Étendues du Royaume de la Terre

[Malo]

- Génial.... Bon bah vous avez de la lecture ? histoire que je m'occupe pendant un mois ?

Non parce que je vais pas rester un mois à me tourner les pouces. Même si je pille les tombes je reste un ancien étudiant donc un intellectuel, qui pille, mais un intellectuel. Et puis c'est dans la littérature qu'on trouve la sagesse et le savoir.

- Ah et je sais que nous avons encore un mois pour reparler de ça, mais vous avez une idée de la somme que je vais devoir vous payer pour vos soins et, j'imagine, le logement ainsi que la nourriture ?

[Tanzo]

F***, il est passé où encore. Je vais rester ici le temps que les gardes aient abandonnés ma trace, et puis d'ici, j'ai un bon point de vue pour potentiellement le retrouver.

[Conteur de la Terre]

MALO

-De la lecture... Heu... Je vais voir ce que je peux vous trouver.

*...*

-Vous ne me devez rien pour les soins. C'est normal d'aider des personnes dans le besoin.

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TANZO

*Hozen se cache soigneusement sur les toits et laisse les gardes courir dans les rues pour le traquer. De longues minutes s'écoulent. Sa cible ne réapparaît pas.*

[Tanzo]

Je décide donc de rentrer à l'auberge, passant par les toits et retournant donc tranquillement dans ma chambre, en vérifiant avant bien évidemment si les gardes n'y sont pas, que ce soit devant, dans l'auberge ou dans ma chambre. Je commence donc à me reposer sur le lit, prenant mon repas et pensant à ce fuyard.

Demain je revérifierai la ville depuis les toits, et sinon je continuerai juste ma route.

[Malo]

-De la lecture... Heu... Je vais voir ce que je peux vous trouver.

- Je lis de tout dès que c'est un minimum intellectuel. Donnez moi un bouquin de médecine ça me conviendra très bien si vous n'avez rien d'autre.

-Vous ne me devez rien pour les soins. C'est normal d'aider des personnes dans le besoin.

Parfait, ma bourse ne fera pas régime ce mois-ci...

- Oh mais je ne peux pas vous laisser me soigner comme ça gratuitement, c'est bien trop gentil de votre part. Je vous offrirai une antiquité en remerciement.

Ou une pale contrefaçon selon la qualité de vos soins....

[Conteur de la Terre]

TANZO

*Hozen attend le temps qu'il faut, prend les précautions qu'il faut, et rentre à son auberge. Il s'installe dans sa chambre jusqu'à l'heure du repas. Quand il descend les escaliers, il peut voir que certains regards, particulièrement lourds, sont posés sur lui. Le silence se fait dans la salle commune.*

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MALO

*La guérisseuse refuse poliment les cadeaux de Mah-Lo et va examiner sa bibliothèque. Le pilleur de tombes passe les semaines suivantes à lire et en rééducation, jusqu'à ce qu'on soir, un vieillard du village demande à le rencontrer.*

[Malo]

J'accepte de rencontrer le papi, un peu de visite ne me fera pas de mal, vu que je reste enfermé ici depuis des semaines à bouquiner.

[Tanzo]

Ce silence, étrange. Je les ignore, prend la bouffe et remonte dans ma chambre. Si on me l'interdit, je lancerai un regard noir et j'irai m'asseoir dans un coin pour manger rapidement et remonter.

[Conteur de la Terre]

MALO

*Le vieux est invité à manger avec Malo dans sa chambre.*

-Bonjour. Je suis Gon. J'ai appris que tu étais antiquaire. Ça m'a rappelé des choses. C'est rare de croiser des gens de savoir par ici. On se contente de travailler la terre et de vendre nos productions. Les jeunes ne vont pas beaucoup plus loin. Ils vivent comme leurs parents, et leurs enfants vivront sans doute comme eux. Mais si j'avais eu l'occasion, je serais parti pour la grande ville pour apprendre des choses. Le peu que je sais, je le sais de gens comme toi.

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TANZO

*L'aubergiste sert Hozen sans rien dire. Les regards et le silence malaisant continuent, mais le chasseur de malandrins ne se fait pas aborder. C'est juste fondamentalement désagréable. Quand il monte dans sa chambre, tout le monde le laisse faire.*

[Malo]

-Bonjour. Je suis Gon. J'ai appris que tu étais antiquaire. Ça m'a rappelé des choses. C'est rare de croiser des gens de savoir par ici. On se contente de travailler la terre et de vendre nos productions. Les jeunes ne vont pas beaucoup plus loin. Ils vivent comme leurs parents, et leurs enfants vivront sans doute comme eux. Mais si j'avais eu l'occasion, je serais parti pour la grande ville pour apprendre des choses. Le peu que je sais, je le sais de gens comme toi.

lol

intérieurement je fis un tête bien connue du conteur de la terre.

- Euh merci ça me touche beaucoup. Vous vouliez quelque chose de moi ?