[Noël en Avril] ARTLA: Guerre secrète totale

[Eréné]

Toujours avec l'Avatar Aang

-File donc, sous-fifre érénéen !

Salut Jennah ! Qu'est-ce qui t'amène dans le coin ? On a eu droit à un superbe feu d'artifice et à la charmante visite d'un vieil ami.

Ah, le sarcasme... l'une des armes les plus efficaces de Himitsu.

[Shloka]

*Rakurai regarde Luo puis l'avatar Aang, puis Luo puis Jennah puis Aang puis Myralio puis Luo puis Aang avant de dire*

C'est l'avataaaaaaaaaaaar ! Maître, vous avez vu c'est l'avatar Aang en personneuh !

*Et oui Rakurai ne se sentait plus du tout, au point qu'elle commence à secouer un peu son maître.*

Attendez, ça doit être un rêve....*se pince* aie... ah bah non... c'est un rêve éveillé ! Enchanté Avatar Aang, je suis Rakurai Fei, humble aventurière et élève de maître Huo ici-présent.

*Là elle essaye de se retenir mais si il fait un geste trop proche d'elle, on aura une Rakurai complètement gaga dans deux minutes.*

[Lily-chan]

*Avant d'avoir le temps de dire quoi que ce soit, Luo vit Rakurai prendre les devants, le tout de manière un peu hystérique. D'ailleurs, il fut secoué comme un vieux prunier par son élève qui ne se sentait plus face à son idole. Il essaya de paraître digne malgré tout et se présenta à son tour.*

Enchanté de faire votre connaissance Avatar. Je suis Luo Huo, maître du feu exerçant au dojo de notre capitale.

*Il fit un courbette et recula un peu afin de murmurer à son élève :*

Essaie de rester calme. L'avatar n'est certes pas un être humain comme les autres mais il n'a pas besoin qu'on lui rappelle...

[Avatar Aang]

*Si le sarcasme était l'arme d'Himitsu, elle était parfois une maitre incompris. Si Aang tressaillit, Jennah se contenta de se gratter la joue avec un air perplexe.*

-Hein ? Mais de quoi tu parles ?

-Rien, rassure-toi !

*Lache Aang avec un sourire qui se voulait innocent. Puis Rakurai péta son cable, figeant Aang sur place. Il avait toujours été mal à l'aise avec ce genre de ... Démonstration d'amour ? Ouais, c'était le mot le plus proche qu'il pouvait trouver. Ce dernier s'inclina à son tour.*

-Je suis enchanté de faire votre connaissance. Mais je vous rassure, je reste un homme tel que vous malgré tout.

-Ils ont insisté pour nous suivre afin de vous porter secours.

*Aang sourit à Rakurai et Luo, il semblait content d'une telle réaction.*

-Il n y a rien de grave là-bas quand même ?

-Non je te rassure, quelques blessés, mais rien qui ne requiert votre attention.

*Aang se tourne vers Rakurai.*

-Aventurière vous avez dis ? Voilà quelque chose de fabuleux !

*Pendant ce temps Jennah, septique, cherche un contact visuel avec Himitsu. La pauvre était larguée.*

[Atiscomin]

Nakami était pas content. Paaaaas content! Il aurait bien fait un caca nerveux, mais il était trop mature pour se laisser aller à tout ça. Alors qu'on venait de vendre gratis la marchandise qu'il savait contrôler comme personne, il se cala contre sa chaise, prit la boisson qu'Isaac leur avait, gracieusement, offerte et la regarda un instant.

Peut-être que c'est mieux comme ça après tout?

Non en fait.

-Bah!

Dans cette onomatopée dépitée, il prit le premier gobelet qu'il vit sur le plateau du serveur et but d'une traite le thé qui lui ébouillanta presque la bouche et le thorax. Il ne perdit pas face, fit son badass, et se contenta d'inspirer deux grands coups, l'air frais qui rentrait dans ses poumons chassant la chaleur au fur et à mesure. La douleur calmée, il se décida à de toute façon à attendre que les autres sortes et se plongea dans ses pensées.

Cet homme se tape un sourire! Désarmant, c'est pratique pour montrer qu'on garde le contrôle. Et les autres qui tombent pour ça, c'est triste. Bon, on va voir comment ça se passe, de toute façon je n'ai pas l'impression qu'on pourra avoir prise sur grand chose pour le moment avec ce gars qui mène les deux bourrins par le bout du nez. Quoique, on peut toujours essayer, j'aviserai.

Sinon qui est donc cet homme à côté de lui? On dirait un moine. C'est fou ça, j'en avais encore jamais vu! Il respire le calme et l'harmonie. J'aimerai pouvoir atteindre une attitude comme celle-là, je m'en serais bien servi. Il faudra que je parle avec lui quelques instants.

[Gino]

- J'ai compris ça aussi.

Au final, pour Futso, c'est souvent comme ça. Isaac gère très bien la situation, même mieux que le moine aurait put faire.

-Je paie ma tournée.

Futso lève la main.

- Un thé aux feuilles d'arbres kangourou.

[HRp: Mais si ça existe, quand ya du vent ils montent et descendent tellement ils sont élastiques !]

Il regarde alors les trois fugitifs. Ils ont pas l'air très tranquille par la situation quand même. Et Isaac ne fait rien pour arranger les choses.

[Kiori li]

*Voyant le comportement de Tsukiyo, Qui Don ne pu s'empêcher de sourire... Il n'est donc pas le seul que ce gars exaspère.Mais c'est Nakami qui le surprend le plus. Celui qui aurait du le plus s'énerver est finalement celui qui est resté le plus calme...L'épéiste se calme quelque peu. Il se tourne vers le moine.*

Moi aussi je vais prendre pareille, vu que c'est votre tournée.

*Le calme lui rendit une anomalie pourtant visible soudainement évidente. Une moine des nomades de l'air...*

D'accord..alors cette histoire est plus compliqué que je le pensais. j'ai une question. Pourquoi un moine du temple de l'air enquête sur la mort d'un médecin à Ba-sing tse ?

[Kaneko]

La jeune femme, exaspérée, ne pris pas part à tout ceci. Elle regarda ses compagnons et les deux nouveaux, avant de le dire:

Vous me rejoindrez quand vous aurez fini, je sors prendre l'air. dit-elle. Je reste devant.

Elle sortit, se cala contre un mur, et fit sortir de terre un petit bloc, bien carré, et s'assit en tailleur dessus.

Bon maintenant, réfléchissons un peu. Je dois retrouver la mémoire, mais partiellement. Juste ce qu'il s'est passé dans cette pièce... Juste ce moment là.

La jeune femme se concentra donc sur plusieurs choses. Une arbalète, sa blessure, le cadavre du médecin, du sang, le cadavre, sa blessure... Bref, elle essaya de retrouver un quelconque élément qui aurait échapper à leur vigilance. Et ce fut le cas, elle pensa à une chose à laquelle personne n'avait pensé. Dans la précipitations, ils avaient oublié le carreau, certes. Mais la chose capitale: avec quoi le médecin avait-il était égorgé? Son propre outil, ou une arme qui aurait pu grandement les aider? Cette question, elle la garde bien fraiche, et reprend sa méditation.

Aller.. Je veux savoir.. Je veux juste savoir qui a fait ça.. ALLER BORDEL!!

[Gutenplud]

Merde ! Voilà le mot exact qui retranscris la pensée de Shouyen, bon bien sûr il l'aurait bien dit mais on lui a coupé l'herbe sous le pied. Oui, parce que déjà qu’’un combat avec le Nine Djah c’est moyen moyen, sauf qu’en sous-nombre avec une jolie bande de branque bah là c’est carrément du suicide. Shou soupire, ils sont coincés et le chef se fait de nouveau balader par un autre groupe pas franchement copain-copain avec eux. Ouais en gros, sonner à la porte de l’avatar avec sur le front écrit l’Échiquier en gras et lettres capitales reviendrait un peu au même. Donc bon, quitte à crever autant faire la conversation, on moins on s’ennuiera un peu moins.

_ Euh… Salut. C’est vous le coup de la grenade ? Vous n’êtes pas malades d’essayer d’asphyxier d’honnêtes citoyens ! Vous n’êtes pas censé nous protéger plutôt ? Mais c’est le patron de notre boîte de livreur que vous emmenez ! Eh ! Il a rien fait de mal, où est-ce que vous l’embarquez encore !

Oui à situation désespéré, acte désespéré. Après tout, ils peuvent très bien se faire passer pour de simples employés, soucieux de la disparition de leur patron, non ?

[Alice Zara]

Kali acquiesce, et répond :

- Je vous tiendrais au courant.

Puis, pressentant que le temps était venu de prendre congés, elle s'inclina, et quitta le Temple de l'Air.
Elle prit un bateau pour regagner la rive de Republic City, en demandant à Ren s'il voulait l'accompagner, puis se dirigea immédiatement vers le centre ville, où se trouvait la galerie qui allait exposer ses toiles.
Elle entra, et devant l'effervescence qu'elle y découvrit, se stoppa.
Des ouvriers, partout. Qui aménageaient le lieu. Et se toiles, immenses, qu'on transportait dans tous les sens.

- Heu.. Bonjour ? lança-t-elle.

Elle avança prudemment dans l'endroit, à la recherche de sa galerie.