[CIT] Le Palais Citadin

[Guru givré]

YUKIKO

-De vieux souvenirs peu agréables je suppose. Puis-je vous demander ce que vous entendez par transition ? J'ai peur de ne pas comprendre...

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ILUQ

*Pour la Citadelle, c'est par là.*

[Yukiko]

Sura eu un sourire bien mystérieux, il était devenu un tous autre homme que le nouvelle arrivant à la citadelle depuis sa dernière rencontre avec le Tribun.

- Vous en dire plus actuellement serais m'avancer, mais beaucoup de chose on changer. Et j'espère que cela changera en bien pour la Nation. Et vous, votre tribu ce porte t'elle bien ? Comment vous sentez vous face au prochain conseille.

[Guru givré]

YUKIKO

*Marashi observe d'un oeil circonspect le sourire ambivalent de Sura.*

-Je suis ravi de l'apprendre. Ma Tribu se porte bien mais les nouvelles du monde extérieur nous inquiètent. C'est d'ailleurs pour ça que je suis là. On m'a dit que vous étiez à Hosho. Tout ce qu'on raconte est donc vrai ?

[Yukiko]

Il commença à ce promenés dans les couloirs, avec le Tribun, continuant la conversation d'un voix calme et détacher. Ce qui pour le sujet de discutions aurais pu en déranger certain.

- Tous, je ne sais pas. Il faut voir ce qu'il a pu être raconté, mais en tous cas de nombreuse personne fur tuer, prise de folie meurtrière. J'ai pu apercevoir aussi un Dragon, qui est intervenu...en bien ou mal. Je ne serais pas dire. Pour le reste, si je peut vous répondre.

Il ce posa un instant dans une des alcôves du palais, qui donner en extérieur avec des grande ouverture en ogive.

[Guru givré]

YUKIKO

*Marashi rejoint Sura dans son alcôve et poursuit sa conversation.*

-Le monde n'est que chaos actuellement. Pensez-vous que c'est lié à l'apparition de cet esprit ?

[Yukiko]

- Mmh j'ai entendu de cette rumeur, si cela est bien vrais..il n'est jamais bon d'avoir l’attention d'un esprit sur sois. Les gens pense que les prier est bénéfique, je crois que c'est par peur que aujourd'hui l'homme prie...Car il a trop peur de supporter les problèmes du Monde et il ne prie non pour ce protéger, mais pour le salut de son âme.

Plissant le regard, celui-ci c'étant perdu un instant dans les méandre de sa mémoire et de souvenir bien trop sombre pour avoir envie de sans souvenir. Sa famille le hante encore aujourd'hui, et il ce sent coupable de n'avoir pu les protéger. Sa soeur..il ne sait pas si elle est en vie, qui serait t'elle en ce moment si elle vivait encore.

[Guru givré]

YUKIKO

*Marashi hoche la tête.*

-Effectivement, ces dernières années, le culte des esprits s'est quelque peu perdu, en particulier dans les lieux les plus cosmopolites. Je ne sais pas si vous l'avez remarqué, mais de moins en moins de maîtres naissent. Je l'ai d'abord remarqué dans ma tribu... Ça m'a intrigué alors j'ai commencé à poser des questions... Il semble que ce soit bel et bien le cas. J'ai peur pour l'avenir, Sura.

[Selkia]

39

Selkia regarde sans voir la sortie de Iluq et se tourne vers Anora, désireuse de reprendre la conversation, de savoir ce que la matriarche a fait de son temps libre et ce qu’elle sait de ce qu’il se prépare.

- Alliez-vous parler davantage de cette fille de l’ambassadeur avant son interruption ?

Anora avait l’air inspirée.

[Anora Nakaide]

SELKIA

-Oh, que j'aime ta curiosité !

Sourire sur ses lèvres maquillées de rouge, elle poursuivit sur le ton de la confidence :

-C'est une histoire assez croustillante. Le père de cette jeune personne était donc ambassadeur à la Nation du Feu, et il aurait rencontré une femme là bas. Quoiqu'il en soit, quelque temps après, il a ramené un bébé au Pôle Sud. Heureusement, son épouse était déjà morte à ce moment là, sinon, le scandale aurait été grand !

Oui, Anora était plutôt au fait de tous les potins possibles !

[Yukiko]

- Oui, avec cela je comprend de plus en plus la vision de l'homme qui ma élever, c'était un homme qui a fuie l'Homme de la ville toute sa vie. Comme s'il en avait peur, qu'il craignait quelque chose, maintenant je vois ce qu'il craint. C'est cette avenir dont tu parle, celui qui à perdu foi en son humanité, qui ne respecte plus ses ancêtres et ne pris plus les esprits. Les gens pense que la violence à raison de tous, mais l’ennemie du guerrier et lui même et c'est bien souvent cette adversaire que les guerriers n'arrive à vaincre. Il ce laisse submerger par leur envie primaire, n'arrivant pas à distingué ce qui est juste ou non.

Ce posant contre la rembarre, il observait en contre bas les formes du jardin qui garder la trace de leur ancien passage, trace qui ce voyais doucement effacer avec la neige tombant délicatement.