[CIT] Le Palais Citadin

[Yukiko]

Sura relève la tête, dévoilant ainsi son visage marqué par les émotions, il y a bien longtemps qu'il n'avait ressentis autant de chose. Son regard, avait une lueur triste et il n'y avait plus d’agressivement en lui. Il restait là, inerte devant les exclamation du manteau blanc. Il ne réagis que quand l'homme lui posa la question au sujet de la Matriarche ; comment pouvait t'il dire cela ce dit Sura.

Puis là, tournant la tête sur le côté en soupirant d'agacement. il ce dit qu'ils étaient faible d'être déstabilise dans un moment comme celui-ci, qui demande du sang froid. Mais aujourd'hui, il avait été plus faible que eux, car c'été lui qui avait céder à sa nature profonde. Puis il plongea son regard dans celui de son interlocuteur, avant de prendre la parole.

- Je suis Sura Iluak, fils de Wakisa Iluak héritier de Kaya Iluak... Je n'aurais jamais attentait à la vie de ma propre famille, ce sont les gardes qui mon agresser, je n'ai fais que me défendre. Laisser moi voir la Matriarche, avant qu'il n'y est plus grande mésentente.

Il savait qu'il n'y arriverait pas à la voir aussi facilement, mais chaque jours il répondra la même chose.

[Guru givré]

YUKIKO

*L'homme joint les mains.*

-Il est hors de question de vous laisser approcher la Matriarche.
Vous prétendez être le fils de Wakiza Iluak. Pouvez-vous le prouver ?

[Yukiko]

Sura donna chaque les nom des membres de sa famille, avec une description physique du prisme des souvenir de son enfance. La description était bien sûr approximative, cela restant des souvenir, donc rien de précis que ce sois sur l'emplacement de leur maison ou de leur aspect physique. Il donna par contre un détail que seul un membre de la famille aurais pus donnée, fallait t'il encore le savoir.

- Mon père combattait les Sourciers et c'est pour le bien de ses enfants, que nous nous sommes retires en Toundra. L'ombre d'une attaque était déjà présente sur les Iluak à cette époque.

[Guru givré]

YUKIKO

*L'homme reste silencieux. Il se lève et sort de la pièce. Il revient quelques instants plus tard et continue.*

-Pourquoi avez-vous agressé ces gardes ?

[Yukiko]

Il reste impassible et sa voix ne dénote pas la moindre agressive, elle reste neutre.

- Je me suis sentis agresser, je n'ai fais que réagir à la menace. Peut être, ai je fais cela de manière disproportionner ? il eu un sourire un coin, comme de fatalité.

Il avait baisser le regard, abattue par les événements. Dépasser par une tel bêtise, ce disant lui même coupable il ce demandé à qui avait été réellement la faute. Quelque instant, après un silence, il releva la tête plus résolu.

- Je veux voir Kaya, elle seul pourra m’innocenter. Si vous ne voulez pas, trouver moi une personne qui connaisse la famille Iluak, une assez vieille qui fut la du temps de mon père.

[Guru givré]

YUKIKO

*L'homme soupire.*

-Vous vous rendez bien compte que tout dans la façon dont vous avez approché la Matriarche et agressé ses gardes vous désigne comme un terroriste ou un Sourcier ? Si vous ne vouliez pas l'assassiner, pourquoi l'avez-vous approchée de la sorte ?

[Yukiko]

Il pencha la tête sur le côté, un air interrogative marquer sur son visage. La situation avais réellement été mal interpréter. D'un raclement de gorge, Sura ce remis droit et continue sa défense.

- Vous voulez dire, me mettre devant eux et dire à ma grand mère que j'étais rentré ? Je ne pensais pas agir en mal.

[Guru givré]

YUKIKO

-Vous comprenez bien que dans le contexte actuel, votre comportement est au minimum très suspect et que nous avons dès lors envisagé toutes les scénarios possibles ?

[Yukiko]

- Je suis un animal, comme vous l'avez dit je ne comprend pas toute les subtilités de la politique. Puis-je voir quelqu'un qui connais les Iluak, où la Matriarche. Nous éviterons une erreur de plus, ne perdons pas plus de temps.

[Guru givré]

YUKIKO

-Non.

*Fait l'homme.*

-Si vous êtes un animal, comme vous le dites, vous êtes dangereux et nous ne pouvons dès lors pas vous mettre en contact avec ces gens. Le Patriarche Yahto s'est d'ailleurs déchargé de toute autorité envers vous dès le moment où il appris cette affaire. Autant vous dire que c'est également suspect. Il est également en train d'être interrogé par nos services.