L'Ancienne Citadelle

[Yukiko]

Ce tournant vers la chef de l’établissement et s’inclinant en avant, s’excusant brièvement ainsi de sa faute. Il ce tourna vers les deux autre table ou était assez les gardes et leur capitaine, reprennent les outils déjà utiliser qui avait était remis sous la table il ce remis à prépare le thé. Puisant cette foi l’eau dans les réserves de la table qu’il servait, il prit aussi le thé qui lui était mis a disposition sous celle si. Hument le parfum que dégager le thé, il referma la boite et en prit un autre semblant cherche quelque chose …

« Ses hommes pourraient faire fuir un troupeau de lièvre kangourou a des rondes, ils transpirent tous l’inquiétude, le stresses…un thé délicat et parfumer devrais calmer leur humeur… »

Ouvrant finalement la dernière boîte, révélant à son odorat un délicat parfum subtilement épicé. Ce relevant, il jeta un œil a l’eau qui chauffer celle si avait encore besoin de quelque instant pour arriver a maturation. Aren décida de préparer le filtre avec les herbes du thé et de replacer les ustensiles dont il n’avait plus besoin, ainsi l’eau était arrivée à la température idéale il la retira de la grille et recouvrit les braises de son couvercle. Prenant la bouilloire au long manche, qui permets de pas ce brûler quant on prenait celle si en main et vain faire couler délicatement avec grande souplesse l’eau dans la théière, remplissant celle si de l’eau chaude et cristalline qui commençait à décliner de couleur avec les feuilles de thé qui comme de l’encre dans l’eau venait assombrir l’eau d’une couleur ambre.

« Qu’es que la garde la ville fais à protéger un maître de dojo…Une personne importante effectivement, mais cela semble bien plus qu’un maître de dojo reconnus pars ses pairs. »

Le thé fut prêt quelque minute plus tard, s’occupent pendant ce temps la de ranger les outils de préparation et pus servir le thé enlevant les feuilles et les jetant dans le petit composte utiliser à cet effet. Le thé servi dans les tasses d’argile, qu’il poussa délicatement vers chaque garde, s’inclinant de nouveau il recula d’un pas et ce retira attendent que l’on est de nouveau besoin de lui. Il reprit le balai et délicatement il recommençât son ménage, son visage garder son expression neutre et ses mouvements souples accompagnés de ses déplacements trahisse quelque peu sa couverture. Portant un regard sur la chef de l’établissement, cherchant son acquiescement pour ses actions pour ainsi continuer…

" Je devrais peu êtres lui demandé qui il est , mais cela est déplacer.. Tuvan disais qu'il fallait toujours écouter et observer l'animal avant de l'attaqué ... "

Regardent de nouveau quelque instant le dit "Maitre" qui commençait a éveiller une certaine curiosité en Aren...

[Yahto Parak]

Et pendant ce temps, Yahto déguste son thé tandis que les gardes consomment le leur avec des expressions de satisfaction et de contentement. Le patriarche eut un petit sourire.

Du coin de l’œil, il observait le chien égaré. Ses sourcils noirs frémirent légèrement.

D'un geste vif, il lui lança sa tasse de porcelaine (vide, hein, le thé c'est trow bon) en visant la tête.

[Yukiko]

Reprennent son ménage, Aren ressentie comme un frisson tous le long de son dos ses muscles sans crispère en un instant, et il releva le regard instantanément vers l’homme qui lui provoqué cette sensation. Il put voir ainsi la tasse qui fendait l’air dans sa direction, tous ce passa très vite sa main dans un geste vif et souple attrapa la tasse dans un mouvement latéral partant de son avant-bras. La tasse finie en tenaille entre son pouce et son majeur, redescendent d’un lent mouvement la tasse à sa taille expirant sobrement ne relâchant pas son regard sur le « maître ».

« Visiblement il a voulu répondre à la question à ma place, il faut dire que je ne dois pas passer inaperçus…j’ai encore du mal à passer pour n’importe qui aussi. »

Reposant le baller à sa place, il s’avança naturellement comme si de rien ne cette passe gardent une expression des plus stoïque sur le visage tous comme le regard. Reprenant la théière il remplit de nouveau la tasse puis la poussant délicatement vers l’homme,

- Le thé à t’il était a votre goût messieurs

S’inclinant pars la suite avant de reculait d’un pas en arrière croisant les mains. Regardent à la table d’à côté un instant voir s’il devait les resservies aussi.

- Voulez-vous que je vous resserve ? Parlent à la garde de sa voix rocailleuse.

L’ambiance avait quelque peux changer en un instant, elle c’était quelque alourdie les gardes s’étaient figer en regardent l’action le tous étaient accompagnés d’un long silence qui devenais dérangent.

[Yahto Parak]

Yahto pinça les lèvres qui tremblèrent avant de rire franchement.

-Allons bon, l'ami. Je ne sais ni qui tu es, ni d'où tu viens, mais il faudrait que tu trouves quelqu'un pour te retirer le manche à balais sur lequel tu t'es malencontreusement assis.

Les gardes du corps se détendirent. Il leva sa tasse en l'attente d'être resservi et tendit l'autre main.

-Je m'appelle Yahto Parak.

[Yukiko]

S’avançant et reprenant la théière, ne répondant pas à la remarque faite sur sa posture stoïque il remplie une nouvelle foi la tasse répondant en même temps aux questions de l’homme qui venait de ce présenté à lui.

- 丧家之犬 , je reviens d’un long voyage de la grande Toundra blanche…venus me reposer en ville.

Croisant un instant le regard de l’homme, notre vagabond garder son assurance et soutenus de son regard froid et indifférent celui de l’homme. Reposant la théière il reculant sobrement de nouveau, ne quittant plus l’homme des yeux.

« Il semblerait que j’ai éveillé la curiosité de cet homme tous comme il a fait pour moi…continuons la conversation nous verrons bien ce qu’il attend de moi … »

*sàng jiā zhī quǎn:chien sans foyer / chien sans maître / chien perdu sans collier

[Yahto Parak]

-.... Sérieusement, vous n'êtes pas obligé de me regarder comme ça. Je ne suis pas un chien-ours polaire qui va vous sauter à la gorge. Voilà une attitude qui n'attire guère la sympathie. Les êtres humains apprécient d'être vu et considéré. Ça vous arrive de vous sourire au moins ?

Bon, le patriarche avait peut-être un petit peu bu à la fête de son anniversaire. Mais alors juste un tout petit peu. Promis.

[Yukiko]

Souriant que très légèrement un bref instant, Aren n’avait pas l’habitude de montrait ses sentiments et cela remontés à bien longtemps.

- Nous n’avons pas tous de quoi sourire, la Toundra n’est pas le meilleur endroit pour avoir le temps à cela. Il est préférable d’êtres tels que la glace s’il l’on veut ce nourrir pour le soir, les animaux sont bien plus sensible que les hommes. Vous me sembliez seulement singulier en ses lieux, et vos manières envers moi mon intrigué.

Il détourna le regard pour ne pas déranger plus l’homme, et resservit la garde d’un peu de thé.

"Une question reste, il c'est présenter , mais qui est-il en cette ville j'imagine que les gardes ne sont pas la pour n'importe qui."

[Yahto Parak]

Yahto semble alors très attentif au discours du serveur. Puis il baisse les yeux, semblant regarder dans le vide.

-Comme je te comprends.

[Yukiko]

Reprenant le verre déposer pars l’homme est le remplissant de nouveau du liquide ambrais qui fumer encore légèrement, le repoussant devant lui.

- Pour quoi dans ce cas me reprochais de vous semblez inamicale , j’ai pris pour habitude de ne pas faire confiance aux humains armés, qui plus est protéger… Je sais que ne je ne suis le seul à avoir des raisons pour ne pas sourire, seulement j’ai appris que l’on devait sourire seulement quant cela était vrais… Je peux, peut-être vous apportez quelque chose pour accompagner votre thé.

Regardent pars dessus son épaule gauche la vieille gérante, encore percher sur son tabouret. Puis revenant vers les garde les dévisagent, sans êtres agressive regardent seulement s’il avait besoin de quelque chose.

- Messieurs, besoin de quelque chose ?

[Yahto Parak]

La vieille secoue lentement la tête, se passant une main sur le visage.

-Il y a une différence entre rester neutre et à se montrer volontairement inamical. La première attitude peut être interprétée comme de l'indifférence, voire du mépris. Et la seconde, comme une agression. Voilà pourquoi, en bonne société, il est préférable de se forcer à sourire, ne serait-ce qu'un tout petit peu.

Si vous préférez la compagnie des animaux, vous devriez savoir qu'ils communiquent beaucoup par leurs attitudes. A moins que vous ne disiez cela que pour épater la galerie, bien sûr...