Ba Sing Se

[Malo]

- C'est ça. Je crois bien qu'on s'y est croisé. Mais je ne me souviens pas de votre nom... Oh !

Ah donc j'étais pas fou ! on se connait bien !

- Je suis bête, autant refaire les présentations. Je suis Tamiko. Il semblerait que nous allons beaucoup plus nous croiser désormais... Dans le désert.

Je serre la main que Tamiko me tend en relevant sa pique.

- Mah-Lo, enchanté Tamiko.

Je soupire de fatigue, me retourne pour voir où est Cid et m'adresse à la jeune femme pour ne pas me faire smite par le nomade de l'air :

- Le désert... Vous aussi vous vous êtes faite embringuée pour partir avec le vieux ?

[Nightcat]

Elle hoche la tête avec un sourire compatissant.

- Nous sommes aussi volontaires l'un que l'autre. Moi, c'est parce que je suis originaire du désert. Bienvenue à bord donc.
...
Tu as eu le temps de grignoter sur la route ? poursuit-elle, prenant le parti de le tutoyer. Après tout ils avaient l'air d'avoir le même âge.

- J'ai cru comprendre que notre départ se rapprochait, surtout avec cette histoire de bataille... Donc si tu as besoin de petit déjeuner...

Par contre y a plus de rab de compote.

[Malo]

- Nous sommes aussi volontaires l'un que l'autre. Moi, c'est parce que je suis originaire du désert. Bienvenue à bord donc.
...
Tu as eu le temps de grignoter sur la route ?

Je suis déstabilisé par son tutoiement si soudain. Puis finalement pourquoi pas, on va se retrouver coincé avec Cid plusieurs jours, autant commencer tout de suite à se parler sans forme de politesses inutiles. Sinon elle confirme ma théorie que chez l'avatar on demande pas l'avis des gens pour les embaucher...

- Non... Mon dernier vrai repas remonte même à plusieurs jours pour tout te dire....

- J'ai cru comprendre que notre départ se rapprochait, surtout avec cette histoire de bataille... Donc si tu as besoin de petit déjeuner...

- Avec plaisir ! je veux bien que tu me montres où est la cantine s'il te plaît. On mange bien chez l'Avatar ?

Miam ! J'ai une envie de compote moi en plus !

[Nightcat]

- Non... Mon dernier vrai repas remonte même à plusieurs jours pour tout te dire....

Pas mangé depuis plusieurs jours ? Dur. La jeune femme fait signe à son acolyte et prend le chemin de la cafèt’


- Avec plaisir ! je veux bien que tu me montres où est la cantine s'il te plaît. On mange bien chez l'Avatar ?

-Ma foi c’est pas mal. Ça fait un peu cafétéria. Normalement il doit y avoir encore des gens qui mangent.. et de quoi manger.

Faut dire qu’on nous a levé tôt avec ces conneries.

A l’arrivée, on va voir si mes prédictions sont justes et s’il reste quelque chose.

[Le Conteur Blanc]

*Quand ils arrivent à la cantine, ils se rendent de plusieurs choses:

La cantine est vide.

Y'a donc plus rien à manger.

kek.*

[Malo]

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON

Je craque et explose en pleure sur l'épaule de la Tamiko qui n'a rien demandé quand je me rend compte que la cantine est vide. J'ai beau avoir donné l'impression que les remarques de Cid me passait au dessus, après les épreuves que j'avais passé ces derniers jours, cette cantine vide et les piques de Cid m'ont détruit bien plus facilement que d'ordinaire.

[Nightcat]

Bon la cantine est vide. Il faut croire que les retrouvailles royales et les râleries de Cid ont duré plus longtemps que prévu… Assez en tout cas pour que l’heure du petit dej soit passée.

Tamiko se retourne donc vers son petit camarade pour lui expliquer la nouvelle marche à suivre quand ce dernier ...fond en larmes.

...
....
.....
D'accord.

Alors, là pour le coup, Tamiko est un peu prise de court par la réaction du jeune homme. Il faut dire que c'était plus inattendue. Mais elle se reprend vite et tend donc la main pour lui tapoter gentiment le dos.

- Non mais...Ça va aller, hein. Faut pas se mettre dans un état pareil pour un compote tu sais... C'est pas parce que y a personne que y a plus rien dans la réserve. Y a toujours à manger quelque part, ici.

Viens, on va aller voir en cuisine s'il y a des restes, d'accord ? Allez, on fait ça.

Elle lui donne une petite poussée pour l'inciter à avancer. Le pauvre doit être épuisé par son voyage et, la faim aidant, il doit être sur les nerfs. C'est les nerfs qui lâchent, tout simplement. Ça arrive : on a bien vu le cas après le cas Ryo bis.

Le duo prend donc la route des cuisines pour y trouver quelqu'un / des restes / du pain qui traine.

[Malo]

- Non mais...Ça va aller, hein. Faut pas se mettre dans un état pareil pour une compote tu sais... C'est pas parce que y a personne que y a plus rien dans la réserve. Y a toujours à manger quelque part, ici.

Viens, on va aller voir en cuisine s'il y a des restes, d'accord ? Allez, on fait ça.

Je sèche mes larmes et me calme devant la maternité de Tamiko. Je l'aime bien ma nouvelle compagnon. Merci de me donner un tel ange avec qui supporter Cid.

- Merci... Désolé de t'avoir montré ça...

[Le Conteur Blanc]

*Dans les cuisines, une Tamiko effarée et un Mah-Lo en pls trouvent l'équipe en train de s'affairer à la préparation du repas. Un commis, occupé à peler des patates, les interpelle.*

-Hé ! Qu'est ce que vous faites ici ?

[Nightcat]

Bonne nouvelle la cuisine n'est pas vide, on va avoir de l'aide.

En théorie.

L'accueil sera fait par un commis en plein épluchage et se résumera à ceci :

-Hé ! Qu'est ce que vous faites ici ?

Ce qui est moyennement engageant, vous en conviendrez.

Tamiko, forte de son expérience dans le service grâce à son travail dans un salon de thé ( bonus +5 en charisme, efficacité prouvée sur le Cid) s'arme donc de son plus beau sourire désolé option "s'il vous plait soyez gentil avec moi, je viens en paix" et s'explique donc poliment :

- Désolée de débarquer comme ça, mais ce monsieur ci-présent vient d'arriver sur le dirigeable pour rejoindre l'expédition du désert. Il a fait une longue route et n'a pas avalé un repas correct depuis plusieurs jours. Vous n'auriez pas quelques restes qui traînent ? Il est vraiment à bout.

Et me dit pas que ça se voit pas, j'ai un grand garçon à côté de moi avec les yeux rouges, les joues humides et le nez qui coule encore. Si avec ça j'ai pas un bonus d’apitoiement, je vois pas ce qu'il te faut.