Omashu

[Conteur de la Terre]

Okkyn

Jorgen ferme donc les yeux. Résultat : bah il ne voit plus rien. Et surtout, il ne sent rien. Il ne s'appelle pas Toph Beifong ! Il est tellement concentré qu'il sursaute quand une main se pose sur son épaule.

Hé, ça va ? S'vous êtes fatigué j'peux vous garder ça au chaud pour plus tard et v'pouvez aller pioncer.

Ce brave aubergiste. Toujours aux petits oignons pour ses clients. Il tient l'assiette de rôti en main et a l'air un peu désolé de t'avoir dérangé.

[Okkyn]

Et oui et il le savait en plus mais pourtant il s’entraînait toujours et surtout tout les jours pour s'améliorer mais pas toujours avec le succès escompté par lui même.

Même dans les livres on ne trouvait pas toujours les réponses mais il avait décidé de continué a se perfectionner dans l'art qui était le siens que cela soit au niveau boxe ou maîtrise de son élément en essayant de pouvoir évité d'être trop prévisible.

" Oui tout va bien, et puis comment réussir en dormir le ventre en partie vide "

Le chasseur de prime éclata de rire après avoir bondit au contact et surtout au sursaut en changeant le temps d'un instant de couleur due a la surprise et prit une autre rasade de sa bière.

" Bigre cela m'avait manqué ce mélange de saveur, j'irais me reposer après mais d'abord a table "

Il sourit voyant l'assiette fumante et laissa sans savoir le retenir un jolie gargouillement qui prouve que son estomac n'en puis plus le salopiaud.

" Tu veux bien m'expliquer un peu avec la guerre, cela m’intéresse d'en savoir plus "

De nature curieux, Jorgen savait tenir une conversation en mangeant surtout si il pouvait glaner des informations sur les situations actuelles.

[ Hello,
Je serai absent de ce vendredi a lundi pour un mariage a colmar.
Je me remettrais a jours dès mon retour.
bien a toi ]

[Conteur de la Terre]

Okkyn

Beeeen c'est l'merdier. Trop longtemps qu'ça dure ces tensions 'vec la capitale. Ça a commencé avec l'arrêt du commerce.
On peut pu vend' qu'des produits locaux. Ou en tout cas pu ceux qui sont fait dans les usines qui z'ont là-bas.
Pis y a eu la disparition des tourist'. Personne aime visiter une ville où ça peut vous péter à l'tronche n'import' quand.

Il soupire.

Et maint'nant, vlà qui rassemblent les seuls qui sont restés pour aller faire la guerre.

Il se penche un peu et poursuit sur le ton de la confidence :

Moi j'veux qu'ça s'finisse cette histoire, mais j'suis pas soldat. J'fais mon ptit commerce sans histoires d'puis des années et j'sais pas m'battre.
Si j'y vais, pour sûr qu'j'en r'viendrai pas. Comme presq' tous les pov' gars qui se font embarquer obligés.

Il relève vite la tête et scrute la salle, comme pour vérifier que personne n'ait entendu, tout en faisant semblant d'astiquer le comptoir.

[Okkyn]

" je vois je vois, c'est vrai que cela dois pas être facile maintenant que j'y vois plus claire "

La chasseur de prime nota dans sa mémoire que cela faisait plusieurs fois qu'on lui disait qu'a cause de la guerre c'était la merde mais il ne pensait pas a ce point la et cela n'allait pas le calmer mais plutôt le tracasser.

" les seuls qui reste ? mais il faut un minimum de formation sinon c'est l'abattoir ! "

La il tiquait pourquoi embarqué des gens qui n'avait pas de formation ce n'était pas innocent mais cela aussi il le garda en mémoire pour le moment quand l'homme se pencha il fit pareil doucement et écoutant ce que l'homme lui dit.

Il est vrai que l'aubergiste en présence n'avait pas la carrure d'un soldat et que le combat de champs de bataille serait compliqué pour lui.

Jorgen lui fit un signe de tête discret de compréhension et observa autour de lui en buvant sa bière et mangeant son repas en souriant très fort.

" miam trop bon ce repas " après avoir avalé sa bouché "j'espère vraiment que tu as de la réserve a ce niveau la"

autant varié le sujet pour donner le change et ainsi éviter les soupçon de conspiration ce qui pouvait mal finir en général.

[Conteur de la Terre]

Okkyn

Le tavernier hausse les épaules.

On fait c'qu'on peut 'vec c'qu'on trouve. J'peux pas trop promettre d'avoir autant et aussi chic chaqu' soir.

Avisant un client qui le hèle depuis le fond de la salle, il balance son chiffon sur son épaule et s'en va en portant un plateau, le sourire aux lèvres. Non sans murmurer une dernière phrase alors qu'il passe à côté de toi :

A vot' place j'f'rais gaffe. Les gens qui sont un peu doués pour l'combat, ils partent en premier.

[Okkyn]

" je te taquinais l'ami, et puis j'ai toujours apprécié venir ici pour ta simplicité et j'échangerai ça pour rien au monde "

Le chasseur de prime sourit a l'aubergiste en l'écoutant au murmure et lui répondant simplement

" je serai prudent "

Il continua de manger son assiette prenant de temps en temps une gorgé de sa bière dont il profitait au maximum, une fois son repas fini, il attendit le retour de l'aubergiste pour lui payer ses premières consommation avant d'aller jusqu'a l'écurie récupéré quelques affaire pour ensuite allez dans sa chambre se reposer un peu.

[Conteur de la Terre]

Okkyn

Jorgen profite de sa chambre, spartiate mais confortable et surtout propre. Les lumières ne tardent pas à disparaître en ville. Personne ne veut veiller tard en ce moment.
Il peut fermer les yeux et profiter d'un sommeil dûment mérité.

Jusqu'à être réveillé en sursaut par des éclats de voix et un boucan monumental en plein milieu de la nuit.
La lumière a l'air étrange, semblant danser sur les murs de la pièce. Et puis il y a cette odeur...
Il y a un incendie quelque part.

[Okkyn]

Après une bonne douche, ni trop loin ni trop près de sa chambre comme dit, le chasseur de prime s'étendit après avoir mis ses affaires de manière a pouvoir les prendre rapidement en cas de soucis par habitude.

"oh bordel, il se passe quoi là"

Il se réveille en sursautant au bruit et par réflexe, il enfile ses vêtement et s'équipe avant d'ouvrir la porte pour se précipité au nouvelle.

" mais ça brûle non de dieu "

Il posa une accélération pour atteindre le rez de chaussé au plus vite pour donner un coup de main a qui de droit.

[Conteur de la Terre]

Okkyn

La bonne nouvelle, c'est que ce n'est pas l'auberge qui flambe. C'est une échoppe située à quelques maisons de là.
Dans la rue, il y a déjà un attroupement de curieux qui se forme mais personne ne semble intervenir. Jorgen entend des cris venant de la direction de l'incendie, mais pas exactement les cris de panique auxquels il se serait attendu.
En s'approchant (car j'imagine que ce sera son premier réflexe), il pourra voir un cordon de sécurité fait d'un petit muret en terre, tenant la foule à distance respectueuse des flammes.
Il y a une poignée d'hommes en uniforme présents. La majeure partie d'entre eux s'occupe d'empêcher la foule d'approcher tandis que deux seulement semblent s'intéresser à ce qu'il se passe du côté de la bicoque en flammes.

Essayez toujours d'approcher bande de fumiers ! Je vous attend !

Les cris, presque hystériques, proviennent de l'intérieur de la maison.

[Okkyn]

Effectivement Jorgen est rassuré pour l'auberge mais voyant la foule, il est d'abord intrigué avant de s'avancer vers la foule essayant d'atteindre le muret de terre pour en savoir un peu plus.

Quand il entendit les cris, il força un peu le passage pour venir se planter au muret et fixer la maison en feu avant de poser calmement

" Il se passe quoi ici ? "

Il observe comprenant qu'il y a quelqu'un a l'intérieur et regardant pour voir pourquoi personne n'intervient et plante son regard froid dans celui du garde le plus proche de lui et froidement tonne

" Y A QUELQU'UN A L’INTÉRIEUR, T Y VA OU FAUT TE PRENDRE LA MAIN ? "