[CIT] Le Palais Citadin

[Yukiko]

Il croisa les main derrière son dos et s'arrêta un instant pour regarder la jeune fille.

- Je suis Sura, garde du corps du Patriarche Parak.Il s'inclina légèrement, par politesse. Paisible oui, mais le donjon de l'ancienne citadelle n'a pas le faste et le luxe, que peut ce permettre la Citadelle. Dirons nous que la décoration est plus simpliste et que ses jardins le son tous autant.

Puis il repris lentement sa marche autours des sculptures floral de glace. Son regard ce perdu un instant, dans celle-ci et il cru entendre des rire d'enfant, qu'il pu voir courir dans la neige et venir disparaître en traversant la courtisane et son garde du corps, dans une envolé de poudreuse accroché au sol.

[Iluq]

*Je laisse Selkia mener la conversation. Je ne compte pas répondre tant qu'on ne m'adresse pas la parole, et cette discussion est remplie de mondanités dont je me fiche bien.*

- Les jardins de l'Ancienne Citadelle sont-ils aussi paisibles ? Je me nomme Selkia Kaidana par ailleurs et voici mon garde du corps.

*Je réagis en m'inclinant légèrement et en adressant un sourire poli qui dévoile mes dents anormalement pointues au guerrier vétéran.*

-Je suis Iluq Tikaani, de la Tribu du Loup-Garou. Jeune recrue au Manteau Blanc.

- Je suis Sura, garde du corps du Patriarche Parak.
Paisible oui, mais le donjon de l'ancienne citadelle n'a pas le faste et le luxe, que peut ce permettre la Citadelle. Dirons nous que la décoration est plus simpliste et que ses jardins le son tous autant.

Le garde du corps de Yahto ? Quelle chose étrange.

*Je garde le silence, laissant Selkia mener la conversation. C'est elle la courtisane. Moi, je suis un guerrier. Ce genre de choses ne fait pas partie de mon monde.*

[Selkia]

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Je suppose qu’il maîtrise la neige et la glace, pense Selkia en détaillant le garde du corps à priori aguerri.
Sura n’a pas relancé pas la conversation avec une question. Selkia ne voit pas encore ce qu’elle peut tirer du garde du corps avant le souper. Il faudra du temps avant de pouvoir poser des questions ciblées sur le Patriarche.

- Je suis sure que vos jardins tiennent plus du simple que du simpliste. À la Falaise, nous avons la chance d’avoir des serres pour cultiver des plantes. Il n’y a pas de sculptures de glace imitant la végétation. Mais vous ne me semblez pas être originaire de l’Ancienne Citadelle si je ne me trompe pas. D’où venez-vous ?

[Yukiko]

Il revient planté son regard dans celui de la courtisane et ce perdre un instant ce perdre dans celui-ci, il dessina un fin sourire en coin, discret et timide. Il ce rapprocha un peu plus, venant se poser sur un des banquettes de glace, il resté malgré tous les efforts et l'état dans le quel il pouvait être, à l'image du guerrier endurcie et frapper par les années.

- Non, je suis un fils de la Toundra, c'est elle qui m'a vue naître et qui m'a forger. Je me suis rapprocher il y a moins d'un ans maintenant des grandes ville, pour apprendre plus sur "vous". Je comprend de mieux en mieux votre façon de pensée, malgré que je trouve cela futile parfois, cela à du sens.

Il releva la tête au ciel et regarda comme avec détaille celui-ci, la neige tombant lentement sur son visage et sur le jardin, le recouvrant d'une fine pellicule de neige.

[Selkia]

24

Alors qu'elle venait de poser la question, le guerrier eut une réaction étrange. Selkia tire la conclusion que la question ne lui est pas anodine mais guère plus. Il se rapproche toutefois, ce qui est bon signe.
La jeune fille ne s'approche pas davantage de Sura, même si celui-ci s'est assis. Il lui rappelle un chat sauvage, c'est déjà bien qu'il l'accepte à cette distance.

- Ah j'étais sure que vous étiez particulier, dit-elle avec un sourire. Vous avez vraiment dû réussir à convaincre le Patriarche de vous embaucher, il ne suffit pas d'être bon guerrier pour faire un bon garde du corps. Avez-vous besoin de quelque chose pour mieux cerner notre façon de penser ? Oh, une seconde. (à Iluq) Iluq, je pense que vous pouvez vous mettre au repos relatif, si le Patriarche s'est séparé de sa garde, alors je pense avoir encore moins à craindre que lui. Profitez comme nous du jardin si vous voulez.

Cela signifie qu'il peut rester ou partir (mais pas trop loin).

[Iluq]

*La conversation entre Selkia et Sura m'apprend certaines choses sur ce garde du corps à l'aura bestiale. C'est relativement intéressant, même si, soyons honnêtes, je pourrais aussi bien ne pas être là que ça ne changerait pas grand-chose à la situation.

L'homme s'assied et prend un air contemplatif. Ma protégée continue.*

- Ah j'étais sure que vous étiez particulier. Vous avez vraiment dû réussir à convaincre le Patriarche de vous embaucher, il ne suffit pas d'être bon guerrier pour faire un bon garde du corps. Avez-vous besoin de quelque chose pour mieux cerner notre façon de penser ? Oh, une seconde... Iluq, je pense que vous pouvez vous mettre au repos relatif, si le Patriarche s'est séparé de sa garde, alors je pense avoir encore moins à craindre que lui. Profitez comme nous du jardin si vous voulez.

*Je hausse un sourcil.*

-Je ne connais pas ce terme de "repos relatif", Demoiselle Selkia. Il n'y a que le repos ou l'état alerte. On m'a confié la mission de vous garder; je ne vous quitterai pas.

*Je me détends quelque peu.*

-Maintenant, si vous le désirez, je peux éventuellement prendre une part plus active dans la conversation ?

*J'enchaîne.*

-Vous êtes donc entré au service de Yahto Parak pour apprendre à mieux connaître nos façons ?

[Yukiko]

Il croisa ses mains et reporta son regard sur la jeune femme, puis sur son garde du corps.

- C'est exacte, le patriarche est une personne assez douer pour défendre sa personne seul. Je suis à ses côté pour apprendre plus sur la manière des nobles. Ainsi que de comprendre votre lutte de pouvoir, pour quelque chose qui n'est pas a vous. Je comprend aujourd'hui que plus que le combat, les hommes son motivé par autre chose, c'est ce que je recherche.

Il détourna à nouveau le regarde, pour admiré le jardin qui continue à lui être si familiers.

[Selkia]

25

Selkia ne fait pas attention quand Iluq mime son rôle de bon soldat. Il semble avoir compris tout seul ce qu’elle lui demandait et se détend. Elle ne l’a pas pour autant prié non plus de se joindre à la conversion mais ce n’est pas grave, elle a toujours le contrôle de la conversation. Le demi-sauvage précise le fond de se recherche – du moins cela semble – en précisant que cela concerne la lutte des hommes. Tandis qu’il détourne le regard, elle lui répond calmement, réfléchissant à la question.

- Voyons, les hommes qui luttent pour le pouvoir veulent souvent plus de privilèges, du confort ou de la gloire. Je vois cependant mal comment vous l’illustrer. Et ce n’est pas avec les réunions qui viendront que vous verrez mieux, nous parlerons plus de relations entre nations et tribus et de sécurité.

Elle envisage de développer mais si ça se trouve, elle est à côté de ce que cherche l’élève du Patriarche.

[Yukiko]

Il tourna sa tête vers le duo, et fronça les sourcils, ne semblent pas comprendre.

- Pour quoi vouloir plus que l'on a déjà, le bonheur pour les hommes des villes est donc le faite d'écraser autrui, pour améliorer son confort ? L'homme est bien le seul être à s'entre tuer, pour ce genre de chose qui ne sont pas vitale...

Il ce releva et croisa les mains dans le dos, malgré son stoïcisme. Il était en colère, les souvenirs des sourciers qui tuer sa famille, est encore bien encres dans sa mémoire maintenant.

[Selkia]

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Selkia est surprise par la soudaine colère contenue du garde.

- Les hommes manquent de tempérance, ils se convainquent entre eux qu’ils doivent avoir plus… qu’une meilleure vie est toujours possible. Mais tous les hommes ne sont pas comme ça !

Si je comprends bien, il a été lui-même « écrasé » par des gens avides de pouvoir.

- Le Patriarche Parak, que vous dites-il ?