[CIT] Les Académies

[Yukiko]

Saluant son ancienne maitresse d'un signe de tête il la suivit après avoir jeté un coup d’œil à sa gauche à ce trouvé le Patriarche. Traversant la coure intérieur ou l'on pouvait voir les quatre bâtiments qui constituer l’Académie, chaque un avait leur utilité et il ce rendait dans ce qui servait de salle commune c'est là bah où l'on manger et pouvait-ce détendre durant les heures de repos. C'est ici même que Sura fit son premier thé pour Masaaraq.

Saluant d'un signe de tête les quelques élèves qu'il croisait, ne disant pas un mot comme à son habitude et restant impavide. Le chemin pour le lieu de vie n'était très long, après être rentrée un couloir les séparés de leur but. Arrivant enfin, ils s’installèrent devant une table basse prés d'un feu rougissant de braise. Sura lui posa son regard sur Makki sans répondre au Patriarche.

- Après que vous m'avez dit de partir je suis allez en direction de l'ancienne citadelle, là bah l’académie qui détient toujours mes armes ma refuser dans ses cours et m'a conseillé d'aller travaillé. Chose que j'ai faite, d'abord au service d'une maison de thé, puis comme j'ai trouvé intéressant le Patriarche. Il disait pouvoir m'apprendre ce que je voulais, en soi j'ai pour l'instant juste trouvé une autre raison de restée en ville pour découvrir de nouvelles choses. Et vous Sifu, comment la vie à l'Académie ce passe-t-elle ?

[Shloka]

-Tous les fils du Feu sont aussi pompeux que toi ? Et d'ailleurs, ce n'est pas risqué pour un fils du feu de venir ici, après ce qu'il s'est passé à Hosho ?

*Alors qu'elle parlait, la "secrétaire" matérialisait un fouet d'eau. Shloka hésitait, soit il sortait son épée pour se défendre mais se mettait les deux pieds dans la mélasse soit il restait passif. Il préféra rester silencieux, il n'était qu'un étranger et même si elle était bien différente au niveau du comportement de tous les habitants du pôle sud, il y avait plus de positif que de négatif donc autant éviter de s'attirer des soucis mais s'il semblait avoir un don pour ça.*

-Toujours en vie alors ? Faudra que tu me racontes tout ce qu'il t'est arrivé, depuis que tu es au service de cet homme là

*Shloka pût donc voir le patriarche du pôle sud qu'il avait vu à Hosho quelques jours plus tôt.*

-Makki ? Un souci ?

-Oh non, juste un nouvel élève pour toi !, fit-elle, souriant à Massaraq. Lequel fut bien obligé de rire.

-Tu ne changeras jamais.

*Le jeune épéiste de la nation du feu suivît masaraaq dans une autre pièce, intrigué par ce qu'il venait de vivre et ce qu'il devrait faire pour survivre ici. Une fois arrivé, il s'installa et se présenta.*

-Enchanté maître, je me nomme Shloka et je viens de la nation du feu. Je parcours le monde afin d'améliorer ma maîtrise de l'épée et du feu par la même occasion. Serait-il possible à tout hasard de suivre des cours dans ce dojo ?

[Guru givré]

Yukiko et le patriarche

Tout en servant du thé à Sura et elle même, ainsi qu'un bon alcool de feu au patriarche, Makki écouta son ancienne élève. Ce dernier semblait différent, moins sauvage. C'était une bonne chose en soit.

-Je vois ! Tu as fait des progrès alors ? Au niveau des nouveautés, Hosho, ça a du être quelque chose. Un esprit et un dragon, veinards!, fit-elle, regardant et Sura, et le patriarche, avant d'embrayer sur la question que lui posait son ancien élève : La vie ici, eh bien, elle est égale à elle même ! De nouveaux élèves débarquent, d'autres partent, c'est un flot continuel.

Elle souffla un peu sur son thé dont les volutes odorants s'échappaient dans les airs.

-Pour combien de temps restez-vous à la Citadelle ? Vous savez où loger je suppose ?

Petite question anodine, à moins que Makki ait une idée derrière la tête ?

Shloka

Le maître d'arme inspecta du regard Shloka, tout en écoutant ce que ce dernier avait à lui dire.

-Tu me rappelles un autre élève, venu ici il y a quelques semaines. Un fils de la terre. Je n'ai pas d'objection à accéder à ta requête. Tu logeras ici le temps nécessaire à ton apprentissage.

-J’espère par contre que ma femme ne t'a pas fait peur. Elle n'a rien contre les fils du feu, elle a voulu te tester en fait.

Puis, il congédia le jeune maître du feu, en lui ayant au préalable dit où se situaient les dortoirs, et qu'il devrait se présenter à lui demain matin, au lever du jour.

[Yahto Parak]

Sirotant tranquillement l'alcool de feu, le patriarche, bien que laissant son garde du corps répondre aux questions de la maître de l'eau, prit les devant, pour sa dernière question :

-Une semaine, et ce sera bien suffisant. Je n'ai rien contre cet endroit, soyez-en assuré, mais j'ai des responsabilités qui m'attendent...

Son ton était soudain las. Pensait-il au fait qu'il allait devoir de nouveau les affronter ? Et que cette question de mariage allait de nouveau être rappelé à son bon souvenir ? Certainement.

-Notre chef Khaya nous a offert son hospitalité. Mais merci, fit-il avant de se retourner vers son garde du corps : A moins que tu ne préfères rester ici ?

[Yukiko]

- Peu m'importe Patriarche

[Shloka]

*Le jeune épéiste écouta ce que son nouveau maître d'arme avait à lui dire avec attention.*

-Tu me rappelles un autre élève, venu ici il y a quelques semaines. Un fils de la terre. Je n'ai pas d'objection à accéder à ta requête. Tu logeras ici le temps nécessaire à ton apprentissage. J’espère par contre que ma femme ne t'a pas fait peur. Elle n'a rien contre les fils du feu, elle a voulu te tester en fait.

/Un autre épéiste qui voyagerait à travers les contrées ? Il me faudrait le rencontrer si possible. Il serait fort intéressant de discuter avec ce dernier./

-Merci beaucoup maître. Votre femme m'a surpris car je n'avais croisé que des gens polis avant d'arriver ici néanmoins chacun est comme il est. A demain maître.

*Shloka sortît se dirigea vers les dortoirs mais il n'était pas contre l'idée d'aller manger un bout ou de rencontrer quelqu'un.*

[Yahto Parak]

Décidément, le garde du corps n'avait pas l'air dans son assiette. Le patriarche termina son verre tranquillement :

-C'est entendu alors. Sura, tu peux rester ici si tu le souhaites. Après tout, je ne risque rien à la citadelle, et encore moins au palais !

Il y avait bien l'histoire avec les Sourciers, mais le patriarche ne les craignait pas, et depuis leur dernière attaque, ils s'étaient fait discrets en plus.

Il salua Sura et Makki et prit le chemin de la sortie. Il reviendrait sûrement avant leur départ. Libre à Sura maintenant de continuer de discuter avec son ancien maître, ou bien de faire plus ample connaissance avec le nouveau venu au académies ?

[Yukiko]

Quelque peut surpris de la réaction du Patriarche, il opina du chef accompagnée d'une bref affirmation. Une foi le patriarche sortie, il ce retourna vers son Sifu et la salua à son tour, prenant lui aussi congé. L'informent qu'il allait faire le tours de l'académie. Ce retirant de la salle de vie pour ce dirigé vers le dojo, il pu croisée plusieurs de ses ancien camarade. Il ne leur accorda qu'un regard et eux aussi ou toute au mieux une courbette, quelque un était plus chaleureux mais ne s'attendant pas a un retour équivalent de la pars de Sura.
Il y avait parmi eu un qui ce départagea du lot sans pour autant attiré plus le regard du Garde du corps que cela, c'était un jeune adulte de la Nation du feu. Qui semblé bien perdu et admirative de l'architecture, ou du moins c'est ce qu'il en ressortait au regard de Sura. Celui-ci ce dirigeant en direction des dortoirs son sac sur le dos, son armes sur le dos.
Inévitablement il allait ce croisé, mais ce n'était pas le genre de notre protagoniste d'être bien loquasse et avenant pour engager une conversation.

[Shloka]

*Le jeune épéiste déambulait en admirant l'académie de glace. Le tout contrastait étrangement avec les impressions des rencontres qu'il avait eu à son arrivée. Il saluait poliment les gens qu'il rencontrait jusqu'à ce qu'il croise l'homme au bandeau sur l'oeil, celui qui irradiait la puissance. Bien qu'il fût intimidé, il le salua.*

-Bien le bonjour messire.

*Il attendait un bref instant pour voir si son interlocuteur allait lui répondre sinon il repartirait à la recherche des dortoirs.*

[Yukiko]

Prenant la peine de s'arrêter un court instant, il dévisagea le jeune épéiste. Et d'un regard plus froid que le souffle de la Toundra, impassible tel, la glace, un miroir, il renvoyait l’image que ce faisait le jeune homme qui le regarder. Il trouva la manière que utilisé la personne étrange, et lui répondit lui de manière des plus classique, en inclinant la tête. Puis il ne s'attardera pas plus, il cherchait Masaaraq son Sifu. Il devait répondre à a des questions qui sont resté en suspend depuis bine trop longtemps maintenant, et il devait lui donnée les réponses.