Omashu

[Chizuka]

Je pousse un énorme soupire de soulagement une fois hors du bâtiment. J'ai frôlé la catastrophe.

Quel mauviette ce type

Oh met-la en sourdine, tu veux ! ce pauvre homme, tu l'as terrorisé et en plus il a pas eu le temps de me donner les adresses des Jiruko, bravo !

raa ça m'énerve ce monde de bisounours

Puis je n'entends plus rien. Je trouve un banc pour m'asseoir puis me frotte le front. Comment allais-je faire maintenant ? Je ne pouvais plus retourner au guichet et Omashu semblait très grande...

Je sors une photo de mon mari et reste songeuse un instant avant de me lever et de déambuler dans la rue la plus proches. Je finis par m'arrêter devant un étalage de fruit et légumes qui cachait une partie du corps du venteur, visiblement ennuyé d'être là. Je parcours des yeux un instant ce qu'il avait à vendre avant de le regarder à nouveau.

Euh dites-moi, vous connaissez un peu le quartier ?

[Majisse]

*Le type se prend la claque d'air mais ne tombe pas.*

Chié !

*Mais il finit par trébucher et tomber.*

Youhou !

*Majisse retombe au sol et sprinte vers le type, elle lui donne un coup de semelle sur la tronche, histoire d'être sûre qu'il ne se relève pas et elle entreprend de le fouiller rapidement. Si elle trouve la clé, elle partirait directement vers les cages. Plus le temps de faire dans la dentelle et dans la discrétion, elle a déjà été repérée.*

[Conteur de la Terre]

CHIZUKA

*Le marchand, d'allure sympathique, affiche un grand sourire à la demoiselle qui vient gentiment s'adresser à lui.*

-Oui, je connais même pas mal ce quartier étant donné que je vadrouille pas mal dans le coin pour vendre mes choux. Je peux faire quelque chose pour vous ?

*Demande-t-il, prompt à vouloir se rendre utile.*

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MAJISSE

*Majisse trouve rapidement les clés qui pendaient à la ceinture du monsieur. Après, rien ne dis que c'est les bonnes. La moine de l'air peut partir vers les cages, mais voilà qu'elle fait face à deux barraqués qui viennent de dégainer leurs couteaux. Ils ont vu leur patron s'effondrer sur le sol et ils ont vu la gamine qui en était responsable.

Majisse venait d'être repérée et prise pour cible.

Le bordel ambiant excite les animaux en cage. La situation ne va pas tarder à échapper à tout contrôle.*

[Yaia]

*Yaia est d'abord décontenancée de voir la première réaction du moine. Et elle mentirait si elle disait que sa première envie n'était pas d'éclater la tronche du moine. Elle serrait des dents et tenait à le laisser terminer. Elle s'était laissée retomber au sol et fixait le moine en le fusillant du regard pendant sa diatribe.*

Moi qui pensait qu'il pourrait m'être utile ... Je me suis trompée.

*Elle soupire et libère Tenkan d'un simple geste de la main.*

-Désolée, je t'ai pris pour ce que tu n'es pas. Il y a eu confusion. Tu ne me serviras à rien. Continue ta route le vieux et je continuerais la mienne. Salut.

*Et elle fait volte-face comme si sa colère était envolée. Elle s'était enthousiasmée bien trop vite, pensant que ce moine avait quelque chose en plus que les autres. Mais ce truc s'était envolé bien vite. Tant pis, elle n'était pas à court de carte à abattre.*

[Majisse]

*Majisse souffle un coup quand elle détient enfin les clés entre ses mains. Elle lève la tête et voit rapidement que les ennuis ne sont pas terminés.*

J'ai pas le temps pour les péons.

*Majisse se redresse et se met à courir. Elle s'aide de sa maitrise de l'air pour accélérer sa course et tente une trajectoire en arc de cercle pour contourner les connards. En cas de problème, elle pourra toujours user d'une claque de vent ou d'un coup de sandale dans les dents pour les éloigner, le temps de rejoindre les cages. De là, il lui faudra essayer toutes les clés pour ouvrir les cadenas.

Majisse préférera la cage de son bison, histoire de libérer un animal qu'elle pourrait au minimum un peu contrôler.*

[Chizuka]

Je souris. Il avait l'air sympas, et ça m'arrangeait bien.

Ah ben c'est parfait. Voyez-vous, je cherche quelqu'un qui habite dans la ville, mais je sais pas trop dans quel quartier. Alors je me disais que peut-être si ce nom vous rappelait quelqu'un, il devrait sûrment habiter par ici

Je fais une courte pause, puis continue.

Je cherche un certain Jikuro Daburu

[Conteur de la Terre]

MAJISSE

*La course rapide de Majisse lui permets d'esquiver deux tirs d'arbalète qui aurait bien pu la tuer ainsi qu'un caillou d'un maitre de la terre. Ses claques aériennes ont eu raison d'un des arbalétriers qui volent contre un véhicule.

Elle arrive au niveau de la cage et tente toutes les clés. Par chance, la première fut la bonne et son bison fut libéré.

La donne allait changer car son bison était tout colère.**

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CHIZUKA

*Le vendeur hoche la tête avec un sourire. Il aimait bien aider son prochain, surtout quand c'était quelqu'un dans le besoin.*

-Oui, ce nom me dit bien quelque chose.

*En plus, il pouvait réellement l'aider. Quelle chance !*

-Oui, c'est un de mes clients récurrents. Il adore mes choux ! Vous le connaissez bien ? C'est un de vos amis ?

[Kapzayn]

(suite du rp de Ba Sing Se)

*Ganshi aperçoit au loin la ville D' Omashu... Pim, le bison volant, commence à perdre de l'altitude. La fatigue, certainement. Le vieillard le fait se poser près d'un point d'eau à quelques centaines de mètres de la ville. Le nomade maîtrise lentement une imposante quantité d'eau et en extrait toutes les impuretés. Il en envoi la plus grosse partie dans la gueule ouverte de son compagnon, qui a l'habitude de cette façon de boire, et consomme le reste. Il faut dire que l'eau des marais n'est pas spécialement agréable à boire, développer une technique pour filtrer l'eau devint rapidement une nécessité. Après une courte pause, les deux compagnons se dirigent côte à côte à pied vers Omashu.*

/J'espère que je vais pouvoir entrer cette fois... Mes réserves de nourritures sont épuisées.../

*L'inquiétude du vieillard s'estompe rapidement quand il voit d'autres personnes suivre le même chemin que lui. Il aborde la personne à sa droite (celle à sa gauche étant cachée par l'imposant bison volant, ce qui n'aide pas à mener la conversation) histoire de papoter durant la petite marche nécessaire pour rejoindre la ville.*

-Hé bien... Je suis rassuré de voir qu' Omashu n'est pas dans le même état que Ba Sing Se...
Savez-vous ce qu'il s'y est passé? J'en viens et on m'a empêché d'entrer tel un malpropre!

*Ganshi se rend compte qu'il est effectivement sale et qu'il a oublié de nettoyer son bison, qui est encore couvert de mousse.*

[Chizuka]

Un sourire s'affiche sur mes lèvres.

Tu vois, avec ma méthode, ça marche

Mouais, je demande à voir

C'est vrai ? Vous le connaissez ??

Quand arrive sa deuxième phrase, je me mordille une lèvre, devenant un peu gênée. Vu la façon dont on s'est quitté, je ne sais pas ce qu'à pu raconter Jiruko sur sa femme restée à la Nation du Feu. Pour éviter les problèmes, je mens un peu

Euh... je suis une connaissance proche... une amie de longue date... et j'aimerais le revoir en fait... bredouillé-je

[Majisse]

*Majisse avait réussi à atteindre la cage et elle avait eu de la chance. Car les brigands usaient d'armes carrément létales pour tenter de lui faire la peau et ça Majisse n'était pas fan du tout, du tout. Par chance une nouvelle fois, elle avait réussi à trouver la bonne clé du premier coup et la cage de son bison était ouverte.*

-Biftèque ! Sors de là !

*Majisse lui envoie une bourrasque sur la trogne pour lui signifier que la porte est ouverte. Pour le reste, elle laisse le bison s'en sortir tout seul. Elle avait d'autres chats à fouetter. Maintenant que son bison était dehors, il fallait qu'elle s'occupe des autres bestiaux. Plus il y en aurait, plus ce serait le bordel sur le champ de bataille. Les animaux déchainés devraient avoir raison des brigands.

Pour le reste, Majisse aviserait.*