Alors que tout ce passe bien dans le meilleur des mondes, tout le monde gérant son petit déballage et le gamin ayant décidé que finalement, il avait envie de faire autre chose que de tourner autour de Tamiko, l'impensable se produit.
Le Cid décide de rappeler son existence autrement qu'en râlant après le quidam du coin.
Et il est très fort pour ça, l'animal.
Du coin de l'oeil , Tamiko voit le Cid se diriger vers le garçon et elle sent, oui elle sent que ça pue. Que ce soit s adémarche, son expression, ou juste parce qu'on parle de Cid, mais oui, ça pue
-Oh ! Ouuuuh, ce "Oh" qui ne trompe pas, dit la narration, alors que
Tamiko commence à suer très fort-C'est toujours le bon moment pour péter des sales gueules pédantes comme la sienne !HOLY SHIT.
-Puisque t'en demandes... J'espère que t'es prêt, gamin, parce que je pense pas qu'on t'ait déjà traité comme je m’apprête à le faire.
HOLY. FUCKING. SHIT.
Ayé c'est la fin des haricots. Tamiko est au bout de sa vie et commence à la voir défiler devant ses yeux en sens inverse tandis que les nomades, plus stoïques, décident unanimement de dégager la piste de décollage en formant un cercle.
C'est beau cette solidarité, j'en ai la larme à l'oeil.
J'en déduis donc, les nomades connaissant mieux le bestiau que Tamiko, qu'il ne sert à rien de tenter de s'interposer sauf à vouloir absolument tenter un vol plané synchronisé en tandem.
C'est une discipline que je ne maîtrise pas encore après tout.
Tamiko se rapproche donc du cercle, ne sachant pas encore sur quel pied danser mais sentant par instinct que les dés sont déjà jetés.