Avatar Reborn

NOTA BENE

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Arrivé sur la place principale, la où ce trouvais le marchait et les magasins, un des endroits des plus dynamiques dans la cité si ce n’était le plus. Aren qui est était immobile au milieu de la foule observer calmement, bougent le buste quant quelqu’un cherche à passe pour ne pas le déranger. Une foi en vue ce qu’il cherche le chasseur parti dans la direction de celui si, ce qu’il cherche était en premiers lieux une boucherie où il pourrait revendre sa viande.

Évitant au mieux de gênées le passage de la foule, s’adaptant au courant humain pour ainsi au mieux progresser dans cette marée humaine. Une foi arrivée au comptoir il sortie le lièvre qui était à demi entame et le présenta au marchant, celui si salua le chasseur en s’essuyant les mains sur son tablier.

- Bien le bonjour, oh un joli petit bestiau que vous nous ramenez là. L’homme examina de plus prêt en prennent la bête en mains et suite à un revers de manche pour s’enlevez la morve qu’il avait au nez proposa son prix au chasseur.
- Ah je peux vous en offrir…Observant une dernière fois le lièvre

Aren acquiesçant de la tête, le marchand accrocha le lièvre à un croché et sortit de son coffre l’argent pour ainsi payer le chasseur. Celui si le prit pour le glisser dans une bourse qui disparu sous le chaperon, remerciant d’un signe de tête silencieux le chasseur disparu de nouveau dans la foule. Ce passant la main sur le ventre, il chercha du regard une échoppe qui pourrait lui offrir repas avec les quelque pièces qu’il venait de gagné.

Ces odeurs de poissons frits me rappellent les repas que je prenais avec Tuvan , il a toujours été meilleur cuisinier que moi je ne le serai .la seule chose qui me dérange ici c'est l'odeur des autres, qui me rappelle à quel point suis à mal à l'aise en leur présence trop nombreuse. Il faudra que je trouve un lieu plus tranquille pour pouvoir manger..

Une foi l’échoppe trouvais, il si dirigea de la même souplesse cherchent à évite au mieux le contacte, préfèrent file comme de l’eau au milieu de rocher. Sortie de nouveau du courant de la foule il observa en hument le doux parfum des brochettes. Le vendeur lui adressa un regard bien veillant accompagner d’un sourire, tous en continuant de faire cuire ses brochettes au divers parfume.

- Bonjours, que puis je pour vous mon bon monsieur. Jaugent de son regard l’individu, ses yeux plisser pars les rides de l’âge.

Aren regarda les brochettes et en désigna deux du doigt, avant de nouveau caché sa main recouverte de bandage sous son chaperon. L’homme sortit les brochettes qui était encore en train de dorer au-dessus des braises et les déposas devant le client.

- Et voici pour vous, quatre Ryuan pour ce si. Ça sera tous messieurs ? Ce frottant les mains dans un torchon de chanvre.

Sortant les pièces qu’il déposa sur le comptoir, prenant ensuite les brochettes le vendeur eu à peine le temps de baisser la tête pour prendre et encaisser que le client avait disparu. Aren avait trouvais lieux à l’écart du passage de la foule, dans les jardins lieux plus tranquilles est propice à la détente. Il entama donc son repas croquant à pleine dent dans sa première brochette, s’étant installé à même le sol laissant échapper un bruis métallique étouffé pars la fourrure qu’il portait. Laissant à pensée qu’il portait des objets fais de métal.

Ronan se baladait tranquillement sur la grande place, rien de spécial à faire, juste une envie de marcher par ce beau temps.

Mais quel beau ciel bleu, c'est agréable ...

Il arriva jusqu'aux jardins, où il croisa un homme en train de manger des brochettes. Mais une chose l'interpella.

Euh, excusez-moi de vous déranger en plein repas, mais ... Vous m'avez l'air d'avoir de l'argent, et pourtant vous êtes ... Comment dire ça poliment ... Vous n'avez pas d'habits de ville ...

Ronan cherchait ses mots, et parlait donc assez lentement.

Vous venez d'ici ?

Tendit qu’il entamait son repas, il fut interrompu pars une première voix sur un ton interrogative. Déchirant le calamar-poulet de ses dents, il releva le regard et pus ainsi observé l’homme de son œil unique. Des abies simples et propres, il semblait être une personne de la cité. Et ses paroles confirmèrent ce détail.

« Étrange personne, aux étranges paroles… »

- Étant chasseur de la Toundra, je n’ai effectivement pas l’habitude de me rendre en ville. Éclipsent la question sur l’argent.

Tendit qu’un silence s’installe il reprit son repas, et son regard fut attiré pars l’arrivé d’un voyageur. D’une voix faible manquant de conviction. Celle d’un homme, une voyageuse qui semble bien en piteux état. Il devait assurément revenir de la Toundra, ce disais Aren en voyant l’homme ainsi devant lui. Haussant un sourcil quant sa demande fut exprimée, puis suivie d’un grognement sourd avant de ce passé la main sur ses lèvres. Prenant une gorgée d’eau, il répondit après avoir laissé un silence s’installer de nouveau. Peu loquace était notre chasseur.

Il prit les brochettes qu’il restait et sans plus attendre les donna à l’homme. Cela devrait le contenté, il lui donna aussi son outre d’eau ce déshydraté était un risque quant l’on partait dans le froid de la Toundra. Bien souvent l’on oublier de boire, car l’environnement humide ne nous incitez pas à le faire. Remarquant le visage marqué de l’homme quand il le détailla, une griffure était encore présente sur son visage.

« Les esprits ont du décidaient que ce n’était pas encore aujourd’hui qu’il devait mourir, et que la Toundra ne reprendrait pas son enfant. »

Pour le coup, Ronan se sentait un peu exclu de la conversation ...

Euh ouais alors toi t'arrive, salut j'ai faim, j'te pique ton interlocuteur !

Bon ben j'y vais alors moi hein ...

Et le fils de l'eau reprit sa route, tranquillement ... Il marcha jusqu'à une boutique de vêtements où il s'arrêta un moment.

Voyons, est-ce qu'il y a des nouveautés ...

Bonjour mademoiselle ~

Toujours très poli avec les vendeuses au joli minois, c'est une philosophie chez lui !

jamais je ne comprendrai mes semblables
*Aren regarda alors le jeune homme aux cheveux verts qui partaient , puis revint porter son regard sur le jeune homme qui avait mangé sa brochette et le salua d'un simple geste de la main ne connaissant pas vraiment les us et coutumes de son propre peuple natif .*
Il répondit alors toujours avec la même voie douce du fluide:
"Aren vagabond..."

*Aren regarda l'horizon et soupira avant de répondre*
" je suis comme l'eau je n'ai d'origine ou de fin ... ce que je suis venu chercher mmmh apprentissage je dirais, apprentissage de ce que mon père n'a pu finir de m'enseigner ."
est-ce que je dois vraiment lui répondre ,lui poser des questions ?Après tout il serait temps pour moi d'apprendre à vivre avec l'humain ...
"Et vous ?"