[CIT] Le Palais Citadin

[Selkia]

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Selkia voit la situation déraper. Son garde est insortable, décidément ! Le garde du Patriarche intervient alors que la jeune fille commence à ouvrir la bouche. Elle choisit ses mots et dit :

- Je vous remercie, Sura. Iluq Tikaani, il ne sera pas nécessaire d’entreprendre quelque action que ce soit. Nous allons partir et laisser la demoiselle Erenia reprendre ses activités. (à Erenia) Je suis désolée d’avoir abuser de votre patience.

Dit-elle en s’excusant littéralement à la place d’Iluq. Elle lui fait ses adieux et s’éloigne vivement où elle pourra parler à son garde en privé.

- Qu’est-ce qui vous a pris ? Vous est-il possible de ne pas mettre mal à l’aise les gens ? Surveiller mon entourage c’est bien mais contentez-vous de vous tenir à côté de moi prêt à réagir et non derrière mes interlocuteurs comme un aigle-vautour sur le point d’attaquer.

[Erenia]

-Je ne vous connais pas. Je ne sais pas d'où vous venez ni ce que vous faites ici. Vous êtes armée et présentez une attitude agressive. Vous n'obtempérez pas à mes injonctions. Vous montrez pour l'instant tous les signes qui justifient mon comportement vis-à-vis de vous. Dois-je prendre une action contre vous afin de diminuer le danger qui pèse sur la demoiselle Selkia ?

Il se prenait pour qui l'autre connard! A par les muscles, le cerveau ne semblait pas compris en option. Elle avait envie de lui apprendre le sens du mot respect de ses ainées quand apparu de nul part un autre homme.... parfaitement terrifiant. Le genre de gus à qui on ne cherchait pas d'ennuis et qu'on évitait de marcher sur les pieds même par accident.

- Assez.

Le son de sa voix la fit tressaillir, l'environnement autour d'eux était devenu subitement calme. Les oiseaux qui chantaient courageusement par ce froid hivernal, s'était tus, surement à cause d'une crise cardiaque. Un vent s'engouffra dans ses vêtements tout aussi glacial que l'aura de l'individu qui se tenait en face devant elle.
Erenia ne remarqua pas le départ de Illuq et Selkia. Elle était là avec l'homme, ne sachant pas trop quoi dire à part un.

- Yo!

[Yukiko]

Il salua d'un signe de tête brève la jeune noble, qui peu après partir avec son garde du corps.Son expression sur le visage changea, et repris un air plus serein. Il ce tourna alors vers la jeune femme au habile de guerriers, qui malgré la peur visible sur son visage salua de manière familière l'homme. Celle-ci avait les trais encore enfantin, et un air farouche qu'elle ce donner pour ne pas perdre la face. Cela fit sourire Sura, qui s'incline légèrement.


- Si vous êtes ici pour discuter dans le calme, vous êtes la bienvenue.Comme vous avez pu l'entendre, je suis Sura.C'est ainsi que l'on me nomme.

N'en disant pas plus, il partir s'assoir pré du bassin et la vie repris son cours, lui même ne dégageant plus cette aura si sauvage qui faisait autant peur.

[Erenia]

- Si vous êtes ici pour discuter dans le calme, vous êtes la bienvenue.Comme vous avez pu l'entendre, je suis Sura.C'est ainsi que l'on me nomme.

Une fois que l'homme se mit à parler. Il eut l'air moins intimidant. Il était presque sympathique malgré son air patibulaire. Elle s'approcha de lui tout en gardant une distance de sécurité. Il fallait mieux se montrer prudente face aux inconnus même si elle savait qu'elle ne risquait pas grand chose dans l'enceinte du palais.

- Sura, êtes-vous un invité du palais? Vous avez été convoqué pour les réunions qui se déroule en ce moment? Ou attendez-vous peut-être une personne qui en ce moment-même, est occupé dans l'une de ces dernières?

[Yukiko]

Il avait les mains croiser, comme plonger dans une réflexion intense, quand le visage de la jeune fille fit disparaître la vision de celui de sa sœur et du sien plus jeune. S'extirpent des songes du passer, il tourna la tête vers la jeune femme, qui timide cette approcher et avait engager la conversation. Puis il porta sa regard à nouveau sur l'eau, où les poisson lune nager.

- Je suis au service du Patriarche Parak, chef de la tribus du chien ours. Le palais est assez sur pour qu'il n'est nul besoin de mes services. Je n'ai pas entendu votre nom il me semble, il me semble qu'il soit coutume de le faire. Venez, prenne place, je suis d'habitude très bien seul, mais le patriarche ma dit que faire la conversation m'êtes bénéfique.

Il désigna du regard la place juste à côté de lui et repris sa position initial, des plus méditative.

[Iluq]

*Je suis prêt à en découdre avec cette guerrière / noble à l'égo surdimensionné et aux manières douteuses quand je sens arriver face à moi ce que je ressens comme une avalanche: un souffle froid, puissant, digne d'être craint. Cela coupe court à toute les envies guerrières qui m'animent. Une main se pose sur mon épaule. Celle du garde du corps de Yahto Parak. Il a beau être plus petit que moi de plus d'une tête, j'ai l'impression d'avoir face à moi une montagne. Il me regarde de son unique œil et prononce un seul mot:*

- Assez.

*Je reste paralysé. C'était comme si j'avais tout le danger de la Toundra face à moi.*

- Je vous remercie, Sura. Iluq Tikaani, il ne sera pas nécessaire d’entreprendre quelque action que ce soit. Nous allons partir et laisser la demoiselle Erenia reprendre ses activités. (à Erenia) Je suis désolée d’avoir abuser de votre patience.

*Le garde me relâche. Je lui fais un signe de tête pour lui signifier qu'il a mon respect et que je n'entreprendrai plus rien de violent en sa présence. Je vois Selkia qui s'éloigne. Je salue Sura et la guerrière avant de m'en aller avec elle.*

- Qu’est-ce qui vous a pris ? Vous est-il possible de ne pas mettre mal à l’aise les gens ? Surveiller mon entourage c’est bien mais contentez-vous de vous tenir à côté de moi prêt à réagir et non derrière mes interlocuteurs comme un aigle-vautour sur le point d’attaquer.

-Cette femme guerrière a éveillé mes doutes. J'ai cru bien faire. Elle m'a de plus insulté à plusieurs reprises, en méprisant mon rôle et ma personne, et je dois avouer avoir perdu patience.

[Selkia]

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La jeune fille fixe Iluq comme si les mécanismes de son raisonnement avaient quelques logiques. Elle lui répond calmement, espérant qu’il tirera enseignement de chaque mot.

- Elle était certes armée et bizarrement vêtue mais vous avez bien dû vous rendre compte qu’elle ne faisait que passer. Et elle ne vous a insulté que lorsque vous avez été rude avec elle. De plus, vous feriez mieux de vous habituer à être méprisé pour votre âge ou quelque préjugé que ce soit, c’est comme ça que sont les personnes et votre comportement n’y changera rien. Cessez d’être aussi susceptible ! Pour vous consoler, vous pouvez surprendre l’adversaire qui vous méjuge. Ah si, votre attitude a changé au moins une chose, je vous estime moins. Raccompagnez-moi à ma chambre et profitez-en pour vous défouler à l’entraînement avant le souper, je sens que vous en avez besoin.

Selkia sert son étoffe prés d’elle à cause de la brusque baisse de température. Elle aurait aimé ne pas rejoindre ses appartements si tôt mais son garde est insupportable. Elle écoute cependant s’il a comprit où elle voulait en venir.

[Iluq]

*Selkia me fixe, le regard plein de reproches. Elle me sort une longue tirade pour expliquer ses impressions par rapport à mon attitude.*

-Très bien.

*Je soupire et je la suis jusqu'à ses appartements.*

Non mais je me fous royalement de ce que tu penses de moi, tu sais.

*Dire que je l'avais trouvé belle au début... Sa personnalité est nettement moins belle que ce que je pensais !*

[Selkia]

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Selkia ne se laisse pas abusée par la technique "oui mon capitaine" d'Iluq. Elle lui demande en toute simplicité :

- À quel propos ?

[Hrp/elle ne le fixait pas avec reproche, elle faisait la même tête que devant un cube magique/hrp]

[Erenia]

Malgré le mouvement de regard du guerrier, Erenia ne prit pas place à ses cotés. Elle n'était pas venu bavasser mais trouver des réponses à ses questions. Elle préférait de toute manière rester debout.

Elle enregistrait mentalement les informations qu'il lui donnait et tiqua sur la dernière phrase.

- Je m'appelle Erenia, je suis au service d'Eldwin Yi, fils de l'ancien ambassadeur au royaume du feu. Je préfère rester debout mais merci pour l'invitation. Sans me montrer indiscrète, pourquoi essayer de parler avec des inconnus si vraisemblablement, vous n'en avez pas envie?