Fondée il y a 200 ans alors que la guerre civile touchait à sa fin, Hai Oukoku est le joyau du Royaume de la Terre : ouverte sur le monde, cette ville portuaire cosmopolite s'est sans peine imposée comme l'un des poumons économique du pays. Elle tire au maximum profit de la ligne ferroviaire la reliant avec Ba Sing Se et Republic City.
Moyens de transportsSuite à un nombre incalculables d'accidents, la circulation d'automobiles a purement et simplement été interdite. De fait, la ville a dû se doter d'un réseau de transports publiques conséquent : Le monorail occupe ainsi une place centrale, sans parler du canal fluvial artificiel qui charrie chaque jour des milliers de touristes.
Contexte généralSi on excepte les accusations de corruption de hauts fonctionnaires ainsi que les soucis de sécurité rencontrés dans certains recoins de la ville, Hai Oukoku est une cité vivante où il fait bon vivre, et ce d'autant plus que l'activité économique y est florissante.
Lieux importantsLa zone portuaire.Autrefois constituée d'un amas de vieilles bicoques entassées les une sur les autres, le quartier portuaire s'est transformé en une véritable zone industrielle.
Contexte : Vivante le jour, dangereuse la nuit. La zone portuaire ne dort jamais : ne vous aventurez surtout pas dans le coin lorsque le soleil n'est pas au beau fixe si vous n'êtes pas parés au danger.
La gare ferroviaireRénovée il y a quelques années afin de remplacer le fameux monorail de pierre qui reliait les principales villes du pays par des trains à vapeurs et des rails flambants neuf, la gare est avec la zone portuaire le point névralgique de Hai Oukoku.
Située a l'intersection du port et des deux quartiers historiques de la ville, c'est ici que sont déversées les tonnes de marchandises en provenance de Ba Sing Se et Republic City. A noter que les principaux centres commerciaux de la ville se trouvent dans les environs de cette dernière.
Contexte : une fourmilière où il vaut mieux faire gaffe à son portefeuille.
Les quartiers historiques : Manoshimi et Reion NaDe ce qui a précédé la grande Hai Oukoku, on sait finalement peu de choses : il existe cependant deux anciens quartiers de la ville où les habitants se transmettent de génération en génération les légendes de deux petits villages antérieurs à la fondation de la grande cité.
Le premier est
Manoshimi : autrefois considéré comme le repère des marins venus de tous horizons, cette partie de la ville est aujourd'hui un véritable centre culturel qui accueil de nombreuses expositions d'arts venues du monde entier. On y trouve notamment une exposition dédiée à Florian, l'un des plus grand artiste peintre qu'ait connu le pays. A noter que les maisons y sont construites comme autrefois : des bâtisses dont la forme rappelle la coque d'un bateau retourné. Rares sont les bâtiments à un étage et encore plus rares ceux à deux.
Légende :
[spoiler]La légende dit qu'un beau jour, las de servir un armateur qui les payait une peccadille, les marins d'une flotte marchande venue de l'île blanche profitèrent du fait de s'être échoués suite à une tempête pour disparaître aux yeux du monde, démontant les carcasses de leurs navires pour construire leurs maisons et profitant au passage des luxueuses marchandises présentes à bord pour établir un havre de paix où ils pourraient festoyer comme bon leur semble après des années de dur labeur.
Quelle fût la surprise des habitant de Manoshimi lorsque des gens arrivèrent dans leur village 6 mois plus tard, leurs apprenant ils s'étaient en réalité échoués sur la côte est du Royaume de la Terre...[/spoiler]
Le second est
Reion Na, le quartier des plaisirs dont la réputation sulfureuse reste toujours aussi vivace : casinos, bars, cabarets, restaurants, champs de course, maisons de passes... c'est ici que vous trouverez votre bonheur. Prenez garde : en ces lieux l'argent sort plus facilement des poches qu'il n'y rentre, nombreux sont ceux à en être revenus sans le sou.
Légende :
[spoiler]"Mia'l Reion Na".... "la retraite de Mia". Parmi les plus âgés, certains vous parleront en effet d'une certaine Mia, une femme qui serait venue se réfugier dans la région après une histoire de fraude impliquant son mari et des commerçant étrangers. Mais n'allez pas leur demander d'où ni pourquoi, ils ne pourront pas vous répondre. A peine peut-être quelques rires et sourires en mentionnant les hommes qui se seraient relayés auprès d'elle, mais ça... c'est une toute autre histoire.
Ce qui est sûr, c'est que la légende raconte qu'au fil des années ce petit bout de cote serait devenu le point de ralliement de tous les déçus et rejetés, quittant leur demeure pour des raisons plus ou moins claires et plus ou moins précipitamment. Et ainsi, ce lieu autrefois perdu - et que beaucoup finirent par appeler "Reion Na" - vit sa population augmenter progressivement, jusqu’à devenir un village de taille tout à fait respectable, un village où les plaisirs de la vie et l'épanouissement personnel sont au centre des préoccupations, toutes ces choses qui étaient auparavant refusées aux habitants.[/spoiler]
Le centre villeRegroupant les principaux bâtiments administratifs, le quartier des affaires, mais aussi l'antenne locale de
la compagnie du chemin de fer et les bureaux de la très importante corporation du
Jereg, le centre ville est sans aucun doute possible un passage obligé pour tout homme d'affaire qui se respecte. A noter que tout ce beau monde a attiré les journalistes, notamment ceux de l'un des plus grands quotidiens nationaux : le
Hai Oukoku Times.
L'arèneConstruite il y a 200 ans grâce à l'association de deux hommes d'affaires hors pairs, à savoir
Lau fondateur du Jereg ainsi que le légendaire
Bei Fong dont la compagnie reste encore aujourd'hui le principal armateur du pays, cette construction pharaonique fait la fierté du Royaume tout entier et est connue de tout combattant qui se respecte.
Contrairement à Republic City qui est connue pour ses équipes de Pro Bending, Hai Oukoku s'est spécialisée dans un show tout aussi spectaculaire que dangereux : le combat libre. A noter que des compétitions de pro bending y sont régulièrement tenues, mais cela n'est pas son coeur de métier.
Contexte : les lieux ont récemment subi d'importants travaux afin d'accueillir la première compétition internationale de combat libre de son histoire.