L’Épreuve du Guerrier

[Ermite des vagues]

Organisateur : Les Professeurs de l'Académie
Type de voyage : A pied

Lieu de départ : Toundra
Lieu d'arrivée : Citadelle, s'il s'en sort vivant.
Durée du voyage (facultatif) : Illimitée

Participants au voyage : Aren, et peut-être d'autres inconscients qui se sentiraient de le rejoindre de manière rôleplay (j'insiste sinon, c'est la mort)

Informations complémentaires : DIS IZ SPARTAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !

Contexte RP : Résumé des épisodes précédents... Peu après avoir débloqué sa maîtrise, Aren vient de recevoir l'ultime épreuve de son maître, de ses maîtres : partir seul dans la Toundra, avec pour seule arme un couteau et sa maîtrise de l'eau qu'il devra utiliser pour survivre et lui ramener la peau d'un loup-garou ainsi que ses dents et ses griffes. N'importe qui d'autre dirait que c'est de la pure folie et l'envoyer à une mort certaine. Et ils auraient raison. Mais la vie est faite de surprises. Qui sait ce qui peut arriver quand on trouve la clé du dépassement de soi...

[Yukiko]

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Aren était enfin sortie, il avait traversé les grandes portes de la lune pour se retrouver dans la Toundra toujours aussi grande et majestueuse de son blanc pur. Les gardes l'avaient regardé avec de grands yeux quant il leur dit qu'il voulait sortir, un homme sans arme ni bagage qui souhaité partir dans la Toundra c'est de la pure folie il courait à sa perte . Combien d'homme avait trouver la mort en voulant la traverser, cela c'était le cadet de ses soucie lui il cherche un gibier pour remplir sa mission. Mais chaque chose en son temps, il devait tous d’abord trouver à manger pour se soir et ce faire un lieu sécuriser pour dormir.

Il entama sa longue marche qui dura plusieurs heurs ne prennent que de courtes pauses pour pister les traces d'animaux, il tombât sur celle d'un lièvre arctique-Kangourou un animal qui pouvait faire des bonds de plusieurs mètres de haut. Cette un animal plutôt craintif qui fuyait à l'approche de l'homme se n'était pas une proie facile loin de la, mais le chasseur le savait que s’il arrivait à l'attrapé il aurait de quoi manger pour quel que jours tout dépendais de la taille de la bête. Aren avait fait attention à camoufler son odeur au plus vite en nettoyant ses habille avec de la neige et cette frotte un peux partout avec des excréments de Loup-garou, il valait mieux êtres au-dessus de la chaîne alimentaire que tous en bas . Car oui dans la Toundra l'homme ne tenait pas bien une place très glorieuse dans celle-si, et le chasseur ne le savait que trop bien c'est pour cela qu'il faisait tout pour gravir faussement les échelons.

« Je dois suivre les odeurs qui me porterons vers ma proie, faire attention au changement de couleur de la glace … elle pourrait me manger à tous instant. La Toundra enfin me voilà libre loin de tous ses humains, cela ne pouvait mieux tomber que maîtresse Makki me demande cela. Je vais pouvoir le montrait ma vrais force, et me montrait à moi même mes nouvelles limites que j'ai avec ma maîtrise de l'eau. »

Il scrutait l'horizon à l’affût du moindre mouvement du lièvre, il se rapprochait de lui sa cette une chose certaine les excréments qu'il trouvait de lui se trouvais êtres de plus en plus chauds. Le chasseur cueilli quel que baie et racine qu'il mâcha énergiquement, faisant couler dans sa bouche le liquide noir au goût terreux il regagna quel que force et poursuivie sa chasse. Il ne ressentait quasiment pas le froid qui d'habitude lui mordait la chair et lui crispé le visage de douleur à chaque bourrasque, non ici cette comme si la température était douce il ressentait une forte chaleur dans son ventre qui se propager doucement dans tout son corps. Il se fatigué bien plus vite pars contre que d'habitude manquait-il d'endurance ? Est-ce que se séjours à l’Académie l'aurait-il affaiblie ? Non cette autre chose qui l’épuisé à se points, il ne savait qu'elle était cette chose, mais il devait devenir bien plus endurant qu’elle.

Le Soleil avait continuait son chemin il était biens tôt la fin d'après-midi, le chasseur continuait sans relâche sa traque du lévrier. C'est alors que au loin il aperçu le lièvre qui mangé des racines de plantes regardant nerveusement tous autour de lui, s’il percevait l'odeur de loup il prendrait sûrement la fuite. Il y avait la visiblement un bon pied de plante le lièvre en avait donc pour un petit moment, se déplacent furtivement Aren allez lui tendre un piège. Prenant de longues expirations et fermant son œil il avait ses mains vers le sol, ainsi il commença à imitait les gestes comme s’il creusait dans le celui-si la neige se soulevant et ses déplacent avec les mouvements de main d’Aren
.
Après avoir fais une bonne fosse et vérifier que le lièvre était toujours la , il regarda une dernière fois la fosse et en se relevant à moitie il brandit ses poings devant lui les fermant fermement . L'eau suivie les mouvement qu'avait fait son chef d'orchestre et forma de grossiers piques de glace, il recouvrit le tous avec une fine couche de glace utilisant de nouveau sa maitrise pour cela. La sueur perlée doucement sur le visage d’Aren qui contournée sa proie celle-si ne se cristalliser pas ce qui était assez étonnant, le chasseur l'avait lui-même remarque et commencés à se posais des questions... Il n'était pas encore temps pour cela sa proie était juste la et il se devait de la capturé pour manger se soir.

Cette l'heure de vérité, il s'approchait doucement prêt-à lancé avec sa maîtrise des pics de glace sur l'animal... il s'était postait la où le vent porterait son odeur vers le lièvre pour le faire fuir.

[Ermite des vagues]

Le lièvre-kangourou aimait ce coin. D'une parce qu'il y avait toujours des baies même tard dans la saison froide ; et de l'autre, parce qu'elles avaient une goût minéral dont il raffolait tout particulièrement. Les graines croquaient sous ses molaires tandis qu'un jus visqueux et rouge foncé, presque noir, gouttait de ses babines mouchetées.

Le vent tourna subitement. Il se releva, sentant l'odeur d'un prédateur. L'image terrifiante d'une bête énorme pourvue de crocs apparut dans son esprit.

Fuir. Il bondit dans la direction opposé du vent.

Fuir ou mourir. Voilà à quoi se résumait les choix qui se présentaient aux animaux dans la nature. Et loin d'être lâche, la fuite était souvent synonyme de survie potentielle. Car, un affrontement, surtout quand on n'était pas équipé pour et si on en ressortait vivant, pouvait tout aussi bien mener à la mort. Les blessures sans soin étaient mortelles.

Il était humain d'avoir des considérations telles que l'honneur, la lâcheté, le courage et l'altruisme. Cela n'existait pas dans la nature. Rien n'était gratuit, tout se payait. Mais cela trouvait un certain équilibre qui faisait que cela marchait.

Fuir. Il bondit en avant et s'élança dans une des nombreuses courses effrénées qu'il menait contre la mort et qu'il avait remporté. Il gambadait déjà dans les plaines verdoyantes de la Toundra de l’Été suivant. Il broutait l'herbe maigre mais tendre et délicieuse. Il y avait mené ses petits, déjà grands mais pas encore autonomes.

Sa vision se troubla tandis qu'il rêvait de cette herbe tendre qu'il ne goûterait jamais plus.

Fuir. C'était la clé de la survie, mais face à l'intellect d'un humain capable d'anticiper les mouvements d'un animal, elle ne faisait plus que partie des composantes d'un stratagème qui l'amènerait inexorablement vers la mort.

Mourir. Il eut encore quelques spasmes, puis il s'immobilisa. Sa respiration ne projetait plus de vapeur dans l'air. Son coeur cessa de battre. Il n'aurait plus de petits. Il ne répandrait plus la vie.

En vérité, il permettrait à un autre de continuer à vivre. Et d'une certaine manière, il vivrait à travers lui. Cet homme se nourrirait de sa chair, en tirerait force, chaleur et vie.

[Yukiko]

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Le chasseur s’approcher du gibier qu’il venait de tuer, ses pats était étouffer pars la neige il avait le regard mélancolique. Il se pencha pour récupérer l’animal qu’il venait de tuer le tenant pars la peau du cou, il ferma un instant les yeux et murmura quel que mots :

-Je te remercie Grande Toundra pour l’enfant que tu m’as laissé, avec le quel je pourrais survivre.

Ses quel que mots s'envolai avec la brise légère qui venais souffler la toundra, il referma le piège pour blesse d’autres gibiers inutilement. Si on tuer cette pour ce nourrir et non pour le plaisir telle était la règle de la chasse, Aren repris son chemin il devait maintenant comme il le savait trouver un endroit propice pour construire un abri pour la nuit. Et avec le peux de matériel qu’il avait s’il ne trouve pas rapidement avec le soleil qui ce couché il allait mourir de froid, les températures environnantes les -30° elles descendront encore plus si le vent se lève ou encore ce qui arrivera inévitablement que le soleil se couche.
Le chasseur avait attaché son gibier à l’abri sous son poncho accrocher dans son dos avec des lanières de cuire, il avançait dans la neige avec une grande facilité comme si pour lui cela n’est pas un inconvénient. Il connaissait ses limites et qui plus est savais que s’il utiliser toutes les calories qu’il avait encore il ne tiendrait longtemps, décidant de s’arrête avant la tomber de la nuit il scruta le paysage vallonné pars quel que montagne de glace. Lui se trouvais en pleine plaine tous ce qu’il pouvait faire pour ce crée un abri était de creuser, il sera comme cela protéger d’éventuelles attaques et sera au chaud.
Sa maîtrise de l’eau commençait à lui apparaître naturelle ou plutôt complémentaires avec ses aptitudes, s’il aurait son matériel il aurait sûrement creusé avec une pelle et se serais réchauffer avec un feu allumé à l’aide de pierre à amadou et quel que branche et racine. Mais voilà sans tous cela il n’avait que sa maîtrise, seulement il lui paru une idée qui sembla toute naturel. Le chasseur commença telle un lièvre à creuse un trou il s’aida avec sa maîtrise pour allez plus vite et ne pas se mouiller trop les mains, il creusa donc un tunnel d’un peux moins de 3m de profondeur juste assez large pour le faire passé. Il prit une courte pose et reprit doucement ses forces, il tenta pendant sa pose de faire bouillir de l’eau sans que celle si ne s’évapore. Évidement ses efforts fus vain il n’arrive pas à faire en sorte que l’eau se réchauffe et garde sa forme liquide.

« Mmmh il me manque quel que chose pour que je puisse y arrivé, il me faudra de l’eau en toute évidence si je veux survivre pour les jours à venir. Je dois tous d’abord termine mon abri pour la nuit la lune commence déjà à se montrait et le soleil lui part dormir. »

Il reprit sa tache et ce crée un terrier assez grand pour qui se couche et puisse ce tenir assis, il avait de l’air qui passe pars le tunnel et le terrier qui avait était creuser lui conserver la chaleur car l’entrais se trouvais en bas. Telle un abri construit pars des castors cette l’idée qui était venue à l’esprit de Aren, une fois celui si installer il commença à cuisiner son gibier en premier lieux il devait enlevait la peau seule souci sans couteau cette difficile.

« Je pourrais crée une lame de glace … le seul soucie est qu’il faut qu’elle soit assez fine pour être tranchante comme une lame de rasoir… »

Méditant sur la question il commença à s'entraîne dans son terrier à faire des lames de glace, les premiers essais fur de cuisant échec ses lames n’était en rien droite et fine. Toutes grossière et avec une forme pour le moins gracieuse, seul le faite qu’elle soi tranchante était le point positive seulement même si était tranchante cela n’était d’aucun utilité sous la forme qu’elles étaient ; c'est-à-dire de grossières lames. Il fini pars faire une lame qui n’était pas des plus belles mais en la travaillant sur un autre bloc de glace celle si s’affina pour devenir un véritable rasoir de glace, l’admirant oh touché de sa main. Il faisait maintenant nuit noire dans le petit abri mais ses yeux cette habituer à celui si, il y avait une faible lueur faite avec les reflets que faisait la lune sur la neige qui ce glacer avec les températures qui descendait de plus en plus.

Il attrapa le lièvre kangourou et comment ça à le dépiautait, ce qui n’était pas une tache facile dans le noir quasiment complaît. Malgré le faite que Aren sois habituer à ne plus utiliser ses yeux la tache ici était toute aux autres, il se coupa à plusieurs reprise et du se soigné ses coupures pour ne pas attiré prédateur qui roderais. Une foi le lièvre à peux prêt dépiauter Aren comment ça à tranché des morceaux de celui si, enlèvent tous les organes et autre viande qui ne se manger pas et en extraire la graisse qu’il garda dans une gourde improviser avec les morceaux de peau. Gelant dans ses mains la viande qu’il n’avait besoin il garda un dernier morceau qu’il s’apprêtait à manger.

« Je vais voir si je peux le faire bouillir dans de l’eau…en espèrent y arriver. »

Aren avait enlevait son poncho qu’il avait fixé à l’entrait pour filtrais les odeurs, ne laissant seulement l’odeur qui poncho. Il creusa trous assez grand pour y placer sa viande et faisant de légers mouvements de haut en bas avec ses poignées main ouverte, le chasseur se concentré sur l'aspect de l’eau et de sa forme. Visualisant dans sa tête le trou il voulait que la glace ce transforment en eau et aille Jusqu’à' à l’ébullition pour pouvoir ainsi manger sa viande cuite.
Après cela il s’endormira probablement jusqu’au petit matin, enfin si tous ces passes bien.

[Ermite des vagues]

Le lendemain, Aren mit un certain temps à se souvenir d'où il se trouvait. Déjà parce que tout lui semblait blanc malgré le fait qu'il soit plongé dans la pénombre. En se levant, il réalisa qu'il était transi de froid et courbaturé. Le bout de ses doigts et de ses pieds était engourdi. Un peu d'exercice lui ferait du bien.

Il alla inspecter ses réserves qu'il avait mis dans un "congèle". Il les sortit pour les inspecter puis en pensant en récupérer une qui s'était enfouie sous la neige, il découvrit bien vite que ce qu'il prit ensuite pour une pierre était un casque. En métal. Pas du tout le genre correspondant à celui des tribus de l'eau. Le métal capte la chaleur et la disperse, en étant trop lourd par rapport à l'avantage défensif qu'il peut procurer.

Intrigué, Aren continua sa fouille et déterra peu à peu le reste d'un cadavre d'un ancien soldat de la Nation du Feu. Il le sait parce qu'il reconnaît la facture mais le style est trop ancien par rapport à l'actuel. Peut-être est-il là depuis près de deux siècles ? En tout cas, tu sais comment il est mort. Un trou ressemblant à celui laissé par un épieu lui perfore le thorax de part en part. Comme il n'y a plus trace de l'arme du crime, tu en déduis de la même manière qu'un maître de l'eau a dû y être pour quelque chose.

Tu souris... A sa ceinture, il y a toujours un vieux poignard rangé dans son étui. Ce sera utile pour racler le cuir de l'animal. Dans sa bourse, il y avait des silex et un peu d'amadou mais ce dernier est humide. La chance semble te sourire. Mais l'envie de chercher plus loin te passe vite. Tu as probablement élu domicile au-dessus d'un charnier de la dernière guerre.

Il faudrait du bois, et une cheminée parce que sinon tu finirais vite par suffoquer à cause de la fumée. Il était donc grand temps de sortir de sa tanière. Or, il avait beaucoup neigé durant la nuit et le toit de ton abri semblait en être recouvert de manière fort peu commode.

Au loin, tu peux entendre un hurlement. Puis un autre. Et encore un autre. Suivis de plein d'autres que tu ne distingues plus vraiment bien. La distance devait jouer.

Sortir ? Ne pas sortir ? Telle est la question ?

[Yukiko]

TOUNDRA

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Il venait de faire une découverte des plus étranges, ce cadavre allez lui facilité grandement les choses lui permettant de gagner quel que jours sur son planning. Tous n’étaient pas utiles comme pars exemple l’amadou qui n’était plus utilisable sûrement depuis longtemps, en revanche le couteau qui c’était bien conserver et qui était fais d’acier avec ce si les pierres de silex constituer les éléments parfaits pour crée du feu. Seulement, voilà pendant sa découverte dont il n’éprouva aucun quelle conque dégoût, il avait plus fréquenté dans sa vie des humains morts que vivant… ce n’était pas la première foi qu’il côtoyait des cadavres et cela ne l’avait jamais déranger. Un bruit singulier vînt le déranger celui d’un Loup, Aren le savait les loups d’ici n’étaient pas les petit que l’on pouvait trouver dans la Nation du feu… non ce d’ici était des Loups-garous d’énormes bêtes, cette ce genre d’animale qu’il devait tuer pour pouvoir revenir à l’Académie. Le soucie était qu’un loup n’était jamais seul à moins d’êtres un solitaire, mais ici ce n’était pas cas il y avait plusieurs hurlements qui ce répondais et cela serais du suicide dit allez…

« Je vais devoir sortir rapidement d’ici maintenant que j’ai de quoi faire du feu ce soir je pourrais manger de la viande cuite et dormir au chaud, je dois maintenant faire en sorte que ses loups ne me poursuivent pas… »

Aren regarda le mort qui avait était conserver dans la neige et relâcha un léger soupire en refermant son œil.

« Enfin de compte un humain mort peux toujours servir… bonne appétit enfant de la Toundra. »

Il tira le corps en dehors de son abri Jusqu’à arrivais à l’entrée qui cette retrouvais recouvert de neige, il allait devoir faire vite s’il voulait survivre. Car si les loups le rattrapé cette fini pour lui, la meilleure manière était encore d’utiliser sa maîtrise cela allez lui faire un bon échauffement du matin pour ce réveiller. Il prit plusieurs profondes inspirations et expirations longues pour ce concentré fermant son œil par la même occasion, plaçant sa main contre la neige qui était au-dessus de sa tête.

« Je dois réussir à voir ma maîtrise qui se transporte dans tout mon corps, la ressentir et la véhiculer jusqu’à chaque une de mes extrémités. Re sentir cette chaleur qui me donne cette vigueur… Je peux la sentir dans mon bas ventre qui se diffuse doucement en moi, je dois accélérer le procédé et l’emmenait à son terme le plus vite. »

Aren commença à frappe avec force dans la neige transperçant la neige en enfonçant sont bras jusqu’à l’avant de celui, il continua avec acharnement à frappes la neige pour creuser un passage. Au fur et à mesure celui si ce refroidisse avec le froid de la neige et la manche commençait à s’imbiber d’eau. Le froid commençait lentement à venir planter ses crocs dans le bras du chasseur, ce qui fit réagir celui si en étirant quel que peux les traits de son visage son la douleur mâchoire serrer. Pour enfin faire ressortir toute cette douleur et cette envie de vivre qui commencer à ce faire grandement ressentir, il ne pouvait perdre son sang froid cela aurait était sa perte, mais il ce mit tous de même à accompagner ses coups d’un cries qui lui venait des tripes au plus profond de lui. À chaque frappe il pouvait sentir l’énergie, cette chaleur augmenter et qui lui procurait un tel soulagement.

-, yi, èr, san, si, wu, liu, qi, ba, jiu, shi*…
, yi, èr, san, si, wu, liu, qi, ba, jiu, shi…
, yi, èr, san, si, wu, liu, qi, ba, jiu, shi.!!

Aux derniers coups qu’il conta il crée un trou de la taille d’un bon trou d’arbres en réduisant la neige en vapeur qui ce volatilisa dans l’aire, Aren ne tarda pas à s’extirper de la avec le cadavre qui traîna un peux plus loin. Il prépara sa diversion le plus vite qu’il pouvait en enlevant les habilles du cadavre et l’entaillant aux artères, si du sang était restais dans ce corps son odeur allez attirer les loups. Il fini pars laisser quel que morceau de lièvre pour s’assurer de satisfaire tous les goûts, maintenant il devait filait et à toute vitesse il savait que ses bêtes couraient facilement à 20 fouler à l’heur si ce n’était plus. Il devait donc quitter les lieux au plus vite s’il ne voulait pas mourir, il ce mit alors à courir à rythme régulier pour ne pas ce fatigué, car il était parti pour plus de deux heures de cours. Cette la distance minimum qu’il devait mètres entre eux et la meut qui ce rapprocher, mettant en bouche un morceau froid de viande dans sa bouche pour regagner quel que force avant de ne plus avoir de force quant il sera en route.

Quand il commençât à partir le soleil venait éclairer de sa splendide lumière la blanche et pure Toundra qui venait d’être immaculé par le rouge pourpre du sang …. Le casque du soldat scintillé aux éclats de celui si et le vent souffler une légère brise. La condensation créée par la chaleur de l’air qui sortait de la bouche d’Aren venait créée de la fine vapeur chaude. Et c’est le regard persan qu’il partie dans la direction opposer à celui des loups, si ceux si voulaient le poursuivre il aurait sûrement assez de temps avec la cour qu’il commençait pour préparer un piège ou peux êtres mieux préparer sa fuite…

*1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9,10 en chinois

[Ermite des vagues]

Tu cours. Tu cours. Encore et toujours.

L'air glacial te brûle la gorge, tu entends au loin des hurlements de bête. Cela sonne comme le début de la chasse à tes oreilles. Et malgré tes longues années d'expérience passées dans la toundra, tu sens une frisson parcourir ton dos, une sueur glacée couler sur ton front et ta bouche s'assécher. Plus rapide et plus endurant qu'une créature conçue pour traquer et tuer impitoyablement tout ce qui ne lui est pas supérieure dans ces deux domaines ? Tu as bien conscience que tu ne l'es pas, mais autant s'arrêter, s'asseoir et attendre la mort sereinement plutôt que de s'épuiser, non ?

Puis, ton ouïe s'affinant par le lourd silence ambiant, interrompu seulement par ta respiration rauque, tu crois entendre quelque chose. Des hurlements ? Oui, ça, tu les entends très bien ? Mais il y a quelque chose d'étrange. Tu crois distinguer d'autres... cris ? Humains ? Des bruits de lutte, des hurlements de douleur. Humains et animaux.

En te retournant, tu crois distinguer au loin un rassemblement où des formes s'agitent et s'attaquent mutuellement. Puis un bruit fait irruption dans ton dos, tu n'as pas le temps de te préoccuper de sa provenance que tu es projeté en avant sur plusieurs mètres avant de t'écraser durement au sol.

Tu te rends compte que c'est de la glace qui t'a heurté. Tu es sonné par le choc, ta vue est troublée, mais le temps qu'elle revienne à la normale, tu distingues des hommes et des femmes tout en noir, comme sortis de nulle part. LE seul qui n'est pas encapuchonné est un homme au regard dur.

-Tuez-le.

La sentence est immédiate et sans appelle. Tel le loup qui jugea l'agneau.
Une femme se jette sur toi, dagues à la main.

Vas-tu laisser la galanterie dicter ta conduite ou te battre pour ta vie en amochant un joli minois ?

[Yukiko]

TOUNDRA

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Aren courait avec de bonne foulait pour avancer au maximum, gardent un rythme pour ne pas s’essouffler trop vite. Mais bien sûr les cris ce rapprocher trop et les conditions météo logiques ce dégrader au fur et à mesure, ce qu’y n’arranger pas les choses. La gorge devenait sèche et le goût du sang dans la bouche s’installer petit à petit, ralentissant doucement le pas jusqu’à marché ou il prêtât attention aux bruis de loup. Une chose avait changé, les bruis n’était pas les même on croirait entendre des bruis de lutte….des Cries humaines.

« Je n’avais pas entendu ses chasseurs avant, d’où vient-il comme ça…Je ne peux continuait le temps ce dégrade trop, je vais continuais en marchant rapidement sa sera toujours sa de gagner et je pourrais ainsi récupérer, mais force en cas d’attaque. »

Percevant de son unique œil des formes effectivement humaines, les loups l’avaient bien rattrapé apparemment en même il le savait lui-même face à ce genre de créature en terme de cours il n’avait aucune chance. Son souffle roc qui provoqué de la condensation résonner dans sa tête, ses muscles étaient brûlant pour temps une sueur froide lui parcourir le corps. Oh moment même on celle si descendit le long de la nuque Aren entendit un pas étouffer pars la neige, et il ce vi projeter en avant sur plusieurs mètres avant de percuter la neige.

Un brui sourd se fessait entendre dans la tête du chasseur pendant qu’il ce retournée, va vue était trouble et il avait du mal à entendre correctement. Il réussit à distinguer un groupe de personnes toutes vêtues de noir, Aren ni voyais que la des grosses taches noires a forme humaine, la une d’entre elles s’approcha et une voie qui émaner du seul homme à qui il pouvait voir le visage prononça sa sentence. Encore confus pars le choque Aren ne compris pas tout de suite et sa vue ne venais que de revenir, et pour voir quoi ? Une femme qui se jette sur lui avec une dague à la main, celle si refléter à la lumière du soleil.

Les battements de son cœur s’accéléra, son iris ce dilata sous l’effet de surprise et son souffle ce coupa un court instant avant de reprendre naturellement un rythme plus calme. La chaleur envahissait son corps et fessait devenir moite ses mains, s’entend la force lui revenir il n’attendit pas longtemps pour réagir. Ce projetant sur son épaule droite pour faire une roulade sur celle et prenant ainsi de la vitesse il ce releva en s’appuyant sur ses mains, une fois sur ses deux pied il exécuta un mouliné des hanches accompagner de ses bras qui venait comme donnes des coups de haut en bas en uppercut. Comme s’il avait un adversaire en face de lui toute sa force venait de ses appui stable qui remontait jusqu’au muscle de son dos, l’eau avait bien entendu suivi ses coups et avait formé des piques de glace visant à embrocher la femme.

En restait à cela aurait était une stupide idée il fallait agir au plus vite, changer d’idée et trouvais l’opportunité. D’un déplacement fluide accompagner des deux mains en garde et repartant du bas pour une fois le déplacement qui consisté à faire un rapidement mouvement sur lui-même arrivait avec le tranchant des mains au niveau du tors voulant ainsi crée une onde d’eau qui dans l’idée sois plus tranchante qu’une lame. Bien sûr, entre la pensé et le résulta final il y a parfois quel que différence ainsi après avoir exécutait son mouvement de rotation, il n’était plus cas quel que pas de son adversaire et ce tenait maintenant en position défensive.

« Voila pour quoi je préfère les humain quant ils sont mort… au moins il ne t’attaque pas, je ne sais pas ce que me veule ses personne mais il en doit de ma survie et je ferrais ce qu’il faut pour les mètres hors d’état de nuire. »

[Ermite des vagues]

La sourcière s'empala sur des pics de glace. Elle n'eut même pas le temps d'exprimer sa douleur que le froid s'emparait déjà d'elle. Elle s'effondra comme une poupée de chiffon.
Ah, c'est balot quand on maîtrise pas encore très très bien sa maîtrise justement.
Personne ne sembla s'en émouvoir.

-Il a décidément raison sur toute la ligne. Quand vous voulez que quelque chose soit fait, faîtes-le vous-même.

L'homme au visage découvert s'empara de l'épée qu'il portait dans son dos. Il fondit sur toi, tandis que les autres sourciers restaient immobiles, à regarder leur chef exécuter sa propre sentence.

Au loin, des loups et des hommes s’entre-tuent. Ils se rapprochent, les loups bien sûr ; parce que les hommes ne sont pas de taille face à une meute au grand complet. Et il y en a un qui est juste énorme. Tu le discernes du coin de l'oeil, même à cette distance. Tu n'oses estimer sa taille réelle s'il se trouvait face à toi.

Un sillon chaud et piquant sur ton épaule te ramène à la réalité.

-Eh bien, quoi ? Je ne présente pas assez d'intérêt à tes yeux ? Tu as tort, c'est une question de vie ou de mort. Littéralement !

Tu esquives, mais il vient de réduire en lambeaux ton poncho. Ce n'est pas un amateur.

Alors mourir tout de suite ou mourir maintenant ?

[Yukiko]

TOUNDRA

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La femme c’était fais empaler pars le pique de glace ce qui n’avait pas ému grandement Aren , il n’aimer pas tuer, mais si telle était la seule solution alors il n’hésiterait pas. Le brui ce fessait grandissante derrière et des formes de loups apparaissait encore plus clairement que la dernière fois.

« Il va vraiment falloir que j’agisse vite sinon moi et ses hommes allons mourir, enfin moi en particulier. »

Suite à cette courte pensé l’homme qui avait commençait à s’approche avait pris appuis sur la neige avait fait une percé en avant venant trancher l’épaule du chasseur qui esquiva au dernier moment ce qui lui sauva la vie. Il reprit rapidement ses esprits il ne devait ne pas perdre pied et riposte au plus vite.

« Je n’ai eu qu’à peine le temps de le voir arrivé… il n’est pas simplement un bandit loin de là, je pense, plutôt qu’il est entraîné. »

Ne répondent pas aux paroles de l’homme il exécuta sa contre-attaque, prenant appui il s’avança rapidement sur l’homme un bras contre lui, car celui si était blessé et lui fessant plutôt encore bien mal pour faire quoi c’est. Prenant appui à proximité de l’homme à nouveau pour faire un pivot et pouvoir le contourner sur le côté, frappant dans le même mouvement avec le couteau qu’il sortit de son dos visant le flan de l’homme. Quant Aren avait pris appui il avait fait un mouvement de poigner pour faire en sorte que la glace sous les appuie de l’homme ne sois plus si dur que cela, bien sûr il ne pouvait savoir si sont stratagème allez parfaitement marche pour ainsi immobiliser son adversaire.

Une fois dans son dos il enlaça la tête de l’homme en appuie simultanément sur les nerfs derrière le genou gauche, il attrapa l’homme par le menton en le tirant en arrière pour ainsi le faire chuter sur le deuxième genou et lui briser la nuque pars la même occasion ..