[Noël en Avril] ARTLA: Guerre secrète totale

[Alice Zara]

Bas quartiers de Republic City, puis Boutique de fournitures d'art : "Gianeel Art" ~

[RP écrit à 6 mains en cours de maths, puis d'allemand. Merci à L. & J. ~]


- Tout comme des demoiselles un peu trop curieuse, répondit l'homme du tac au tac, tout aussi froidement que Kali. Sur ce, j'ai bien mieux à faire.

La jeune femme ne retint pas un rictus méprisant et haussa les épaules avec condescendance.
Elle reprit sa route, quelque peu excédée.
Enfin... En quelques instants, l'épisode était oublié. Kali arriva en vue du magasin qu'elle cherchait, située à côté de l'établissement de plaisirs "Le Lotus Ardent". En cette heure matinale, quelques clients en sortaient, parfois raccompagnés par celle qui leur avait sensuellement tenu compagnie.
Kali entra dans la boutique d'art attenante. Une toute petite vitrine, dans laquelle quelques chevalets vides trônaient, laissant un indice quand à la fonction du commerce. A l'intérieur, tout n'était qu'une espèce de désordre aménagé, fouillis d'étagères en bois remplis de bocaux contenant milles pigments, liant et colorants, pots de pinceaux de tailles différentes, de plumes, d'encriers, de craies, de pastels, de fusains, de crayons et autre matériel d'arts plastiques.
Un couple d'hommes, les propriétaires, se disputait avec virulence :

- Non non, Ludovik, je te dis que ce peintre est mort en même temps que l'Avatar Roku !

- Jee Baile, c'est moi qui ai fait des études d'art, je sais ce que je dis, quand même !

- Je suis autodidacte, et alors ? Tu te crois supérieur à moi, c'est ça ?!

Kali se racla la gorge. Les deux hommes se tournèrent vers elle, interrompant leur débat. Le rouquin, Jee Baile, contourna le vieux comptoir en bois pour l'accueillir alors que le dénommé Ludovik, un homme très grand et très maigre, se retirait dans l'arrière boutique en lui adressant un petit signe de tête en guise de bienvenue.

- Bonjour ! Ravi de vous revoir à Gianeel Art ! Vous êtes bien matinale !

- Autant que vous, répondit Kali en souriant.

Le propriétaire leva les yeux au ciel en marmonnant quelque chose comme "études d'art gniagniagnia.."
Kali croisa les bras.
Jee Baile reprit :

- Donc, que puis-je pour vous ?

Commença alors une longue discussion technique au sujet d'une immense toile, aux mesures vraiment très importantes, que Kali désirait commander et dont les narrateurs, loins d'être spécialistes, ne peuvent rapporter les propos avec exactitude. Ils palabrèrent au sujet du matériau à utiliser pour la toile, du moyen de transport vers l'atelier de la jeune femme, et du prix de la transaction. Après quelques temps d'âpres mais sympathiques négociations, au quelle Ludovik était revenu se mêler (entraînant par là d'autres conflits de couple), ils parvinrent enfin à un accord.

- Très bien, nous vous faisons ça.. Disons, dans une semaine, ça vous ira ?

- C'est parfait.

- Attendez, mademoiselle, on vous offre ça, cadeau de la maison. Vous êtes une bonne cliente désormais (et faut avouer que ça traîne depuis un petit moment...) Je sais que vous préférez faire vos mélanges vous même, mais bon...

Et il tendit à Kali quelques pots de peintures, bleu, rouge et jaune, couleurs toujours utiles. N'ayant plus de place dans son gros sac, la jeune femme se résigna à les tenir dans ses bras.

- Faites attention, ils sont mal fermés.

La peintre remercia les deux hommes et se dirigea vers la sortie de la boutique, contente de ses transactions.

[HRP : Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé serait fortuite... ]

[Kaneko]

Ba Sing Se: Toujours place du marché avec Atis et Yuki

Tsukiyo, toujours sur ses gardes, regardait de partout. A gauche, à droite, sur les toits... Elle lançait son regard dans les petites ruelles, regardait d'un coup d'oeil rapide (et les sourcils froncés à la Yugi-Oh! (pour la référence au jdg.. Ok je sors...)) les étalages. Rien. Strictement rien. Elle en était pourtant persuadée. Quelque chose de malsain était sur le point de s'en prendre à eux.

Tss.. Soit je suis parano... Soit c'est un vrai pro dans l'art de la fuite et de la dissimulation. pensa-t-elle. Le Dai Li me surveillerai-t-il même aujourd'hui? En même temps.. Ca me paraît logique, si je dévoile quelque chose, je suis morte.

Alors qu'elle se retourne, persuadée que l'ombre était un membre du Dai Li, le garçon reprend.

-Mais qu'y a-t-il donc mademoiselle? Ne soyez pas autant sur la défensive, je sais bien que je ne suis pas très présentable dans ces habits et que mes questions sont indiscrètes, mais je suis gentil en vrai! Sisi, je vous assure!

Elle l'observe rapidement. En effet, ses vêtements ne donnait pas tout de suite une bonne impression, et qu'il était quelque peu impertinent, mais rien qui ne valait la peine de s'énerver. Aussi, il lui propose de se rassoir. Ce qu'elle fit, sur ses gardes cependant. On était jamais trop sûr.

-Et pour vous répondre clairement, oui je débute plus ou moins en la matière. C'est-à-dire que je cherche un maître plus confirmé qui puisse m'apprendre à maîtriser. J'ai beau me débrouiller en autodidacte, je n'avance pas aussi vite que je le voudrais.

Le garçon était certes indiscret, mais il avait réussi à rendre Tsukiyo curieuse.

De l'autodidacte? Voyons cela... Pensa-t-elle, avant que le garçon reprenne la parole.

-Et vous mademoiselle, que faites-vous à vadrouiller à cette heure-ci dans la ville? demanda-t-il ensuite

Moi? Et bien comment dire... Je suis historienne. Je suis de passage à Ba Sing Se pour consulter la bibliothèque et ses archives. Mais... Elle s'éclaircit la voix, tapant légèrement du pied sur le sol, pour faire monter un cailloux dans sa main. Mais il m'arrive d'aider les gens que je croise durant mes voyages grâce à la maitrise de la terre. Quel est ton niveau?

Son mensonge était gros certes. Mais son attitude pouvait elle aussi être justifiée par un mensonge, qu'elle ne dévoile pas immédiatement.

[Spoon]

Drasek hésita un moment, mais obéit à son frère. Il changea le cap du navire en direction de la mystérieuse brume.

- J'espère que tu sais ce que tu fais...

Certes, elle offrait une excellente couverture pour la fuite, mais il se demanda si affronter la Nation du Feu n'était pas moins risqué. Au fond de lui, il estimait qu'ils aurait eu plus de chance de survivre avec cette option. Il espérait avoir tort, pendant que le navire s'enfonça dans la brume, la flotte poursuivante disparaissait. Le brouillard était étrangement dense, serait-ce un autre bateau pirate qui utilisait la même technique mais de façon plus performante ? Drasek souhaitait vraiment cette possibilité, qui serait la moins pire et dont les Sakk pourraient en tirer avantage s'ils étaient toujours poursuivis. Ce que le pirate redoute, c'est que la légende du Serpent soit réelle ; mais il tenta de se rassurer quelque peu en se disant que l'apparition de ce dernier ne causait pas de brume autour de lui.

Drasek resta à l'arrière, propulsant le navire et pour guetter tout poursuivant. Les maîtres de l'Eau, quant à eux, n'arrivaient pas à dissiper le brouillard, ou du moins pas suffisamment pour avoir un horizon convenable. Ils avançaient totalement à l'aveuglette. Les deux maîtres de la Terre de l'équipage étaient sur le qui-vive, se tenant prêts pour tout éventuel récif.

[Atiscomin]

Historienne hein?

-Ah excellent, on commence maintenant? J'aime les gens directs!

Nakami prit le temps de finir son bol de nouille, on ne gaspillait pas une si bonne nourriture! Puis il se leva tout en parlant au cuisinier:

-Veuillez nous excuser... Nous n'endommagerons pas votre carriole, promis!

Sur ces paroles, il se retourna puis se plaça à distance de l'échoppe avant de prendre une position imparfaite mais stable. Il commença alors à maîtriser pour montrer à l'Historienne ce qu'il savait faire. Ce qui se résumait pour lui à la bombarder de caillasses. Il envoya des rochers à l'aide de sa maîtrise aussi vite et fort qu'il le pouvait, ses appuis fermes sur le sol, ses mouvements assurés et vifs,ses poses très basses. Il avait l’œil brillant d'exercer un tel pouvoir, il aimait beaucoup maîtriser, même si ce n'était pas là dedans qu'il était le plus à l'aise.

Il maîtrisait d'autant mieux qu'il voulait gagner le respect de la maîtresse en face de lui. Par pure malice et pour rendre la tâche plus difficile à la jeune dame en face de lui, il s'arrangeait pour que les rochers qui s'écrasaient près d'elle ou même par elle explosent en autant de poussière que possible. Enfin, ce n'était pas parfait, il n'avait pas vraiment une précision de foudre de guerre dans cet art. Cela, au prix d'un temps-mort dans son attaque incessante, lui permettrait de brouiller sa vision.

Il faisait bien attention à n'envoyer les rocher qu'à des endroits où il n'y avait personne, attention plutôt délicate de sa part, heureusement il n'y avait pas un chat à cette heure, bien que la place n'allait pas tarder à se remplir. Il continuait donc son effort, tentant de tenir la distance le plus longtemps possible. Il faut dire qu'il bourrinait quand même comme un taré, histoire de donner le meilleur de lui-même et d'être vanné après, c'est toujours mieux.

[Gutenplud]

*Shou arrive devant le bâtiment du Conseil de la ville, la foule y est tout de suite plus dense là où ‘’l’élite’’ décide de ce qui est bon pour la populace grouillante. Certes l’avatar ne fait pas que de la figuration, mais bon pour Shouyen ce n’est qu’une sacrée bande d’hypocrite qui ne passent leur temps qu’à choisir avec quel sauce ils vont déguster les ressources de cette ville. Il reste un instant au centre de la place devant l’important bâtiment, faisant face à ce symbole de pouvoir des ‘’gens biens’’. S’il le pouvait, il ferait un gros FUCK à tous ces trouduc’ mais la place est un peu trop bondé et il a même aperçus quelques gardes donc évitons d’attirer inutilement l'attention. Il reprend donc son chemin pour finalement arriver à l’entrée de la petite boutique du tailleur.

Il pousse doucement la porte tandis que la petite clochette qui y est fixée retenti pour annoncer son entrée. Un rideau qui donne vraisemblablement sur l’arrière-boutique du magasin s’entre-ouvre laissant apparaître une tête qui balaye l’intérieur de la pièce à la recherche du nouvel arrivant. Lorsque leur regard se croise la mine de l’homme s’illumine, enfin un client pour renflouer ses caisses. Il passe cette fois-ci en entier à travers le rideau, laissant donc la vue de son corps au dos courbé, un pas bancale et légèrement compensé par une canne. Malgré ce petit handicape il s’empresse de rejoindre le jeune homme, mais s’il savait qu’il doit ce petit cadeaux à celui qui lui fait face il perdrait très vite ce petit air enjoué. Shou ne montre aucun signe de regret ou de compassion pour le petit homme, il se contente de quelques questions sèchement posées sur les plus belles robes du tailleur. Après le boulot c’est le boulot, ce n’est pas comme s’il ne l’avait pas cherché, quand on joue il faut aussi s’attendre à perdre, et puis Shouyen ne mélange jamais le privé au professionnel. Le commerçant lui présente bien gentiment ses plus belles créations, persuader d’avoir affaire à un fils de bonne famille venu débourser une bourse bien remplie. Et puis de toute façon leur précédente rencontre n’avait duré qu’un instant, dans les ténèbres d’une ruelle sombre, aucune chance que le commerçant ne le reconnaisse.

Il évalue avec patience et doigté les différentes pièces de tissus qu’on lui montre, sélectionnant ceux de la meilleure qualité. Il attend patiemment tandis que le tailleur lui fait son bon de commande et décide de la date de la livraison qu’il assurera lui-même pour pallier aux retouches possibles. Lorsque Shou sort une bourse et la pose sur le comptoir les yeux du commerçant s’illumine d’un éclair de convoitise, il ne peut pas s’empêcher d’esquisser un furtif sourire. Le vice est si fascinant à regarder lorsqu’il s’empare d’un être, tout le passé et les leçons qu’il apporte semble s’évanouir dans le brouillard de la nature humaine. Une fois cette transaction rendement menée, c’est le commerçant qui inonde le jeune homme sous les remerciements. Une fois sorti, il repris le chemin du Lotus pour aider à le préparer pour la soirée.*

[Kiori li]

Ba sing se
C'est ici que commencera ma légende !!
* Il est clair que hurler cela attire l'attention mais Qui don n'en a cure ! Bientôt les gens érigeront une statue à cet endroit pour immortaliser cet instant. Pour un jeune soldat du feu il est loin de chez lui...Mais la renommé de la famille est trop connue pour influencer sa gloire.*
Bon c'est pas tout ça mais je ne vois pas quoi faire...
*Regardant autour de lui, il reconnais rien mis a part quel que marins du pays du feu...
Aller les aider...Non sinon ils me feront les protéger dans leurs voyages. Comment inscrire ma légende ainsi...Bon faisons le tour de la ville, je finirais bien par rencontrer l'aventure !

*Pour une personne qui n'a quitter sa ville que pour un camp militaire, le choc culturel est un peu rude. Il est vrai qu'il a appris a voyager et sur le tas et qu'il a rencontré (et sauvé, on est un héros on doit par là ^^) des habitants du Royaume de la Terre..Mais entendre parler d'une culture et la voir c'est autre chose*
Les constructions sont incroyables ! Et la pagode au fond c'est le palais du royaume de la Terre ? Ils ont de quoi être fiers !
*Pris d'une réflexion, une évidence lui viens à l'esprit...Les choses risqué ne viennent pas dans les grandes avenues mais plutôt dans les petites rues. Et donc il s'y dirigea.
Errant tranquillement dans les petites rues il sent soudainnement la terre trembler encore et encore !*
je veux bien que c'est le royaume des maitre de la terre mais là il y a exagération.
*Cherchant la source de tout ce vacarme il tombe sur un homme attaquant un femme....Bon il visait comme un pied mais quand même ! Ni une ni deux il fonce entre les deux ! Dégainant son épée en sautant, il l'enflamma et d'un mouvement puissant il brise le rocher le plus gros qui tombe. Atterrissant d'un mouvement élégant, et savourant sa magnifique entrée, il se met aussitôt en garde*
Dis-moi ton nom que je l'inscrive dans ma légende

[Le Conteur Blanc]

WINDMAN

*Alors qu'il visite le temple, il entend une pièce d'où émerge plusieurs voix, ça crie, ça parle fort... Ça débat ...

ça a l'air important !*

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DARKDOG / SPOON

*Soudain quelque chose tremble ... Le navire.

Le navire entier tremble alors que des voix inconnus résonnent dans la brume. Le bateau est chahuté alors qu'un bruit étrange se fait entendre. L'équipage perd l'équilibre et doit s'accrocher à tout ce qui passe par là pour éviter une mauvaise chute. Le navire prend alors de la hauteur et une inclinaison pas tout à fait naturelle.

La brume se dissipe.

Le navire repose désormais sur un sacré iceberg alors que le bateau pirate est entouré par une flotte de navire. Le capitaine et son frère les identifie rapidement comme étant la flotte officielle des Tribus de l'eau du Pôle Sud.

Mauvaise pioche.

A bord des bateaux, des soldats réguliers des Tribus, mais également plusieurs agents dans une tenue d'un blanc immaculé. Un des navires s'approchent du bloc de glace tandis qu'un homme encapuchonné saute sur la proue de son propre navire. Il relève la capuche, ses cheveux sont aussi blanc que ses vêtements malgré son jeune age et font ressortir le bleu de ses yeux.*

-Oh ! La belle prise !

*Je vous présente Myralio, Chef de la garde des Manteaux blancs.*

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ATISCOMIN / JUSTE POIVRE / YUKIKO / KIORI

*Tsuyiko remarque une personne étrange avec une tenue ample et longue qui arrive dans un coin de la rue.

Ailleurs sur la place, deux personnes viennent de se faire passer un paquet trop discrètement pour que cela soit anodin.

A un autre endroit, un homme habillé comme un cuisinier porte un couteau à la ceinture.

Mais non, elle était certainement paranoïaque la bonne dame ! Alors autant tabasser le petit homme de course pour se remonter le moral, ça ira certainement mieux après. D'ailleurs ce dernier était ... Mauvais. Ah ça, elle en a vu des gens avec une maitrise brouillonne. Envoyer des cailloux dans tous les sens, c'était tellement facile d'esquiver pour un agent du Dai Li entrainée comme elle. Elle faisait partie de l'élite de la maitrise de la terre d'ailleurs.

Sauf que bon... Alors qu'elle en l'air, le type au fond de la place.

Il sort une arbalète.

Il la vise.

Et il tire. Et elle, elle est en l'air.

Et en plus histoire de, y a un mec qui commence à enflammer son épée et à taper dans les rochers de Nakami, il s'emballait un peu. Du coup, Qui Don commence à s'adresser à Nakami pendant que Tsuyiko s'effondre au sol, un carreau d'arbalète logé dans l'épaule.

Sinon le mec se barre.*

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ALICE

*En sortant, Kali se fait légèrement bousculer par deux hommes habillés de noirs, à l'air au moins aussi louche que Shouyen.*

-Excusez-nous.

*Et la porte se referme.*

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GUTENPLUD

*Shouyen se fait arrêter par une femme habillée de bien belle manière.*

-Excusez-moi messire. Mais j'ai du courrier pour vous.

*D'une sacoche, elle sort une enveloppe qu'elle tend au maitre du feu.*

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SHLOKA / LILY

*Sur le chemin du retour, les fils du feu pourront voir beaucoup d'agitation en ville et des rumeurs ... Sur la visite des chefs des poles au Seigneur du Feu Sun Ran.

On parle aussi de l'avatar Aang.

Mais tout ça c'est demain. Maintenant c'est dodo.*

[Gutenplud]

*Shou n'est qu'à quelques pâtés de maison du Lotus lorsqu'on l'aborde. C'est une femme relativement bien habillé, au vu de où il vient on pourrait presque croire qu'elle s'y est vêtu elle aussi. Elle lui tend une lettre cacheté et scellé d'un sceau. Ce sceau, il le connais très bien et relève immédiatement la tête vers la coursière. Il l'a remercie sans la quitter des yeux comme pour observer sa réaction, sait-on jamais, des fuites peuvent vite arriver. Il la fourre dans la poche intérieur de la veste avant de reprendre son chemin le plus naturellement du monde comme à son habitude, ce n'est pas la première fois qui reçois ce genre de missive.

Sans un mot, il s'engouffre dans le bordel et monte d'une traite dans sa chambre. Madame Saphir l'aperçois mais reconnait à son expression que ce n'est pas le moment, elle le connaît depuis le temps et avec cette froideur malgré le sourire qu'il a sur le visage en la croisant ne veut dire qu'une seule chose. Elle n'esquisse pas un mot le laissant aller à ses affaires, pour le moment.Talia était vraisemblablement retourné au turbin puisque la chambre est vide. En entrant Shouyen la ferme à clé pour ne pas être déranger, se serre un verre, puis s'installe à son bureau, brise le sceau et ouvre la lettre à l'aide d'un coupe papier...*

[Le Conteur Blanc]

GUTENPLUD

*Sinon à la fenêtre, il y a sa nouvelle copine Kali qui sort d'un magasin d'à coté du bordel, elle est bousculée par deux hommes louches ...

Mais on s'en fout, le plus important c'est la lettre.

Shouyen n'en revient pas. La cible était un pote à lui, qui faisait pourtant parti de la bande. L'attaque devrait se faire à son magasin qui servait pourtant de planque dans les coups dures, en pleine journée à la vue de tous.

Il fallait également scander des discours pro-Nation du Feu...

C'était à ne rien y comprendre sur ce papier. Ils avaient perdu la tête là haut ?*

[Eréné]

Lieu : Temple blabla Republic City blablabla.... pfff c'est redondant

Tout le monde semblait avoir sa feuille de route pour apporter sa pierre à l'édifice. Aang s'adressa à elle en disant qu'elle pourrait l'aider.

-Arrête de me paraphraser, boule de billard. On a du pain sur la planche.

La plus si jeune femme que ça se leva et s'assura que son épée courte glissait bien dans son fourreau sanglé dans son dos. Elle s'apprêtait à sortir mais une pensée sembla la retenir. Elle se tourna lentement vers l'avatar.

-Dis-moi qu'on va prendre Apaa pour aller à la Nation du Feu ?