Situé au centre d'un axe qui coupe la cité en deux, le palais est le siège du pouvoir royal depuis la fondation de Ba Sing Se. Un pouvoir qui a néanmoins grandement diminué depuis que le Roi Quan Ti a proclamé la fondation de la monarchie parlementaire il y a de ça 150 ans : certes, la reine commande les armées et dirige la politique étrangère du pays, mais sur tout le reste elle doit désormais travailler en bonne entente avec le parlement et le conseil établis à Omashu.
Quoi de neuf en 200 ans?
En apparences le palais semble figé dans le temps : gardes royaux sapés comme autrefois, jardins taillés selon la tradition, la légendaire salle du trône placée sous le regard vigilant des premiers maîtres de la terre...
Mais il ne s'agit là que d'un décorum destiné à faire peser le poids de l'histoire sur les épaules du visiteur : non content de proposer tout le confort moderne, il se murmure que les sous sols regorgent d'installations militaires dernier cri, notamment celles qui abritent fleuron de la flotte aérienne du royaume : le Shàn tóu.
Le Conseil des Cinq.
Encore aujourd’hui, cinq généraux du Royaume de la Terre disposent d'un centre de commandement au cœur du palais. Un lieu duquel ils dirigent les troupes sous la sphère d'influence de la capitale.
Seulement le conseil des Cinq n'est plus qu'une fraction des plus hautes instances de l'armée, 10 autres généraux étant répartis entre les deux cités majeures que sont Hai Oukoku et Omashu.