Le dédale

[Quan Lao Tsu]

Entrant dans la cuisine qui faisait office de salle commune, l’homme senti l’air frais émanant des planches de bois servant de planché au second étage. Chose étrange, car son grand-père ne laisser jamais ouvert la fenêtre, lui qui d’habitude la ferme, car ses os lui font mal comme il dit. Mais ce n’était qu’un simple détaille, il partit donc déposer les courses sur la table pour en commençait la préparation et c’est là qu’il vue des chaussures qui comme tomber du ciel ce posée sur les paves de la rue. Eh oui forte heureusement pour lui, la seule fenêtre qu’il avait été une fenêtre qui tomber sur la rue; seulement celle si était à demi dans le sol comme la pièce principale l’était aussi il ne pouvait donc voir uniquement jusqu’aux chevilles.

Tout ça était bien étrange, Quan n’aimait pas les coïncidences et celle-ci encore plus, car il connaissait le quartier et sa réputation. Il devait montait voir son grand-père, pour s’assurer que le pire n’avait pas étais fait, il prit donc le monte-charge qui était caché derrière un des placards et après quelque mouliné des bras bien forcés il atterris dans la chambre de son grand-père où plutôt son bureau, qui n’était finalement coupé de sa chambre que d’un paravent. Observant à la lumière la pièce à l’aide d’une lampe à l’huile rapidement préparer avant ça monté, il put observer les marques d’eau et sur tout le coffre fort forcé. Ses yeux s’exorbitant sous la surprise, la lampe accrochée a sa chaise il ce tourna en direction de la où devait-ce trouvé son grand-père. Ouvrant le paravent d’un geste il y vit le vieil homme dans un profond sommeille, quant il dormait c’est sur il dormait. S’approchant de lui et le réveillant d’une voix un peut prit de panique, et de colère .

- Grand-père ! Y a un charognard qui nous à voler debout réveille toi !!

Quan n’estimer pas utile de s’attarder plus, s’il avait de la chance il pourrait rattrapé le voleur et régler cette affaire. Passant donc dans l’étroit couloir ce trouvant derrière la chambre du grand-père, qui séparer les deux chambres pour ainsi rentrées dans sa chambre. Ainsi posant son fessier sur son lit de fortune, délogeant la caisse qui ce trouvé sur des lattes de planché dépointer de leur cloue ou il y trouva ses prothèses. Toujours aussi douloureux à la fixation, il sera les dents une fois lanière et mécanisme a croché qui ce fixa autour de la chair de sa cuisse. Debout il ouvra le vasistas et changea de veste pour couvrir au mieux son visage, celle-ci munie d’une capuche prenant aussi dans sa cache avant de la refermer sa lame. Puis d’une traction il sortit, referma derrière lui et partie en chasse.

Le fer de ses pieds métalliques griffer les tuiles user de la toiture, montant à ses sommes pour avoir une vue plongeante sur la rue. En général à cette heure si peux, voir personne ne ce promenais dans les rues, il ne put sans mal voir disparaître à l’angle d’une rue une personne bien trop presser pour êtres innocents. Prenant de la vitesse en redescendent de l’autre côté du toit, un saut de presse et il atterris de l’autre côté soufflant un bon coup sous l’adrénaline montante. Sans tarder il marcha avec habilité sur le faîtage de la toiture en direction de là où il avait vu cette personne bien trop presser à son goût.

[Le Tribun]

QUAN

*Le grand-père se réveille en sursaut.*

-Que hein euh quoi ?

*Il se frotte les yeux et lève les yeux vers Quan.*

-Bah bouge-toi !!

*Mais Quan n'avait pas attendu, il était déjà parti se préparer. Tel un Superman de l'handisport, Quan part pour s'équiper de ses prothèses pour courir après la demoiselle. Cependant malgré l'habitude et l'empressement du garçon, alors qu'il sort enfin de chez lui, prêt à gambader bah ... Il est tout seul.

La demoiselle étant dotée d'un relatif sens de survie développée, elle n'avait pas attendue Quan.*

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RIKA

*Maintenant propriétaire temporaire du fruit de son larçin, la demoiselle se carapate bien gentiment. En plus, la rue était vide ce qui était quand même globalement sympa.

La question était encore de savoir par où allait-elle s'enfuir ?

Après tout, elle n'a pas remarqué qu'elle a été vu, mais il ne faisait pas bon s'attarder non plus.

Les rues ou les toits ?*

[Rika]

Elle avait atterrît sans un bruit, amortissant le choc en s'accroupissant. Pour mieux se relver et partir au pas de course. Elle doutait avoir été repérée, mais on l'avait surprise et dans le doute il valait mieux ne pas s'éterniser dans les parages. Habituellement elle prenait le temps d'effacer un peu ses traces, pour qu'on ne se rende pas immédiatement compte du vol, et avec de la chance, l'eau séchait dans la nuit. Là elle n'avait pu faire tout cela et courait dans les rues désertes et silencieuses. Normal à cette heure ci mais terriblement stressant et excitant lorsqu'on venait de réussir à subtiliser un magnifique objet.

Elle courait dans la rue donc et avisa une Sato-mobile garée sur le côté. Elle accéléra et se servit du véhicule comme d'un tremplin atteindre un balcon au premier. Une fois sur le rebord elle se suspendit à la charpente apparente, pour mieux balancer ses jambes et se hisser sur le toit du second étage point le plus haut du bâtiment. Sitôt en hauteur, elle reprit sa course en bondissant d'un toit à l'autre, avec la même facilité qu'ont les écureuils-corbeaux sur leurs branches, en direction des quais. Une fois le pont passé, elle pourrait retrouver son petit studio douillet en centre ville.

[Quan Lao Tsu]

Sprintent sur le toit jusqu’au prochain effectuent un deuxième saut pied joins les bras déployer comme des ailes, il fléchit les jambes pour réduire l’impacte, tendit que la mécanique de ses prothèses faisait leur effet d’amortisseur et répartissant au mieux les forces de l’impactes. Reprenant sa course après une expiration pars la bouche, courant toujours sur le faîtage dans la direction des pas qu’il a pu voir de la fenêtre. Plissant le regard pour mieux voir dans le noir, difficile à trouvé quelque chose quant on ne savez pas où la chercher exactement avec la rue bien trop déserte il était difficile à croire que quelqu’un serait rester sur celle si après un tel acte.

Un petit mur et de l’autre côté le vide en apparence, soutenant le pas de course il ce jeta les mains en avant et tel un chat pris appuie avec pour propulser ainsi son bassin et ses jambes pars dessus, ainsi poussant de ses mains une fois le reste de son corps passer pour arrivé sur le toit de la prochaine maison en contre bas. Cette fois pour gagner du temps telle une toupille il ralentit avec sa maîtrise de l’air son atterrissage, une ombre dans la pénombre ce dessiner au loin cette ombre prés que féline courant en toute hâte sur les toits. Il était bien encore loin d’elle, mais a l’allure de ça progression il arriverait bien à la rattrapé à un moment ou l’autre, c’est donc avec autant de discrétion qu’il le pouvait continué sa folle course dernière cette forme dans l’ombre. Quant il put il changea de côté pour ce mettre sur celui de l’ombre qu’il entre voyais de plus en plus. Malgré les années passées, il avait gardé sa forme sportive et c’était même amélioré.

[Rika]

Vint le moment où Rika arriva devant un grand boulevard, même avec tout l'élan qu'elle accumulait elle n'aurait pu traverser en un bond. Heureusement pour elle, il y avait des lignes téléphoniques, qui, elles passaient d'un bâtiment à l'autre au dessus de l'axe routier. Sans se démonter, elle ne ralentit pas une seconde pour courir du toit et bondir en une rondade aérienne. Une fois sur le câble, elle continua sa route comme si de rien n'était.

Ne faisant aucun bruit ou presque en parcourant la ligne, c'est à ce moment qu'elle entendit un bruit de course à une hauteur anormale. Qui courrait à la hauteur des toits à une heure pareille ? Elle s'arrêta un instant pour tenter de discerner quelque chose. Le contre-jour des lumières urbaines ne l'aidait pas. Cependant il lui suffit d'apercevoir un mouvement, clairement quelqu'un qui bondissait d'un toit à un autre, pour reprendre sa course qui devenait à présent une fuite.

Une fois le boulevard traversé, elle profita d'un bâtiment un étage dessous pour descendre dans la rue, en glissant le long de la gouttière. Ses chaussons d'escalade lui permettait de ne pas faire de bruits, contrairement à des chaussures plus classiques qui feraient claquer la semelle sur le sol. Quand elle toucha le dit-sol, elle prit la rue parallèle au boulevard, dans une course à perdre haleine, et tourna à la première gauche. Ce qui lui permettait toujours de rejoindre les quais, mais elle ne serait plus sur les toits, et, avec un peu de chance, il la perdrait de vue lorsqu'elle était descendue.

Cette fois ci, elle fit attention à courir en ne traçant plus une ligne droite, mais une diagonale en escalier. Toujours afin de tenter de perturber son poursuivant. Ce dernier ne pourrait pas forcément la voir depuis les toits avec la hauteur aléatoire des immeubles qui lui offraient une cachette visuelle, car une fois qu'elle en contournait un, rien ne disait à celui qui la suivait qu'elle avait continué droit de devant, prit à droite, ou bien à gauche.

[Le Tribun]

*Quan poursuivait donc la voleuse. Il gagnait du terrain. Courir sur les toits était quand même vachement plus pratique quand on maitrise l'air et qu'on est un ancien Pro-bender. Malheureusement, il n'est pas aussi discret qu'il l'aurait souhaité et malgré les bruits environnants, il semblerait qu'il se soit fait connaître.

De son côté Rika avait réussi à redescendre au niveau du sol et à partir dans les ruelles avant même que Quan n'arrive à hauteur de l'avenue.

Quan était par conséquent, bien emmerdé. Comment rattraper la demoiselle ? Il semblerait qu'il soit tombé sur une professionnelle. Une vraie. Il ferait presque pâle figure à côté.*

[Quan Lao Tsu]

Perdre, un mot qui avait toute sont amertume et qui n’avais pas de place dans le vocabulaire de Quan. La définition qu’avais son Caoch, perdre c’est mourir, et pour rien au monde il ne voulait ça. Prendre de la hauteur ne servez à rien, il devait s’enfonçait à mis hauteur des les rues pour cela il saut sur les escaliers de secours en s’accrochant et glissant contre l’échelle dans un crissement de métal. Atterrissant sur la plateforme de l’escalier il sauta mains sur la rembarre ramenant son corps et posant les pieds sur celle-ci, poussant sur ses prothèses pour s’envoyer dans le vide et venir ce raccroché à l’autre escalier de l’immeuble suivant. Pied sur la rambarde il poussa d’un bloque avec l’aide de ses bras, continuant ainsi ça progression en s’accrochant et passant d’un côté et de l’autre de la rue s’aidant de sa maitrise pour économiser ses forces physique. Empruntant les plus grandes allez pour avoir une meilleure vue sur les petites allées et si enfoncée s’il y avait du mouvement, évitant de trop ce faire remarqué dans les grands boulevards et ne mettant jamais pied à terre, car le quartier restait des plus mal fréquenté .

[Rika]

Rika continuait sa fuite et commençait à s’essouffler. Les fois où elle se faisait surprendre étaient peu courantes, aussi la demoiselle avait l'habitude de rentrer chez elle à un rythme moins soutenu. Cependant le quai était enfin en vu. Elle n'aurait plus qu'à traverser le pont et le centre ville lui ouvrait les bras.Cependant, si elle voulait éviter de s'attirer les regards des quelques badaud dans les rues, elle devrait traverser le bras d'eau comme le boulevard précédemment.

Au risque de perdre du temps, et de se faire voir, elle regagna les toits et fonça vers les lignes téléphoniques qui passaient d'une rive à l'autre. Elle bondit dans les airs depuis un toit et manqua de peu son atterrissage sur le câble. Elle dut s'accrocher comme une gymnaste à une barre pour se hisser le fil et reprendre sa course. Plus quelques mètres et elle pourrait perdre son poursuivant dans la foule du cœur citadin. En effet, elle avait prévu dans son sac une tenue plus normale afin de se fondre parmi tout les fêtards et pouvoir rentrer chez elle incognito.

[Aiko]

*Le dédale, c'est quand même un sale endroit. Mais je suis habituée à ce quartier. Après tout j'y vis et j'y travaille depuis un moment maintenant. Puis j'ai pas mal traîner là-bas quand j'étais adolescente. J'arrive dans une ruelle sale, mon petit sac de toile sur l'épaule. Je souffle avec flegme*

Si j'avais pas d'appartement...

[Le Tribun]

RIKA

*Rika sauta sur les cables des fils téléphoniques pour pouvoir rallier le pont. Elle s'assura avec un regard vers l'arrière que son poursuivant était toujours loin. Quand ceci fut fait, elle se retourna.

Mais quelqu'un était là.

Une jeune femme masquée, cheveux au vents. Dans un équilibre parfait sur ce fil pourtant fin. Entièrement droite, les mains dans le dos.

Elle ne bougeait pas d'un pouce. Elle ne disait mot.*

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QUAN

*Quan continuait sa progression à l'aveuglette. Il s'enfonçait d'avantage dans le dédale sans le moindre indice sur la direction prise par la fuyarde. Plus il avançait, plus il savait au fond de lui qu'il était en train d'être distancé.

Le pire dans tout ça, c'est que ses tripes lui disaient qu'il était en danger, suivit, à la fois chasseur et chassé.

Pourtant il n y avait rien autour de lui.*

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AIKO

*La progression d'Aiko est rapidement bloquée. Beaucoup de badots semblent s'être amassés dans une rue que la demoiselle avait l'habitude de fréquenter. Plusieurs agents de police tentaient de réguler le flux et des ambulances partaient en catastrophe.

Quelque chose de grave s'était passé par ici.*