Le Temple de l'air

[Chizuka]

Si dans les premiers mètres, je me laisse entraîner par Anil, je finis par essayer de me défaire de son soutien gentiment pour tenter de me débrouiller seule.

C'est bon, pas besoin de l'infirmerie, c'est gentil.

Je tousse un peu, puis continue.

Un peu de repos et je serai sur pied.

[Klems]

*Chizuka se relève tant bien que mal.*

C'est bon, pas besoin de l'infirmerie, c'est gentil.

*Je me rapproche d'elle en tendant les bras au cas où elle s'effondre.*

- Allez quand même y faire un tour pour vérifier que vos poumons n'ont pas été trop touchés après avoir été vidés d'air. On ne sait jamais.

*Après avoir un peu toussé, elle continue.*

Un peu de repos et je serai sur pied.

- Raison de plus pour vous reposer un peu à l'infirmerie, non ?

[Le Tribun]

DAIDAI

*L'Hospitalier acquiesce.*

-Effectivement, à condition de bien positionner les fils, et d'avoir les moyens. Ça reviendrait très cher tout ça. Donc... Tu veux téléphoner au bureau de police ou pas ?

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SHION

*L'infirmière hésite.*

-Heu... Une demi-heure, je dirais.

*Elle s'approche et pose une main sur le front du Fils du Feu.*

-Vous êtes sûr que vous allez bien ? Vos yeux sont bizarres.

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SACARIA / NEMO

*Ull secoue la tête, embarrassé.*

-Oui, c'est bien lui. Désolé pour lui. Vous venez ?

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AETOS / CHIZUKA / KLEMS

*Anil acquiesce.*

-Je suis d'accord avec Kotaro. Vous devriez vraiment aller à l'infirmerie. Ce sauvage s'en est pris à vos poumons. Je n'ai jamais vu quelqu'un user de la maîtrise de l'air de manière aussi violente. C'est très choquant.

[Daisuke]

-242-

Si possible, oui j'aimerais bien. Pour savoir s'ils ont avancé dans leurs recherches et sinon au moins leur indiquer l'endroit où me contacter s'il y a du nouveau.

Ne perdons pas espoir.

[Le Tribun]

DAIDAI

*L'Hospitalier sourit.*

-Parfait. Viens avec moi.

*Il emmène Amarok dans une pièce ou trône un appareil étrange, dans une matière étrange, avec une sorte de cadran d'horloge sur la face.*

*Bref, c'est un téléphone, mais pour Amarok, c'est juste un objet complètement inconnu. Le Moine saisit un livre, le consulte, appuie sur la cadran. Il saisit le cornet et commence à parler.*

-Opératrice ? Bonjour. Passez-moi le commissariat je vous prie. Merci.

*Il passe ensuite le cornet à Amarok.*

-Parle en bas, écoute en haut. Dis qui tu es et la raison de ton appel.

[Sacaria]

Mia, qui vient de terminer ses affaires acquiesce et suit le Sage.

Ce n'est pas grave, il n'a peut-être pas fait exprès.

Tendre naïveté.

[Shion]

L'hésitation de l'infirmière me fit comprendre que je n'avais pas perdu 3 jours alité.

-Heu... Une demi-heure, je dirais.

Elle posait donc une main sur mon front. Et dieu sait que le contact avec une femme faisait buguer Shion.

-Vous êtes sûr que vous allez bien ? Vos yeux sont bizarres.

-Non ne vous en faites pas, ils sont normaux, c'est juste que mon regard est toujours... Froid. Je ne l'ai pas choisi.

Je disais cela sur un ton à moitié triste, mais pas agressif hein calmez vous....

[Daisuke]

-243-

Amarok prend le cornet en main comme s'il s'agissait d'un serpent prêt à le mordre, pas très rassuré à l'idée de se flanquer ça contre la tronche.
Mais bon, Hospitalier s'en est sorti, donc il s'applique à suivre les consignes.
Il y a un bruit bizarre, ça crachote...est-ce que c'est normal ? Il lance un regard au moine pour être sûr mais sans piper mot.
Finalement, il entend une voix. Ouaaaaah.

Euh...bonjour ?

"Qui vous êtes et la raison de l'appel".

Amarok Avani, j'étais venu porter plainte pour une agression l'autre jour. Je n'avais pas laissé de moyen de me recontacter et je vous appelle pour savoir si par chance l'enquête a avancé...

[Chizuka]

Ayant encore un peu de rancœur pour Cid, je me permets de lâcher.

Je ne sais d'ailleurs toujours pas pourquoi vous continuez à le suivre...

un point pour la cruche

Une petite série de toux plus tard, je continue d'argumenter.

Je.. je voudrais pas aller à l'infirmerie alors que je viens d'en sortir. J'ai encore ma béquille... je vous le dis, je reste un moment dans ma chambre, à boire régulièrement, et ça va aller mieux.

[Klems]

*La jeune femme voulait tout faire pour ne pas aller à l'infirmerie. Je dus insister moi aussi.*

- Ecoutez, nos corps n'ont jamais été préparés pour ce genre de techniques et de dommages. Allons à l'infirmerie même si ça ne doit pas être grand chose. De toute façon je dois retourner voir quelqu'un là-bas. ça fera d'une pierre deux coups.