La mission de reconnaissance

[Le Conteur Blanc]

[HRP: Du coup, je devance un peu Alice et Shurat]

*Le healeur était toujours au soin sur Hartmann alors que Draven s'approchait.*

-Je pense qu'on aura bien d'autre chose à lui demander ...

*Répond la femme calmement, sans la moindre animosité. Alice vaque à ses occupations, alors que la porte s'ouvre et que Yiwang s'écroule. Tout de suite, le même bran-le-bas s'installe.*

-Vite ! Installez-le sur une table !

-On va lui procurer les premiers soins

*Celui qui semble assumer l'autorité du groupe donne ses ordres et mène ses hommes tel un chef d'orchestre. Alors que Yiwang est très rapidement sur une table, un autre agent est à son chevet en train de l'ausculter de manière plus classique.*

-Je vais m'en occuper...

-Non ! La priorité est à l'officier, il me le faut sur ses jambes !

*Shen est rapidement installé sur un fauteuil et on lui propose le nécessaire pour aller mieux. Draven est toujours immobile sur sa chaise et peut observer le manège de tout à l'heure de l'extérieur.
Alice de même.

La porte se referme immédiatement, alors que d'autres hommes se placent aux fenêtres pour surveiller les alentours.

Un vrai petit bunker protégé par des gardes d'élites. Tout le monde semblait en sécurité. On s'occupait d'eux, on les dorlotait et surtout ... On leur foutait la paix. Pas de questions étranges ou autre. Il semblerait que tout ça soit réservé à Hartman... Le premier chef d'équipe (Celui qui a ramené Draven et Alice et qui semble être le sur-chef) s'approche du second chef (Celui qui a ramené Yiwang et Shen et qui semble un peu moins chef quand même ... Compliqué leur hiérarchie vu de loin alors qu'il parle pas à voix haute) et le consulte à voix basse. Alice qui laisse trainailler ses oreilles peut entendre qu'on parle d'une demoiselle, et qu'on se demande bien où est-ce qu'elle est et qu'il faudrait peut-être songer à lui envoyer une équipe de secours juste au cas où.

Ah et sinon y en a deux qui sont pas revenu d'une excursion en forêt et ça inquiète aussi, mais flûte on peut pas être partout.

Sinon, malgré le remue-ménage ambiant, ceux qui ont encore les yeux en face des trous peuvent compter un peu plus d'une quinzaine d'homme et apparemment de femmes, même si elles le cachent bien les bougresses.*

[Alice Zara]

Zara s'avançait donc vers la porte, bien décidée à faire autre chose que dormir et manger. Elle remarqua que personne ne lui avait demandé ce qu'elle faisait alors qu'elle se déplaçait dans la pièce. On ne leur avait toujours pas posé de questions, sur leurs origines ou le but de leur venue en ce lieu. Le mensonge qu'elle avait proféré quelques heures plus tôt n'avait pas eu l'air de les intéresser plus que ça, au final. Elle se demanda un instant si c'était la vérité que voulaient ces gens.
Alors qu'elle allait poser sa main sur la poignet de la porte, elle entendit un cri dans son dos. Hartman.

- LES ARBRES ! ATTENTION AUX ARBRES !

Puis le lieutenant s'effondra à nouveau. Au moins, il était vivant, songea la jeune femme. Mais elle pensa qu'il serait dommage que le gradé de la Nation du Feu perde l'esprit. C'était un homme qui lui avait paru compétent, enfin si l'on omettait le fait que ses machines volantes avaient complètement plantées.
La guérisseuse s'occupant de l'homme annonça qu'elle aurait besoin de temps, et on lui répondit de le prendre.
Zara saisit qu'ils étaient là pour encore un moment.

- Ils reviennent avec les deux autre fils du feu ! s'exclama l'un des hommes près de la fenêtre.

La jeune femme comprit qu'il s'agissait sans doute du Colosse Bleu et de l'Armure Rouge, soit respectivement Shen et Yiwang, si elle se souvenait bien. Ou peut-être Yen et Shiwang ? Bref. Des personnes ayant peut-être quelques réponses, ou des informations sur l'île.

La porte s'ouvrit brusquement, passant à quelques centimètres du visage de la jeune femme. Et l'Armure Rouge apparut dans l'encadrement. Il resta quelques instants debout, avant de s'effondrer. Zara eut à peine le temps d'esquisser un geste vers le corps que le chef des agents en noir donnait des ordres. L'Armure Rouge fut installé à côté du lieutenant, un autre guérisseur s'occupant de son cas, et le Colosse Bleu installé dans les mêmes fauteuils que ceux dans lesquels Zara et Draven avaient étés placés.

Immédiatement, des agents se postèrent aux abords de chaque fenêtre, et près de la porte.
Autant pour la petite sortie de Zara.
Elle continua de marcher à travers la pièce, cherchant une occupation, les agents impassibles et masqués n'étant pas vraiment engageant. Néanmoins, personne ne leur avait fait de mal. Au contraire, ils semblaient assurer leur protection. Et spécialement celle d'Hartman, songea-t-elle en regardant la guérisseuse penchée sur le lieutenant de l'autre coté de la pièce. Normal, c'était lui qui avait les réponses.
Les deux chefs se rapprochèrent l'un de l'autre. Ils s'inquiétaient à propos d'une jeune femme, toujours pas revenue, et songeaient à lui envoyer une équipe de secours. Juste au cas où..
Ils avaient l'air plus inquiet pour la fille que pour les deux agents perdus en forêt. Visiblement, elle était importante.

Zara réfléchit. Une bande d'agents bizarres venus des tribus de l'Eau, experts de leur maîtrise, une quinzaine à vue d'oeil. Une île censée avoir disparue depuis plusieurs dizaines d'années. Une fille très importante absente depuis quelques heures en visitant les lieux, dont ils s’inquiétaient rapidement...
Peut-être était-ce encore une fois son imagination, mais bon. Elle n'avait rien à perdre.
Zara s'approcha des deux hommes :

- Excusez moi, je n'ai pas pu m'empêcher d'écouter votre conversation. Je ne suis peut-être pas aussi expérimentée que vous, mais j'ai cru comprendre que vous vous inquiétez pour.. L'Avatar Korra... c'est exact ? (elle haussa les épaules) Pourrais-je être utile à quelque chose ?

Qui ne tente rien n'a rien, disait son oncle du pôle Sud.
Elle leur offrit son sourire ©prête à rendre service.
Et attendait de se faire bien gentiment remballer.

[Le Conteur Blanc]

ALICE

*Les hommes s'arrêtent de parler quand Alice arrive à leur contact. Ils tournent lentement vers elle. Les hommes se regardent avant de retourner leur attention sur la jeune fille.*

-Qu'avez-vous en tête ?

[Alice Zara]

Zara resta souriante, ne laissant pas paraître sa surprise. Ainsi, son intuition s'était révélée exacte, il s'agissait bien de l'Avatar Korra qui avait disparue.
Il y avait quelques heures encore, elle était à Hosho, chez elle, menant une vie atrocement banale. Elle se retrouvait désormais au milieu d'une île disparue, ou censée l'être, qui l'était à moitié, avec des agents chargés de la protection d'un Avatar qui avait peut-être disparu. Elle y était grâce à une machine volante défectueuse et une montée clandestine à bord d'un bateau militaire.
Pas mal. Mais son imagination pouvait encore faire mieux. Il fallait qu'elle en dépasse les limites.

Les deux chefs devaient vraiment être stressés, pour accepter de l'écouter, malgré son manque évident d'expérience et leur supériorité en ce qui concernait les maîtrises.
Alix désigna du menton le maëlstrom qu'on distinguait à travers une fenêtre :

- Si j'étais l'Avatar, j'aimerais aller voir de quoi il s'agit.

Elle haussa les épaules.

- Je sais que notre époque est loin de ce qu'on appelle maintenant ''légendes'', avec toutes cette technologie et cette rationalité scientifique, mais on m'a souvent conté les histoires du lien entre l'Avatar et les Esprits. Et ça, fit-elle en pointant du doigt le tourbillon d'éléments, ça ressemble à un truc d'Esprits.

Tous répétaient sans cesse qu'il ne s'agissait que d'histoire d'un autre temps. Le monde était à un tournant, les anciennes traditions étaient peu à peu abandonnées, faisant place à au rationalisme scientifique et concret. On commençait à se dire que tout était logique, et bientôt, Zara imaginait un monde régit par la technologie. On racontait que c'était déjà le cas à Republic City, la plus moderne des villes.
Que faire des Esprits dans un pareil univers ? Déjà on disait qu'il ne s'agissait que de légendes pour enfants et certaines personnes ne voyaient en l'avatar qu'une simple célébrité aux capacités hors du commun, mais qui serait bientôt obsolète, dépassée par les nouvelles technologies.
Zara secoua la tête. L'avatar était le héros de son monde, l'enfant qui grandit pour imposer sa paix. Un exemple vivant que les récits peuvent être vrais. Un pont entre l'imaginaire et le réel. Donc un pont entre les Esprits et les humains aussi.
Voilà quelle était la logique de la jeune femme.

Elle se remémora les légendes, qu'on lui avait si souvent racontées, qu'elle connaissait par coeur, nourrissant son imaginaire.

- Enfin, je peux me tromper, mais à mon avis, l'Avatar est là bas. Et si elle est dans le monde des Esprits, elle ne devrait pas en bouger...

...afin que sa conscience retrouve son corps, acheva-t-elle par la pensée. C'était peut-être un peu trop. Elle connaissait les légendes, dans son imaginaire elles étaient parfaitement crédible. Mais dans le réel...
Et puis, elle n'était spécialiste en comportementalisme et histoire des Avatars. Mais si c'était un récit, alors c'était ainsi que les choses se dérouleraient.

[Le Conteur Blanc]

ALICE

*Les hommes fixent en silence la jeune fille et n'émette aucun commentaire. Quand elle eut terminée.*

-Elle est déjà là-bas. C'est le but de notre présence ici.

-Elle est censée avec le maitre, mais elle n'était pas censée y rester si longtemps.

-Le soucis étant que nous ne pouvons vous laisser sans surveillance. Votre sécurité est une de nos priorités.

*Un troisième s'approche.*

-Maitre Hielo est avec elle, il y a peu de risque qu'il lui arrive quelque chose, soyons juste patient.

[Alice Zara]

Les deux chefs en noir attendirent patiemment qu'elle ait fini de parler, pour répondre laconiquement :

- Elle est déjà là-bas. C'est le but de notre présence ici.

- Elle est censée avec le maître, mais elle n'était pas censée y rester si longtemps.

- Le soucis étant que nous ne pouvons vous laisser sans surveillance. Votre sécurité est une de nos priorités.

Zara acquiesça pensivement, tendis qu'un autre agent en noir s'approchait pour ajouter :

- Maitre Hielo est avec elle, il y a peu de risque qu'il lui arrive quelque chose, soyons juste patient.

La jeune femme répondit simplement, haussant les épaules :

- D'accord. C'est vous les spécialistes.

Puis elle s'éloigna vers l'endroit où les deux guérisseurs veillaient sur Hartman et l'Armure Rouge. Draven, assit près d'eux, semblait perdu dans ses pensées.
Zara s'assit dans l'un des fauteuils. Elle sortit son carnet, admira la petite feuille blanche qui se profilait devant elle.
On veillait sur eux, ils était relativement en sécurité, et ne pouvaient se rendre utile de quelconque manière, apparemment.
Elle tapota de son crayon la page vierge. Réunit dans son esprit les questions, les multiples interrogations que suscitaient les nouvelles réponses que lui avaient fournis les deux chefs, et commença à écrire. Une histoire qui n'avaient pas vraiment de rapport avec le réel. Un monde totalement différent, un contexte des plus sombres. Pourtant, on pouvait y apercevoir quelques touches, quelques couleurs, qui pouvaient s'apparenter, de loin, à ce que Zara avait vécu ces dernières heures. La fiction dépasserait toujours le réel, c'était un fait, pensa la jeune femme.
En attendant que quelque chose se produise, elle continua a écrire en silence, jetant parfois un coup d'oeil aux guérisseurs et aux blessés, voir si l'un d'eux se réveillait.

[Shurat]

Shen refusa poliment l'aide qu'on lui proposa a part un peux de nourriture et de l'eau.

-Je m'en tirerai avec seulement quelques contusions

Rapidement ne voulant pas se mettre dans les pattes des étrangers et voulant se ressourcer, il s'isola dehors profitant du promontoire pour observer la péninsule, enfin ce qu'il en restait.

[Conseiller du Feu]

*Et voilà qu'une nouvelle fois, un homme se redresse violemment. Mais cette fois, point de cri, juste une main portée à la tête. La sobriété à du bon, parfois.*

Qu'est-ce que...

*Un regard autour de lui, bref, lui fait prendre conscience qu'ils sont loin d'être seuls. Et encore moins au plein milieu de la forêt dans laquelle ils se sont écrasés... Autre point important, vu la tenue des gus qui les entourent, tout ce petit monde ne vient pas de la Nation du Feu.*

Pffff (oui, c'est un soupir)

[Le Conteur Blanc]

*Shen voulut sortir, mais un des hommes l'en empêchent lui indiquant silencieusement un fauteuil. Il était impossible de sortir pour les fils du feu, ils devraient se contenter de l'hospitalité de leurs hôtes qui ne se démarquaient pas par la liste de leurs sujets de conversation.

C'est alors que Hartman se réveilla. Le chef du groupe se dirigea vers lui et lui murmura des mots doux à l'oreille. Sous bonne escorte, l'homme accompagne le chef suivit de deux autres agents dans une autre pièce.

Le contenu de leur entrevue ne sera pas dévoilé pour des raisons évidentes... Bah oui, l'intrigue voyons ! Aucun rapport avec le rythme de post de l'animation étrangère (Ouh un coup bas ... C'est tellement moi !)

Quoiqu'il en soit, le silence pèse sur le groupe pendant un bon petit quart d'heure, laissant les fils du feu se remettre un peu de leur état de choc, blessures et autres. Car oui, on prend soin d'eux vous dis-je !*

-Ils reviennent !

*S'exclame soudain une des vigies à la fenêtre. Cette simple déclaration provoque un émoi de soulagement relatif dans l'audience malgré leurs efforts de ne rien laisser transparaitre et ... Bah aussi la présence des masques (faut avouer que ça aide.

La porte s'ouvre alors, laissant apparaitre l'homme qui était venu en aide à Shen et Yiwang dans la cité en ruine. L'homme était grand, habillé de longs vêtements bleus. Il portait un Son beige et son jeune age contrastait avec ses cheveux d'un blanc immaculé. Dans ses bras, l'avatar.

Inconsciente.*

-Que lui ait-il arrivé ?

-Un endroit où la poser ! Vite !

-Ici Maitre Hielo !

*Wyrd refuse.*

-Non, elle n'est pas blessée, il lui faut un lit, des couvertures et de l'eau chaude ! Il se passe quelque chose d'anormal ! On se dépêche bon sang !

-Mais que s'est-il passé ?!

-Je ne sais pas ! Elle s'est effondrée tout à coup ! on dirait qu'elle cauchemarde !

-Vous pensez tout de même ...

-Je m'en cogne !

*Oubliant complètement les fils du feu, le groupe se réorganise rapidement, la porte est de nouveau fermé et Wyrd accompagné de quelques collègues disposent rapidement l'avatar à l'écart dans un petit cocon. Pendant que tous s'affairaient et que d'autres montaient gentiment la garde. Wyrd prit des nouvelles de son équipe.*

Je vois ... Je vais le laisser avec l'officier de la Nation du Feu. Je n'ai pas besoin de me présenter à lui.

*Wyrd se relève et s'adresse à la guérisseuse du groupe.*

-Reste près d'elle au cas où, mais prends le temps de te reposer.

*Il se retourne.*

-Je veux 3 hommes avec moi, il nous faut ratisser la forêt pour retrouver nos deux compagnons.

*La femme, toujours agenouillée près de l'avatar relève la tête vers Wyrd.*

-Vous feriez mieux de vous reposer, vous êtes exténué...

-Elle a raison, dans votre état vous ne feriez que vous mettre en danger !

-La place que nous tenons est forte, nous n'avons rien à craindre des attaques ici... Nos gars savent se débrouiller.

*Wyrd soupire en laissant apparaitre son désaccord. Il ne voulait pas l'admettre, mais les autres agents avaient raison sur toute la ligne. Il ne pouvait pas mettre en péril la sécurité de tout ce petit monde pour seulement deux personnes.*

-Tout ce qu'on peut espérer c'est qu'ils rentrent avant la nuit... Si ils ne sont pas rentrés d'ici là, on montera une équipe aux premières lueurs du soleil.

*Enlevant son chapeau et se frottant vigoureusement le front et les yeux, Wyrd pose une main sur la table.*

-Occupez-vous de Korra et prévenez-moi quand Kodo en aura terminé avec le fils du feu.

*Il se tourne vers la guérisseuse.*

-Il y a une pièce isolée ? J'aimerais être en paix...

-Oui, je vais vous y conduire.

*Elle se lève et ils quittent la pièce par une petite porte de bois. Le silence revient dans la pièce alors que la luminosité décline.*

-On n'allume pas de feu.

*Précise un des hommes en noir aux fils du feu au cas où ils auraient eu envie d'avoir un peu plus de lumière que ce que la pénombre a à offrir. Des couvertures supplémentaires sont fournies, parce que bon, il caille un peu quand même.*

[Micky]

* Depuis le début, cette mission n'est qu'un enchainement d’événements décousus diverses et variés.

Mais alors entre l'arrivée du reste du groupe dont ils avaient été séparés et la jeune femme qu'il entend appeler Avatar, le réveil d'Hartmann qui se voit confiner aussitôt. Les faits et gestes de chacun et les différentes interdictions. Derrière le voile de sa fatigue qu'il n'étanchera pas aussi facilement que ça, le jeune homme préfère rester silencieux. Alice est venue le rejoindre, elle griffonne, attitude qui semble familière chez elle. Shen lui, semble avoir besoin de rester seul.

A plus tard le soin de leur demander par ou ils en sont passés.

L'instant ne lui appartient pas, alors Draven ne se lève que pour veiller quelques minutes Yiwang qui n'a pas l'air blessé mais dans un état d’extrême fatigues aux premiers abords. Il fait le tour sans trop poser de questions, se dégourdissant les jambes avant de retourner s'assoir dans son fauteuil.

Mine de rien, on le suit des yeux, c'était ce qu'il voulait voir.
Les sentinelles empêcheront quiconque de rentrer, mais aussi de sortir. De loin, il n'avait pas vu Shen se faire renflouer.

Logique. Normal, il en aurait agit de même.
Il était surtout surpris qu'on ne les aient pas séparés ou privés de leurs armes et armures respectives. Un minimum de sécurité quoi !

Sur cette réflexion se superposa la performance des maitres de l'eau dans la forêt et si leurs pouvoirs pouvaient dissuader, il pensait plus que cette "confiance" induite plantait le cesser le feu de l'instant.

C'était noir a présent. Autant a l'intérieur qu'a l’extérieur.
Pas de feu, pas de lumière, pas de paroles. Draven plutôt que veiller préféra se rouler dans sa couverture et ne dormir que d'un œil. Le sommeil ne fut pas long a venir. Son corps tremblotait encore de l'effort qu'il avait eut a fournir.
Son esprit, lui, tentait de devancer ceux qui leur resterait a faire.*