[CIT] Les Académies

[Kalys]

L'invitation à entrer ne tarda pas à filtrer à travers la lourde porte. Kalys entra dans le bureau, son regard captant les objets et livres en tous genres, renforçant le caractère sérieux de l'endroit. Elle était tout bonnement impressionnée. Assez pour oublier la présence de l'homme en face d'elle. Celui-ci lui fait d'ailleurs remarquer par un raclement de gorge amusé.

Surprise, Kalys sursaute. Comment pouvait-elle autant manquer de respect à son nouveau maître? ... Enfin, nouveau maître potentiel....

- Bonjour, je suis Sangok, professeur de Guérison. Aurais-je affaire à une nouvelle élève ?

Rouge de confusion, elle s'incline légèrement et tente de retrouver son souffle.

/Ne pas bafouiller, ne pas bafouiller../

- B..B..Bonjour...

/Crotte./

On peut dire que la confiance en soi n'est pas ce qui transpire le plus chez elle en ce moment. Kalys se force alors à penser à sa soeur, à son voyage à travers la toundra. Elle n'est pas partie pour se faire refouler dès le premier obstacle. Elle se concentre donc. On sent qu'elle se maîtrise beaucoup plus, même si le rouge de ses joues tarde à disparaître.

- Oui, vous avez raison. Je suis ici pour suivre votre enseignement et devenir la meilleure guérisseuse au monde. /Je ne veux plus me sentir inutile.../ J'espère sincèrement que vous m'accepterez comme élève, Maître... euh... Monsieur?

Au final, sa seule hésitation aura porté sur le titre de Maître Sangok : Pouvait-elle l'appeler Maître sans être son élève? Le reste de son discours avait laissé transpirer sa détermination. Elle était également plus sûre d'elle. Cela allait-il jouer en sa faveur?

[Guru givré]

KALYS

Le professeur fut étonné du discours, puis lui sourit.

-Appelle-moi, Maître Sangok. C'est mon titre.

Il fit le tour de son bureau puis s'y adosse en posant les mains en appui de chaque côté. Il l'invita d'un geste à prendre place dans l'un des deux fauteuils face au bureau.

-La meilleure guérisseuse au monde ? Cela demandera beaucoup de travail et d'efforts, et surtout du temps. Pourquoi la meilleure au juste ? Non que je réprouve l'idée d'être excellent dans son domaine, mais pourquoi cette envie de dépasser tous les autres ?

Sangok n'était pas dupe. Il savait d'expérience qu'il n'y avait pas trente-six mille raisons pour lesquelles des gens voulaient des médecins, des guérisseurs, des soigneurs. Il le savait également personnellement.

[Yukiko]

Ré-ouvrant les yeux il ressent encore une fois la sensation qui c’était produite plutôt dans la journée quand il c'était fait attaquer pars la jeune élève maladroite, les flocons de neige s'étaient comme figés dans leur chute inexorable, la sensation de ce grand froid qui parcoure les veines ... et sa pupille qui se dilatait sous l'effort de la concentration.

Je ...n'arrive pas ...à bougé

Il sentait comme si tout son corps était sous l’eau, ses mouvements lui demandaient alors beaucoup d’effort.

Stop ...

Ce fut la dernière pensée qui lui avait traversé l'esprit avant de réussir à exécuter des mouvements.

Partant de droite vers la gauche comme s'il voulait dévier les projectiles avec le tranchant de ses mains, sa main droite en avant et sa gauche légèrement en retrait il fit le mouvement circulaire qui aurait dû simplement parer les projectiles envoyés. Ce qui se passa fut tout autre, lors de l'exécution de son mouvement de l'eau sorti du bassin et suivi le mouvement circulaire qui balayer les dagues de glace.

Avant qu'elles ne ressortent de l'eau qu’elles traversaient, Aren termina son mouvement en prenant appuis en arrière et dirigea ses mains vers le sol, les paumes tournées elle aussi vers le sol ... cette fois si les dagues furent totalement figées dans l'eau qui s’étaient transformé en glace. Certaines étaient ressortis mais furent elles aussi stoppées dans leur cours retenus par le file d'eau qu'elles avaient laissé en transpercent l’eau, une d'elle cette même arrête juste devant le visage de la jeune élève qui plutôt avait lancer de la neige sur Aren .

L'action ne dura qu'une respiration, un battement de cœur ...mais pour Aren cela avait était une éternité et surtout un effort considérable comme s'il venait de passer un journée de marche dans la toundra , tous ses muscles lui fessaient mal et son cœur battait la chamade ...

[Kalys]

Le professeur semblait compréhensif, beaucoup plus patient qu'elle ne se l'imaginait. Elle s'assit comme il le lui avait proposé et le regarda plus attentivement. Son calme était déroutant. Même lorsqu'elle avait parlé d'être la meilleure, il avait à peine bronché. Elle avait conscience pourtant du côté présomptueux de son objectif.

Le Maître lui posa la question qu'elle redoutait tant. Elle se doutait qu'un jour elle aurait à s'expliquer : Pourquoi la meilleure? Kalys avait répété intérieurement ce discours encore et encore. Mais elle n'arrivait pas à mettre des mots sur ce qui était arrivé à sa soeur. Il n'y en avait pas d'assez fort pour exprimer ses sentiments et ses angoisses. Ses poings se serrèrent sur ses genoux. Elle essaya de se maîtriser du mieux qu'elle pouvait mais ses épaules commencèrent à trembler. Non, elle n'arriverait pas à lui raconter. Pas encore. Elle chercha alors un autre moyen. Une phrase qui pourrait expliquer la situation, sans trop de description. Elle la lâcha dans un souffle :

- Je ne veux plus laisser des gens mourir...

Il était hors de question qu'elle continue de se montrer aussi faible. Elle ravala un sanglot, mélangée entre sa tristesse et sa colère contre elle-même. Elle s'en voulait non seulement pour n'avoir pas pu sauver sa soeur, mais également pour son comportement envers le Maître. Qu'allait-il penser d'elle à présent? Elle secoua la tête et le regarda, confuse, dans l'attente de sa réaction.

[Guru givré]

AREN

Les dagues de glace furent contrées à la grande surprise du jeune homme éconduit.

-Tu n'es vraiment qu'un moins que rien, siffla Kida, furieuse.

Elle s'élança en lui envoyant des dagues à son tour. Il riposta mais elle le frappa d'un revers de main, le déséquilibrant. Il n’était clairement pas de son niveau. Mais quelqu'un d'autre intervint. Kida et son courtisan se retrouvèrent prisonniers dans des blocs de glace. Kida semblait résignée, comme si elle savait déjà à qui elle le devait.

C'était Makki.

-T'en prendre à une élève dans cette académie était la chose la plus idiote à faire, t'en prendre à ma fille aurait déjà signé ton arrêt de mort si je n'étais pas tenu de te remettre aux autorités. Tu as toujours été un mauvais élève, Eniak. Pas parce que ta maîtrise de l'eau est médiocre, mais parce que tu refuses un échec sans en tirer les leçons qui t'éviteraient d'échouer à nouveau. Fais mine, ne serait-ce que de regarder l'ombre de ma fille, et je te viderai comme un poisson.

Elle se tourna vers Kida qui ne faisait pas la fière. Elle la libéra de sa gangue de glace et lui fit signe de filer.

-On aura une discussion avec ton père, ce soir. Je te déconseille d'être en retard.

Finalement, elle se tourne vers toi, un petit sourire aux lèvres qui ne te dit rien qui vaille. Peu à peu, son sourire dévoile des dents blanches.

-Alors, comme ça, on cache qu'on est un maître de l'eau ? (Elle ricana) Sois présent à ma classe, demain à l'aube. Sois à l'heure, tu souffriras un peu moins que les autres. Ce sera ma façon de te remercier d'être intervenu. A demain.

Maîtresse Makki, donc, ton futur professeur de maîtrise, s'en va chercher les autorités pendant que le fils de l'eau tente vainement de se libérer. Tu n'as pu t'empêcher de remarquer à quel point elle semblait jubiler à l'idée de t'enseigner.

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KALYS

L'attention du maître fut attirée un court instant par de l'agitation à l'extérieur. Mais il revint bien vite à votre entretien.
Il ne put s'empêcher de remarquer sa réaction, à fleur de peau. Elle était jeune, seize ans au moins, à peine plus peut-être. Il ne fit cependant aucun commentaire.
Une phrase, une seule, qui voulait tout dire, qui expliquait tout. Il croisa les bras et inspira lentement.

-Dans ce cas, il te sera impossible d'atteindre ton but. Laisse-moi t'expliquer.

Si tu suis mon enseignement, il te faudra comprendre qu'on ne peut que soulager les maux dont la vie nous inflige. La mort est inéluctable. Elle fait partie de la vie, elle est nécessaire. C'est ce qui nous fait avancer. Ce n'est pas pour autant une source de souffrance. Pour le vieillard, c'est un repos bien mérité qui l'accueille à bras ouverts. Pour d'autres, c'est la fin de souffrances insoutenables. Pour d'autres, il est vrai, c'est une fin prématurée et injuste. Mais c'est ainsi.

J'ignore ce que tu as vécu, mais il te faudra en faire le deuil pour avancer.

Il alla se rasseoir à son bureau et replongea dans l'écriture d'un document.

-Les cours sont le matin et sont dispensés dans l'aile de la Guérison, ici même. Je t'attends demain à la première heure.

[Yukiko]

Aren assista à la scène sans pouvoir faire quelque chose. Il ne le montrait pas au premier abord, mais sa respiration était lourde et ses muscles tremblaient légèrement .

Qu'est-ce qui c'est passé ? Est-ce moi qui ai fait cela ... ? Visiblement oui, vu la fatigue que j'éprouve.
Je serai donc capable de ça ? Cela expliquerait beaucoup de choses que je n'ai pu encore jamais expliquer jusqu'à aujourd'hui ...

Il plongea dans sa réflexion et pris à peine conscience que Makki -la maître des cours des waterbender- était arrivée devant lui. Il parvint à décrypter plus ou moins ce que lui disait le professeur, la fatigue ne l'aidant pas .

- Alors, comme ça, on cache qu'on est un maître de l'eau ? (Elle ricana) Sois présent à ma classe, demain à l'aube. Sois à l'heure, tu souffriras un peu moins que les autres. Ce sera ma façon de te remercier d'être intervenu. A demain.

L'eau … Présent … Demain ...heures ...souffrir , merci ...Elle veux surement que je vienne la voir demain à son cours ... bien .. bon euuh...

Aren la salua poliment, prit sa veste et partit sans dire un mot de plus se dirigeant vers les dortoirs. La nuit n'était pas encore tombée mais lui avait bien sommeil ... Arrivant dans les dortoirs il se dirigea vers son lit et s'écroula dans celui ci .
Cette nuit là, comme toutes les autres ne fut pas une exception à la règle , elle fut aussi tourmentée par les songes étranges qui hantaient Aren depuis son enfance et qui lui donnaient des insomnies .
Ses songes étaient remplie d'hommes sans visages dont la voix était déformée par moment. Tout le décors n'était qu'une pâle réalité éthérée qui n'avait pas de couleur, et des formes distordue ...torturées pendant des heures, Aren finit par se réveiller en sueur dans son lit .
Il faisait encore nuit mais la lune se couchait doucement derrière l'horizon , l'aurore était donc proche ...Prenant ses affaires il déambula quelque temps dans l’Académie et fini par attendre là où les maîtres de l'eau s'entrainaient. Restant à l'affut du moindre bruit, il regardait tranquillement l'aurore-boréale tout en appréciant le silence ...
Le temps passa avec la neige qui tombait doucement et venait se déposer sur le visage de Aren qui regardait le ciel , et l'aurore lécha doucement les montagnes créant de sublimes couleurs d'or et blanc d'une pureté telle la neige de la toundra .

[Kalys]

Kalys n'en croyait pas ses oreilles. Comment ça, il ne pouvait pas l'aider? Elle écouta son explication avec la plus grande attention, contre-argumentant silencieusement au fur et à mesure. Oui, elle comprenait que pour un vieillard, qui a déjà énormément vécu, il pouvait fermer les yeux devant ce qu'il a accompli et s'en aller en paix. Mais pour les autres, ne valait-il pas mieux éradiquer la souffrance que de la laisser prendre un homme? Au moment ou il cita la fin prématurée et injuste, elle retint le sourire triste qui demandait à s'incruster sur son visage.
Elle avait écouté le Maître avec calme et, bien qu'elle n'était pas d'accord avec lui sur certain points, elle se garda d'afficher la moindre expression pouvant le laisser penser.

-Les cours sont le matin et sont dispensés dans l'aile de la Guérison, ici même. Je t'attends demain à la première heure.

Avait-elle bien entendu? Il l'acceptait quand même? Cette fois elle ne pu s'empêcher d'écarquiller les yeux de surprise, et de laisser venir le sourire franc sur son visage. Le Maître se replongeait dans la lecture d'un document, signifiant que l'entretient était terminé. Kalys se leva et s'inclina.

- Merci Maître! Je serai à l'heure, comptez sur moi !

Elle sortit de la pièce le sourire aux lèvres. Puis, au fur et à mesure qu'elle s'éloignait du bureau, ce sourire s'effaça, alors qu'elle repensait aux paroles, pourtant sages, du Maître.

/ Faire mon deuil... Comme si c'était facile. Non, il ne sait pas ce qu'à enduré Sitha, il ne sais pas ce que j'ai enduré. S'il ne peut pas m'aider, j'irai ailleurs, je parcourrai le monde, je... Il est hors de question que j'échoue. /

Elle décida de suivre et apprendre tout ce que le Maître aurait à lui enseigner. Et ensuite, s'il le fallait, elle chercherait un autre Maître, même à l'autre bout du monde s'il le fallait. Elle pourrait également énormément apprendre durant le voyage. Bref, elle voyait extrêmement loin dans l'avenir, sans même penser à son futur proche. Ce n'est qu'à la fin du couloir qu'elle se rendît compte qu'elle ne savait pas où elle allait passer la nuit. Elle était venue directement aux Académies après son trajet dans la toundra.

Elle aperçu un jeune homme qui devait suivre les entraînements des guerriers, à en juger par son apparence. Il ne la remarqua pas, ne se dirigeant pas vers la porte d'entrée. Kalys décida de le suivre, au hasard, avant de remarquer qu'il suivait le chemin qui conduisait aux dortoirs. Le hasard faisait bien les choses. Elle finit par trouver celui des filles, se choisit un lit et s'écroula, épuisée par sa journée. Elle ne se douta pas que le garçon qu'elle suivait passait une mauvaise nuit, dans le dortoir adjacent.

Elle dormi mal également. Pas dans le sens des cauchemars, mais parce qu'elle était tellement excitée que son horloge interne avait décidé de la réveiller deux heures avant le lever du soleil. Elle se retourna plusieurs fois dans son lit avant d'abdiquer et de se lever. Et prit ses affaires et se dirigea vers l'Aile de la Guérison qu'elle avait quitté la veille. Elle se choisit un endroit calme, s'assit et sortit ses aiguilles à tricoter, pour passer le temps jusqu'à l'aube.

[Guru givré]

AREN

Makki eut la surprise et un sourire sardonique lorsqu'elle constata que l'homme de la veille était le premier arrivé. Elle attendit que tout le monde arrive avant de commencer les hostilités. La coutume voulait que le dernier arrivé devait passer devant le maître qui examinait ses aptitudes avec la précision d'un chirurgien.

Le dernier élève d'aujourd'hui subissait la verve acide du professeur.

-Eh bien, élève Pakku, je vous suggère soit de vous améliorer, soit d'arriver plus en avance à l'avenir. Tout cela me paraît médiocre par rapport à ce que vous nous avez habitué ! Retournez avec les autres. Aujourd'hui, révisez les formes de la pieuvre et les fouets aqueux.

Le Maître de l'Eau vint alors te trouver et commença sans introduction.

-La maîtrise de l'eau requiert travail, persévérance et travail. Et si j'ai dit deux fois travail, c'est à dessein. Je vais t'envoyer une vague d'eau. Essaie de refaire ce que tu as fait, hier.

Joignant le geste à la parole, Makki tourna, utilisant la neige, la liquéfiant puis t'envoyant une vague relativement grosse pour te renverser.

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KALYS

Tu auras la surprise de constater qu'il n'y a que six élèves, donc sept avec toi (trois garçons et quatre filles), à suivre les enseignements du maître. Certains viennent t'accueillir et faire ta connaissance. D'autres discutent entre eux et s'entraînent sur un mannequin, en révisant des préceptes.
Maître Sangok entre alors et salue tout le monde qui vient de s'asseoir.

-Bonjour à toutes et à tous ! Je vois que vous avez accueilli comme il se doit votre nouvelle camarade, Kalys. Nous allons commencer aujourd'hui avec une présentation de notre enseignement. Élève Fang, nous vous écoutons.

Une jeune femme qui s'était présentée à toi comme venant de Ba Sing Se pour terminer son cycle d'études se lève et se met à réciter d'une voix rythmée :

-La vie est un miracle. Mais elle est fragile, un soigneur, guérisseur, médecin ou qui que ce soit exerçant une profession ayant pour but de soigner, guérir ou soulager des patients, a pour objectif de la préserver dans la mesure de ses moyens en prenant en compte l'intérêt du patient sans jamais aller contre sa volonté. Il ne doit en aucun cas abuser de sa position sur un patient, et ce, même si cela semble aller dans l'intérêt de ce dernier. Il ne donnera ni poison, ni moyen de te tuer avec malveillance à qui que ce soit. Il lui faudra également savoir s'écouter soi-même, car il se doit d'être bien portant pour prendre soin des autres. Mais le premier requis d'un soigneur, guérisseur, médecin ou toute personne exerçant une profession semblable, est l'humilité face à l'inéluctabilité de la mort même si notre but est de nous en préserver le longtemps possible.

-Merci, élève Fang. Vous pouvez vous rasseoir. Aujourd'hui, nous parlerons éthique. Élève Kalys, veuillez commenter la déclaration de votre camarade.

[Yukiko]

Makki

Se ne fut cas l'aurore que le professeur arriva et attendit les mains croisées dans le dos, saluant d'un simple signe de tête. Le soleil grimpait de plus en plus dans le ciel, et venait éclairer de plus en plus l'académie,les élèves arrivés par deux ou trois ...Et un dernier qui visiblement était en retard.
À la demande du professeur il exécutait un kata qui est visiblement ne fut pas à la hauteur, de ce qu'attendait le professeur. Et se fit affublé d'une longue tirade de reproches, une fois cela terminé le professeur donna les instructions qui aux élèves et vain s'occuper de Aren.

Qui lui était sur le cotes à attendre main croisée devant, ne regardant que vaguement ce qu'il ce passé .le professeur ce mis en face de lui et donnant les principes de la maîtrise de l'eau, elle maîtrisa de la neige et la fis fondre créant des rubans de vapeur qui sans échapper jusqu'à ce que la neige sois totalement transforme . Se mettant en position elle demanda à Aren de refaire ce qu'il avait fait la veille, s’étant alors lui aussi en position de combat. Il exécuta les mouvements au moment où l'eau lui arrivait dessus…

Prenant une courte inspiration et fit siffler entre ses lèves longue expiration, il sentit que ses bras étaient beaucoup moins lourds que la veille et que tout allait beaucoup trop vite. Et ce fut à raison, car il suffit tout simplement submergé par la vague, qui le fit reculer de plus d'un mètre.
Il manqua quelque peu de tomber, mais grâce à ses appuis fermes sur le sol il est tenu sans toutefois se retrouver tout de même tremper. Il recracha l'eau qui lui était entrée dans le nez et la bouche, saluant dignement sont professeure pour la leçon qu'il venait d'avoir.

«  Je sais bien qu'il a quelque chose qui n'allait pas... »

[Guru givré]

AREN

Makki eut une moue dubitative.

-Mouais, fallait s'y attendre. En fait, tu viens juste de te rendre compte que tu étais un maître de l'eau, pas vrai ?

Le professeur ne s'attendait pas à enseigner les bases de la maîtrise à quelqu'un d'aussi... vieux. Enfin, d'aussi âgée qu'elle. Elle était encore jeune, non mais !