vous recontacterai plus tard pour régler la question que nous avons abordée il y a cinq ans.

Signé : le Professeur"[/spoiler]

*Vayneck ré-enroule le parchemin, sans commentaire sur le contenu du message.*

[Nightcat]

*Son évasion se passait bien... Du moins, c'était sans compter l'intervention d'une petite vieille pleine de bonnes intentions qui se trouvait là au mauvais moment. Ah, les vieux... Shizu lui lança donc un long regard atterré avant d'être soudainement soulevée par une force d'origine pas inconnue.

Suite à cet évènement ô combien malheureux , la jeune fille se retrouve suspendue au dessus du sol, tenue en l'air par la poigne de fer de monsieur Muscle. Et le bras tendu bien sur, sinon c'est pas drôle : elle a beau s'agiter, impossible de le toucher , que ce soit avec les pieds ou les mains, pour se dégager.
Et va maîtriser la terre quant tes pieds touchent pas le sol, va !*

- J'ai dit pas bouger seule ! Si tu continue je vais te Boum la tête pour plus que tu bouges.

- !!!!!!, fait-elle en silence et en s'agitant de plus belle, la moue mi renfrognée mi déterminée en plus.

*Elle bat des pieds dans le vide pour se balancer.... jusqu'à ce que monsieur " j'connais pas la politesse" se prenne en guise d'exemple un taquet en pleine tête qui l'expédia directement dans les bras de morphée sans passer par la case départ.*

..............

* Finalement, le" be the linge qui pend sur la corde", c'est bien aussi. *

[Conteur de la Terre]

Darkdog

*Roll a dice*
...
Tu n'as pas vu le coup venir.

Il ne t'a pas assommé (tu as la tête dure), mais tu es suffisamment groggy pour perdre l'équilibre et chuter au sol. (et vu comment il a cogné, tu vas y rester un moment)

Flamme

Personne à la maison : comme à son habitude ton père est probablement en voyage, quand à ta mère, tu la trouvera sans aucun doute à l'herboristerie...

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche : personne.

Tu ouvres la cache dans laquelle tes parents mettent le double de leurs clés : te voilà enfin revenue chez toi.

[DarkDog]

"...Faites attention aux autorités... pas vraiment légal... puissant poison."

Voilà ce que Lee avait pu entendre de la conversation,il se demanda alors quel genre d’homme était Reave surement un un dangereux criminel rôdait dans l'art des plantes empoisonnés.
Après tout il était assez violent pour l'envoyer balader d'un revers de main,et il tenait une fille contre son gré.

Mais comme Lee avait un doute il décida de faire semblant de rester au sol et d'attendre que Reave parte pour le suivre discrètement.

"On verra bien ce qu'il en fait de de puissant poison" se dit Lee

[Reave]

Reave n'avait pas compris grand chose à la lettre, trop de mots compliqué, et à vrai dire il avait totalement lâché l'affaire à la moitié du texte. Enfin le principal étais compris, : fleur troisième wagon train bleu et vert avec Gaia marqué dessus.

- D'accord ! Au revoir.

Il partit donc en direction de la gare avec la fille toujours accroché à son bras. Il tourna la tête vers elle pour lui adresser la parole.

- Je sais pas lire, tu vas dire c'est quoi qu'est le bon train.

[Nightcat]

* Shizu ne parlait peut-être pas... Mais elle entendait très bien. Et contrairement à Musclor, elle avait parfaitement compris la teneur du message.

Autant le dire, la partie sur l'illégalité de la marchandise ne lui plaisait que très moyennement. Ça lui plut encore moins quand elle se rendit compte que le dénommé Reave ne la lâchait pas et ça la gonfla prodigieusement lorsqu'elle se rendit compte qu'en plus, il avait l'intention de l'embarquer dans ces conneries. Ce qu'il confirma en s'adressant à elle dans ces termes :*

- Je sais pas lire, tu vas dire c'est quoi qu'est le bon train.

* Ce à quoi elle répondit par une expression grimaçante assez éloquent dans son genre et un "fuck" magistral, ce qui peut objectivement se traduire par un "non" ferme et décidé, éventuellement associé à un " et va te faire foutre".
En gros.µ

[Tung]

[mp3]http://k005.kiwi6.com/hotlink/0rteldce6j/01_city_of_jerusalem.mp3[/mp3]

*Un cavalier arrive au niveau d'une corniche. Il lève un instant les yeux vers le ciel, le soleil tape fort en ce début d'été et la chaleur semble étouffante en contre-bas. Un oiseau camoufle temporairement les rayons du soleil, donnant une ombre éphémère au cavalier qui descend ses yeux vers la cité qui s'étend.

Comme un arbre qui étend ses racines, Omashu s'étendait sur toute la plaine au pied de la montagne, où il y a quelques siècles, le mur retenait encore la folie des hommes.*

Cette ville est immense. Comment peut-ton vivre dans un tel environnement ...

*Cette ville serait donc la deuxième étape dans le voyage de Tung. Après les mines près du marais, le voilà dans une des plus grandes ville du Royaume de la Terre. De vieilles légendes racontent que cette ville fut le berceau de la maitrise de la Terre, sorte de résultat d'une bénédiction des esprits.

Le voyageur flatte l'encolure de son chevautruche et l'animal se remit en route. Le voyageur et sa monture descendent le long d'un petit chemin de terre qui s'en va rejoindre la ville et ses habitants. La descente dure presque une heure. Durant la marche, le guerrier remarque une colonne de fumée noire qui s'élève depuis le centre de la ville... Tung est inquiet, qu'allait-il trouver ici ? Finalement, le guerrier atteint les premières habitations. En continuant sa route, le calme et le chant des oiseaux est très vite remplacé par le brouhaha incessant d'une forte densité de population. Très vite, le guerrier entend parler d'un incendie et s'en inquiète, était-ce donc la fumée observée un peu plus tôt ?

La monture devenant encombrante, Tung jugea qu'il était temps de relacher la créature, il descend à terre et récupère le linge sur lequel il était installé. L'homme attrape le cou de l'animal.*

-Tu as bien travaillé mon ami ... File !

*Il lui adresse une dernière caresse ainsi qu'une bonne claque sur le derrière lui intimant de se tailler vite fait, cette ville n'était pas fait pour lui. Tung se retourne, désormais piéton parmi les piétons. Au milieu de cette foule citadine, le guerrier remarque assez vite que ses accoutrements sont très loin de passer inaperçu, mais il n'en a que faire. L'idée pour lui est de se repérer dans cette grande cité.*

Ce ne serait pas chose aisée, il me faudrait une grande tour où un autre bâtiment sur lequel je pourrais grimper pour me localiser dans la cité ...

*Un oeil vers le ciel il observait les courbes décrites par Crom, son grand aigle. Avec un sourire, l'homme entame une longue marche vers l'épicentre de la cité, peut être trouvera-t-il quelque chose ou quelqu'un digne de son intérêt.

Mais rien n'est moins sur.*

[Esprit des Vents]

# D'accord ! Au revoir. #

*Le marchand regarde la grosse brute s'éloigner, puis baisse les yeux vers le potier resté à terre. Haussant les épaules, il s'éloigne à son tour, lâchant innocemment*

- C'est malpoli d'écouter aux portes, quand bien même portes il n'y a point...

*Quant à lui... Oh, l'avenir décidera de ce qu'il conviendra de faire de Monsieur Hài et de ses cachotteries. Pour l'instant...*

/Omashu, c'était bon de te revoir. A la prochaine !/