De l'eau, il fallait de l'eau à Kiel. Quelque chose qui pourrait maquiller ce qu'il allait préparer. Voilà que les personnes rassemblé s'échauffent. Mais ce n'était pas encore le moment. Il fallait attendre, attendre que les cris s'élèvent de plus en plus. Et là... là, le jeune maître de l'air allait relâcher son poison au plus profond des veines de ce pays. Il jubilait presque, comprenant qu'une si petite blessure pouvait causer la plus grosse infection. Son éventail dans sa main, il scruta les alentours à la recherche d'outil qu'il trouva finalement. Il y avait un vase d'eau contenant des fleurs. Voilà qui lui serait utile. Il attendit un peu, le temps que la foule se mettent réellement à s'énerver, que le bouche à oreille traverse l'entière foule et qu'à leur tour, les gens s'indignent. Et lui pendant ce temps jeta des petites billes d'air sur les bêtes qui commençaient lentement à s'exciter de colère.
*C'est le moment.*
Se détachant des pauvres moutons, il ouvrit légèrement son éventail et accumula l'air à l'intérieur. D'un geste souple mais discret, il le chargea vers les cadenas qui retenaient les fameuses bêtes qu'il devait relâcher. L'une après l'autre, il fit péter les cadenas avec une extrême précision qui était le quotidien des maîtres de l'air. Rigourosité, précision et calme. Une fois fait, il s'écarta avec souplesse et laisse le chaos s'installer. Il réprima un sourire satisfait tandis que ses yeux cruel cherchaient le fameux vase qui incriminerait les maîtres de l'eau. Les gens fuiraient face à la menace des bêtes enragées, le chaos grandirait si rapidement que personne ne chercherait à comprendre ce qui se passe. Et Kiel...
Kiel... Oui... Kiel... il renversait déjà l'eau sur les cadenas démoli ainsi que sur les serrures, juste assez, pas trop, pour faire croire à une attaque terroriste des maîtres de l'eau. Ses phrases avaient suffit à instaurer le début d'une émeute, mais ce n'était pas suffisant. Un imprévu est toujours de bonne augure, surtout quand on en est l'instigateur.
*C'est le moment.*
Se détachant des pauvres moutons, il ouvrit légèrement son éventail et accumula l'air à l'intérieur. D'un geste souple mais discret, il le chargea vers les cadenas qui retenaient les fameuses bêtes qu'il devait relâcher. L'une après l'autre, il fit péter les cadenas avec une extrême précision qui était le quotidien des maîtres de l'air. Rigourosité, précision et calme. Une fois fait, il s'écarta avec souplesse et laisse le chaos s'installer. Il réprima un sourire satisfait tandis que ses yeux cruel cherchaient le fameux vase qui incriminerait les maîtres de l'eau. Les gens fuiraient face à la menace des bêtes enragées, le chaos grandirait si rapidement que personne ne chercherait à comprendre ce qui se passe. Et Kiel...
Kiel... Oui... Kiel... il renversait déjà l'eau sur les cadenas démoli ainsi que sur les serrures, juste assez, pas trop, pour faire croire à une attaque terroriste des maîtres de l'eau. Ses phrases avaient suffit à instaurer le début d'une émeute, mais ce n'était pas suffisant. Un imprévu est toujours de bonne augure, surtout quand on en est l'instigateur.