L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Sa respiration résonner dans sa tête, fermant son oeil unique juste un cours instant pour le rouvrir pouvant ainsi voir au mieux son adversaire qui faisait face à lui. Ses mouvements perçus dans un ralenti pouvaient êtres prit avec une certaine anticipation, gonflant son ventre lors de l’inspiration et rétractant lors de l’expiration comment le moment fut senti pour attaqué il bloqua sa respiration et garder serrer contre ses cotes; il avança droit les pas s’entrecroisant.
Les pieds tournés au trois quarts vers l’extérieur, cela pouvait indiqué la direction de ses coups qui vont suivre et tous continuais à ce dérouler lentement dans la tête de Aren qui face à se golgote de muscle n’avais d’autres solutions d’attaquées la ou ça faisait mal.

Approche frontale, mouvement des lombaires offrant une rotation vers la gauche augmentant la puissance du coup qui avait était envoyer paume ouverte dans la vessie de l’homme et au moment de l’impacte recraché l’alcool garder en bouche dans le visage; finalité de l’action déstabilisation et douleur sur une partie faible.

Possible parade avec passage sur le côté pour ne plus se retrouver face à l’adversaire, avec une nouvelle frappe en uppercuts dans l’articulation du coude. Derniers coups donne pars le pied avec un coup de pied appuyer vers la rotule de l’homme venant de sa gauche, provenant de son flanc et fais pour le faire fléchir vers l’intérieur et le mettre à terre .

[Yahto Parak]

*Le combat reprit alors, Aren et son adversaire s'approchèrent l'un de l'autre doucement quand Aren se lança à l'attaque, il envoie son coup vers les parties basses de l'abdomen de son adversaire qui s'apprête à saisir le poignet d'Aren pour lui faire les étoiles, mais il n'avait pas prévu qu'on lui crache de l'alcool à la gueule.*

Ah le petit enculé !

*Prit de cours, le combattant ne peut rien faire si ce n'est subir le premier coup d'Aren dans la vessie qui le fait fléchir et poser un genou au sol. Aveuglé, le combattant se recroqueville légèrement ramenant les bras près de son corps alors qu'Aren faisait le tour du soldat pour le combattre quand Yahto se lève et hurle.*

-SURA ! STOP !

*Les poings serrés, le patriarche croise les bras et lance d'un ton implacable.*

-Tu as triché.

*Il attendait des explications. Pendant ce temps, l'instructeur roula en arrière pour se relever et prendre ses distances avec Aren, il posa une main sur sa vessie douloureuse et grimaça. Yahto lui lança un regard discret pour l'autoriser à se rincer le visage. Il s'incline rapidement pour saluer son adversaire et file se rincer le visage.*

-Alors ?

[Yukiko]

S’essuyant la bouche d’un revers de manche en plissant les yeux sous l’incompréhension, reprenant son souffle qui s’était fait haletant avec l’accélération de rythme du combat ? Ce présentent devant le patriarche une foi celui-ci aillant régler les biens séances avec l’adversaire de Sura, qu’il salua lui aussi d’un bref geste respectueux poing dans la peau ouverte pour revenir porter son regard neutre et impassible sur Yatho.

- Triché, qu’est-ce…ce n’est qu’une technique pour déstabiliser l’adversaire. Tuvan à toujours dit de savoir utilisé l’environnement à son avantage et les moyens que l’on avait à sa disposition pour vaincre son ennemie, tuer ou êtres tuer ….

Se tenant droit en position d’attente, il était tel un enfant qui ne comprenne pas sa bêtise. Car l’entrainement qu’il avait eu ne l’avait pas freiné dans ses manières sauvages, elle lui avait juste appris à mieux attaquer.

[Yahto Parak]

Yahto n'en revenait pas.

Je rêve, ce type doit avoir mon âge mais il n'est pas fini. C'est comme si j'avais déjà un gosse à éduquer. Ce doit être le Karma. Mes parents pourraient presque en rire. Presque.

-Tricher, c'est enfreindre les règles établies que chacun des partenaires d'un jeu, d'un combat ou d'un contrat doit respecter pour que les dits jeu, combat et contrat soient loyaux, équitables et surtout valables. Celui qui triche perd.

En l'occurrence, tu as perdu.

Voyons voir s'il percute, mon enfant sauvage...

[Yukiko]

Prenant une inspiration en fermant les yeux, puis après avoir écouter les explications il comprit qui lui était du de pouvoir répondre à cela. Chose qu’il fit, essayant de se faire comprendre au mieux de son geste.

- Votre garde est faible, dehors il serait mort . Nous sommes pas dans un dojo, se battre à la loyale ne fonctionne que pour ce lieu. Vous m’avez demandé de l’affronté ce est-ce que j’ai fais, vous m’avez dit qu’il était un adversaire je ne les donc pas tuer. Si utilisé des techniques c’est triché alors beaucoup de vos gardes mourront, car ils ne seront pas entrainés à celle-ci. Masaraq ma expliqué ce qu’est l’honneur, celui est bon pour les morts...si l’on veut vivre il faut tous faire pour gagniez voilà comment je pense.

Restant sérieux dans son explication, il fixait de façon défensive le Patriarche, le regardent dans les yeux. Ce n'était pas un Béta qui remettes l'autorité de son Apha en question, il jauger simplement celui si d'un regard .

[Yahto Parak]

Yahto se massa les tempes, se décala et désigna un panneau où le symbole de l'entraînement figurait. Celui qu'on pouvait retrouver dans tous les dojos du Pôle Sud en tous cas. Puis il répliqua sèchement.

-Respecter les règles ne rend pas quelqu'un faible. Là où tu te trompes, c'est que j'ai donné des instructions à mon sergent-instructeur. Qui sont de ne pas te tuer, au passage. Par ailleurs, j'aimerai juste te rappeler le but de cet entraînement : t'entraîner, toi. Alors si tu contrecarres ton propre entraînement, c'est toi qui te fourvoies. L'honneur n'a rien à voir ici, tu es... obtus, mon bonhomme.

Le patriarche n'était pas loin du découragement.

[Yukiko]

Plissant légèrement les yeux et ce redressa, comprennent que l’on le réprimandait, il avait encore du mal à comprendre pour quoi. Les explications du Patriarche devenaient un peu trop complexes pour lui, ce perdant dans ses paroles. Notre garde du corps n’était pas le plus éveillé des hommes, malgré un sens particulier de la philosophie qui lui accordé une certaine approche de la société de l’homme. Biaise dans un certain sens, car depuis des années il ne sans était qu’approché ou brièvement eu des contactes via des marchandages. Il avait suivi le schéma que son père de substitution avait avant lui suivi, seulement lui n’avait pas les bases que celui-ci avait. Ce qui fit que ce n’était qu’une pâle imitation, Sura ne sachant pas plus conter qu’écrire ou lire. En plus d’un manque évidant d’éducation, sur d’autres points il fut isolé. Ce qu’il avait pu retenir ici, c’est qu’il était dans un dojo malgré l’aspect et les consignes qui non pas était donné.

- Oui patriarche !!. S’exclama’il d’une voix forte tendit qu’il ce mettait des plus surs, montrant son abnégation au propos du Patriarche

[Yahto Parak]

Yahto tire la tronche.

-T'as rien bité à ce que je viens de te dire, pas vrai ?

Il soupira puis se rendit compte de l'heure.

-Il est tard, allons dormir. Demain est un autre jour, il paraît...

Sans un mot, il quitta la salle d'entraînement après avoir salué l'officier. Ils remontèrent dans les appartements du patriarche qui alla se coucher en silence, laissant le soin à son garde du corps de veiller sur son sommeil.

Et justement, durant la nuit... un bruit réveille Sura. Un bruit très très léger mais suffisant pour alerter ses sens.

[Yukiko]

Dans l'ombre , caché pars la nuit qui dans les ténèbres avait emplie la chambre de sa noirceur. L'oeil vigilant du chien de garde à l’apparence d'homme, était assis sur le tapis tel le roturier qu'il était et avec son ouïe fin qui la mise en alerte d'un bruit. Ce relevant dans un suintement légers et fluide de tissus, s'approchant de la source de bruit à pas de loup observant passivement ....

[Guru givré]

Une ombre écarta les volets qui s'entrouvrirent sans difficulté. Agile comme un félin, une silhouette s'introduisit dans la chambre du patriarche endormi. Dans le noir, la silhouette sembla saisir quelque chose dans son dos.