par Quan Lao Tsu » Dim 29 Déc 2013 18:21
Attrapant le comptoir ses doigts ce crispant nerveusement sous la surprise, ce tassant dans sa chaise laissant termine le discourt de l'homme ce terminé. Une telle rage exacerber pars les traits du personnage venaient à le troublé, soupirant profondément pour lui aussi calmé la bête qui monté en lui.
- Monsieur , j’entends ce que vous dite, mais comme je vous les dis un jour peux êtres mon grand-père à t'il était capable de faire ce genre de miracle. Mais aujourd'hui croyais moi, il l'aurait fait ses jambes s'il l'avait pu peux êtres devriez vous allez voir..Du côté de la guilde des machinistes, eux ce sont des créateurs de rêve. Avec l'argent que vous possédez, je ne doute pas qu'ils pourront trouver une solution, pour ma part je n'ai pas assez d'argent, car tous vont dans les soins de mon grand-père et de la boutique.
Sans êtres le meilleurs des menteurs, Quan avait du plus d'une foi démentir les fait sur ses sois disent prothèse que porté le voleur qu'il était et malgré cela sa voie était remplie d'amertume qui pouvait êtres pris pars une peur, la peur d'avoir son masque tomber. Celle d'êtres découverts et mise à nue devant tous, son handicape était aujourd'hui pour lui une phobie aussi, car l'égoïsme faisait qu'il ne pouvait ce résoudre à perdre ce qu'il avait aujourd'hui, pas après le faite qu'il est volé et pris tout cela. Toutes ses pièces dont la plus pars était simplement revendu pour maintenir les fonds de commerce, qui en plus de cela lui procuré une dose d'adrénaline qu'il savait que nul ne pars ailleurs il ne pourrait trouver. C'est un chemin rempli de ténèbres qu'il a emprunté, dont il ne peut faire demis tous c'est donc pour cela qu’aujourd'hui sa voie résonne au mensonge pour ce protéger de son égoïste choix.
Restant contre le dossier de sa chaise, calme sa respiration de profonde respiration relâchant la prise qu'il avait plus tôt sur la table, reprenant son calme quand la tension redescend et ainsi que l'atmosphère s'adoucit et est plus propice au dialogue plus serein. Notre jeune vendeur avait devant lui après tout un père, au aboi criant à l'injustice devant ce qui ce passer, mais cela il l'avait comprit et pour cela qu'il lui était difficile de restait de marbre devant un tel homme pour temps c'est qu'il réussit a faire malgré la colère qui lui était montée alors qu'il répliquait aux paroles de l'homme pars les siennes.
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Quan Lao Tsu le Sam 25 Jan 2014 03:45, édité 2 fois.