[CIT] Les Académies

[Eréné]

Précédemment

Ce matin-là, des rumeurs couraient un peu partout dans les couloirs et dans les salles de cour. Apparemment, le vagabond se trouvait à l'infirmerie. Lorsque Kishi alla prendre son service, elle put constater d'elle-même qu'il était bien là. En plus des contusions qu'il avait hérité de ses échanges avec Makki, de nouveaux bandages et le traitement qu'elle lui administra pendant son sommeil, elle en déduisit que le Professeur de maîtrise de l'eau n'y allait décidément de main morte.

Elle salua Sangok et s'enquit de ce qui s'était passé.

[Guru givré]

KISHI / AREN

Sangok jeta un regard au patient qui venait de se réveiller.

-Eh bien, il a eu droit à un traitement de faveur de notre chère Makki. Tu sais comment elle peut se montrer déterminée à enseigner à quelqu'un... Mais ne t'en fais pas, il s'en sortira. En tout cas, elle a réussi à débloquer sa maîtrise. Pendant que tu es là, allons lui rendre visite.

Ils se rendirent à son chevet l'interrompant dans son petit numéro. Le serpentin d'eau retomba alors, inerte.

-Eh bien, Aren ? Comment se porte notre cher élève ? J'espère ne pas vous avoir trop amoché, mais vous m'avez toujours eu l'air d'un homme résistant.

[Yukiko]

Aren porta son regard sur le professeur et kishi reprenant son aire neutre, le regard perdant la lueur de joie qu'il avait quant il manipuler le liquide qui maintenant avait éclaboussé le sol formant une petite flaque. Reportant son regard sur sa main resserrant ses phalanges vérifiant les nerfs de celle si qu'elles soient en bonne état , puis une foi une inspection rapide des articulations et des muscles il revient porter son regard sur le professeur et Kishi .

-Mmmh, je suis prêt à reprendre l’entraînement ...Plongent sont regard dans celui du professeur en reniflant quel que peux . Il faut toujours se méfier des apparences, merci pour ce combat .

Il salua traditionnellement le professeur pour le remercier et regarda Kishi avec un bref sourire .

-Es vous qui m'aviez soigné ? Si c'est le cas, je peux dire que votre travail est des plus soignés... merci . Dit-il de sa voie roc

[Eréné]

Kishi ne comprit pas de quel "combat" il parlait, surtout en s'adressant à Maître Sangok. D'un revers de main mental, elle écarta cette pensée en considérant que cela ne la concernait pas. Et cela n'était que la plus stricte vérité. Puis il s'adressa à elle pour la remercier de ses soins.

-Oui, c'est bien moi mais vous n'avez pas à me remercier, c'est mon devoir. En revanche, le vôtre consiste à vous rétablir et à éviter de vous remettre dans un tel état. Mais j'ai peu d'espoir de ce côté-là.

N'est-ce pas ?

Elle le regarda en haussant un sourcil blanc pour le moins éloquent.

[Guru givré]

KISHI / AREN

Sangok eut un petit sourire à la remarque d'Aren puis donna un petit coup de coude à Kishi.

-Allons, il est encore vivant et entier. Ce ne sont quelques contusions. Rien de bien méchant. Notre rôle n'est pas de les empêcher de se blesser, sinon nous ne servirions à rien.

Il n'y a pas de quoi. En ce qui me concerne, cela m'a également fait plaisir. Mais pour votre entraînement, il faudra voir avec Makki. Elle seule pourra en déterminer la suite. Vous pourrez sortir dans l'après-midi.

[Yukiko]

Il ferma les yeux et eu un léger sourire relâchant un soupire.

-Bien, je vous remercie. Dit-il en regardeant les raillons du soleil qui traversait la fenêtre.

Réajustant sa position Aren ce rallongea sur le lit regardent le plafond, fixant le plafond il resentit la présence de la jeune Kishi qui été restait à cotes du lit. Ne portant son regard sur elle il continuait de regarder le plafond qui été fais de pierre brute qui gardait le peu de chaleur que produise les personnes qui s'activaient dans la salle.

-Alors ...vous vous ne deviez pas partir en voyage ?

Attendent sa réponse il tourna lentement la tête vers la coupelle dont plus tôt il avait réussi à enlever l'eau.

« Je ne comprends pas tous à fais ce qui s'est passé ...encore ses images d'hier qui me revient, c'est comme si ...si c'étais un rêve, ou un cauchemar que j'ai l'habitude d'avoir.... Cette sensation qui est en moi je sens comme un nouveau corps qui coule en moi, plus doux que le chi qui coule dans les veines, à moins que ce soit cela et que Justa maintenant ce soit autre chose qui me donne ses frissons pendant les combats... Je devrais demander à cette jeune soigneuse elle doit le savoir. «

Gardent pour lui ses questions il attendait, pour une fois sagement sur son lit il savait d'une côte que son corps avait besoin de repos et que trop forcer ne ferait qu'aggravée les choses.

[Eréné]

-Aïe !

Elle fusilla Maître Sangok du regard en se massant les côtes, roulant des yeux à l'écoute de ses déclarations pour le moins farfelues.

Puis Aren l'interrogea sur son voyage.

-On est pressé de me voir partir ? Hm, je ne partirais qu'après la Confirmation. Pas avant, j'ai des obligations à remplir.

Elle passa le doigt sur l'insigne de conseiller épinglé à sa ceinture, juste à côté de celui de soigneur.

[Yukiko]

Aren qui continuait de fixé le plafond écouta la réponse qui fut des plus simple , c'est vrais ce n'était pas dans son habitude de demande pourquoi.

-« Être avec les autres, c'est s'attirer des ennuis qu'on n'aurait pas seul » n'est pas vous qui m'aviez dit cela à mon arrivée , je m'intéressais seulement à la jeune guérisseuse qui m'avait fait cette remarque. Dit-il d'un ton neutre parlent de sa voie qui était toujours aussi roc.

Ouvrant son oeil il tourna la tête pour plonger son regard dans celui de la jeune Kishi, il respirait calmement ne laissant rien transparaître sur son visage sans pour au temps offrir un visage froid.

[Eréné]

Kishi eut un petit sourire.

-Je vois qu'on a le sens de l'humour. C'est en effet ce que j'ai dit, mais je ne me destine pas à l'ermitage, Aren. Ce n'était qu'un simple constat... Et, je l'avoue, une légère taquinerie. Nous avons tous une place dans l'univers, qu'elle soit glorieuse ou plus modeste. Enfin, c'est ce qu'on dit. Et vous, Aren ? Avez-vous trouvé un début de piste ?

[Guru givré]

AREN / KISHI

Sangok commençait à se sentir un peu étranger à leur conversation et préféra s'éclipser au moment opportun. C'est-à-dire lorsque Makki arriva. Totalement par hasard, bien sûr.

-Bonjour, vous deux ! Alors ? Comment se porte mon cher élève ? Bien j'espère parce que je n'en ai pas tout à fait terminé avec toi !

Elle affichait un sourire féroce et résolument enthousiaste. Flippant.