*Iluq rentre à la Caserne. L'ambiance est la même que tout à l'heure : les rues sont désertes, sauf pour quelques patrouilles de Manteaux Blancs et de gardes de la vile qui lui jettent des regards suspicieux en passant, mais le laissent traquille.
On le laisse entrer à la Caserne sans problèmes. Le soir commence à tomber. La cloche du repas va bientôt sonner.*
*Arruk fait la moue.*
-Je n'ai rien fait à part faire un faux mouvement dans mon massage. Je trouvais ce grand dadais agaçant. Je n'ai d'ailleurs pas bien compris à quoi toute cette scène servait... Vous avez peur de ce gars ?