[Capitale]Grandes portes d'Aoshima[obligatoire aux étrangers

[Jin Beifong]

*Jin esquisse un léger mouvement de tête avec un sourire discret à l'adresse du Seigneur du Feu avant de tourner le regard vers Kishi Tanaraq. Elle la toise de son regard impérieux, cette jeune demoiselle. Sans sourire, mais sans être agressif non plus. La jeune demoiselle rougit, trahissant un profond malaise. Une jeunette à qui on confie des missions diplomatiques. La vieille Chef du Pôle Sud ne tournait pas bien rond décidément.

Jin émet un sourire léger à nouveau avant de tendre la main vers Kishi.*

-Enchantée mademoiselle.

*Poignée de main franche de la part de la dame de fer.*

-Je suis navrée, mais votre voyage vers Republic City devra attendre demain au mieux. J'espère que ça n'affectera pas trop vos projets.

[Eréné]

"Mademoiselle" ? Et pas "Conseillère" ? Ah oui, Nauja m'avait parlé de ça...

Kishi haussa mentalement des épaules. Et reprit.

-Eh bien, cela m'embête un peu. Mais, je voulais justement vous demander si vous auriez la gentillesse de m'emmener avec vous. Je me ferai toute petite, promis.

Par ailleurs, étant donné que je devais m'entretenir avec vous dès mon arrivée. Cela nous fera gagner du temps à toutes les deux, j'en suis certaine.

Kishi n'affichait ni sourire espiègle, ni rictus revanchard. Juste une aimable expression d'attente. Elle n'avait dit de déplacé, si ?

[Jin Beifong]

*...*

-Je crains que cela ne soit possible. Si vous désirez vous rendre à Republic City, vous devrez attendre demain. Quant à une rencontre un peu plus officielle entre nous. Je vous conseille de vous rendre au Palais et de prendre rendez-vous avec un de mes secrétaires. Je suis sûre que je pourrais débloquer quelques minutes entre deux créneaux pour que nous puissions nous parler. Ou alors vous pourrez toujours voir avec un Tribun ou un de mes nombreux conseillers.

*Petit sourire adressée à la demoiselle. Elle se redresse pour s'adresser au Seigneur du feu.*

-Je pense que nous n'avons rien de plus à nous dire Seigneur Hill. Président Hiruma. Si plus rien ne nous retient ici. J'aimerais grandement retourner dans ma ville pour rassurer les citoyens de Republic City. Je pense que le peuple de la Nation du Feu mérite également de savoir que les relations entre nos deux nations sont au beau fixe n'est-ce pas ?

[Eréné]

Kishi eut une moue dubitative.

-Un simple "non" aurait suffi, vous savez. Mais ce n'est pas grave, je commence à avoir l'habitude.

Elle sortit une lettre de sa veste et la tendit à la chancelière.

-Avec les amitiés du Chef du Pôle Sud.

C'est moi ou le Seigneur du Feu sent le... pain d'épices ?

[Sun Deng Hill]

*Le seigneur du Feu, qui s'était écarté de quelques pas pendant que les deux jeunes femmes échangeaient ces paroles... pleines de courtoisie, se rapproche à nouveau.*

Il en sera ravi, je n'en doute pas.

*Il se tourne alors vers Kishi*

Si vous le désirez, le Palais est toujours près à accueillir un dignitaire de nos amis des Tribus.

*Puis, redirigeant son attention vers Jin*

Et bien, dans ce cas, il ne me reste plus qu'à vous souhaiter un bon retour, Chancelière Bei Fong.

[Jin Beifong]

*Jin n'émet aucun commentaire face à la moue de la jeune Kishi Tanaraq et encore moins devant sa "réprimande" sur les explications détaillées de la Chancelière. Elle n'en a cure à vrai dire.

Aussi elle se contente de récupérer l'enveloppe silencieusement pendant que le Seigneur du Feu propose l'hospitalité à son invitée.

Un dernier regard, un dernier sourire. Tout le monde est content et la Chancelière peut enfin rentrer vers ses terres. Elle salue l'assemblée une dernière fois avant de se détourner vers son navire, suivie de peu du directeur Adamant qui s'incline avec respect.*

-Merci pour tout.

*Et il se détourne à son tour. Jin et Han montent sur le bateau, suivi de l'alliage qui suit un protocole très martial et qui, il faut l'avouer, en impose beaucoup.

Les machines se mettent en route, l'ancre est levée, le navire amorce sa manoeuvre et l'air de rien, l'imposant navire part vers le large.

Les dirigeables restent quelques instants en l'air et finissent par eux aussi quitter la Nation du Feu.*

[Eréné]

Kishi fut soulagée de savoir l' "entrevue" terminée. Et si un chef de nation lui avait refusé une traversée à bord de son bateau, un autre lui offrait généreusement le couvert de son toit ainsi que son hospitalité.

J'en serai ravie, Seigneur du Feu.

Bon, je suis toujours vivante. Aucun incident diplomatique à déplorer et je n'aurais pas à dormir à l'auberge. Nan, franchement... ça aurait pu être bien pire. Hmm, je ferai p'têt bien d'arrêter de me parler à moi-même. Ça fait vraiment taré...

Et c'est ainsi qu'elle suivit le p'tit bonhomme en pain d'épices, enfin, le Seigneur du Feu Sun Deng Hill.

La suite /o/

[Conseiller du Feu]

Wanko

*Et oui ! Enfin ! L'agitation se fait de plus en plus forte, et soudain...*

Allez, tout le monde peut sortir ! Et dans le calme !

*Oui, très orthodoxe comme annonce officielle. Il faut croire que les soldats présents, eux aussi, commencent à trouver le temps long. Ou alors, peut-être ont-ils senti que certains dans la salle commençaient à voir leur sang chauffer... Quoiqu'il en soit, plus rien ne vous retiens à l'intérieur.

Par contre, certains semblent avoir du mal à marcher. Un certain vieil homme à du faire profiter un petit peu trop de ses bienfaits..*

Chancelière Bei Fong

*En impose, en impose, les soldats de la Nation du Feu n'en quittent pas leur poste pour autant. Par contre, les petits navires qui ont accompagnés celui de Républic City sont de nouveau de la partie. Une petite escorte vers la frontière quoi, rien de bien méchant.*

Edit de Pix: Soit pas deg'. RC a la classe c'est tout :p

Kishi

*Et... voilà que toute la petite troupe s'éloigne, l'envoyée des tribus prenant la place de la Chancelière à l'intérieur du véhicule, en route vers le Palais.*

Bah... un peu tout le monde qui pourrait traîner sur le port dans les prochains posts, finalement.

*Rapidement, professionnellement, toute trace de cette petite rencontre au sommet disparaît. Démonté, le petit chapiteau. Remballée, les diverses et décorations. Ne reste bientôt plus rien qui sorte de l'ordinaire. Bon, à part peut-être un homme au long manteau qui regarde au large, l'air presque déçu.*

Bon bah... ça sera pour une prochaine fois...

[Le Conteur Blanc]

MICKY / NEFKEN / SHURAT

*Le Dragon de l'ouest rentre dans l'espace aérien de la Nation du Feu, mais ces derniers ayant été prévenu, tout se passe pour le mieux. Le dirigeable arrive au niveau du port où sont déchargés le navire ainsi que le lieutenant Hartman et ses hommes. Alice reste à bon port et après des salutations très ... Protocolaire, le Dragon de l'ouest reprend de l'altitude et se dirige vers le Palais du feu.

Une réunion avec le Seigneur du Feu, le président du conseil et certainement le général de la section technologique allait avoir lieu.*

[Micky]

*C'est avec la tête ailleurs que Draven posa le pied sur la terre ferme.
Le discours maternaliste de l'avatar au soir qui n'avait ressemblé a rien avec la personne qu'il avait cru apercevoir en elle, les adieux avec Alice, radieuse a l'idée de foncer tête baissée dans une autre aventure inédite.

Le contact de Korra saurait regorger d’événements extraordinaires, ça il n'en doutait pas.
Le voyage du retour s'était fait solennel. Les fils du feu avaient bon grès, mal grès accédés a chacune des exigences du Dragon Blanc. Une bande de môme turbulent qu'on ramenaient a la maison, papa, furieux, Remorquait l’estafette qui les avaient attendue. Rien ne semblait avoir été du gout d'Hartman. Encore est il que la future confrontation avec ses supérieurs devait effectivement plus l'importer a mesure que la distance s'était amenuisée avec la capitale.

En évitant de penser a son propre destin, l'ancien prisonnier obtempéra a sa manière tout au long des manœuvres.
Wyrd, peu importe son grade ou la violence relative de son regard a certains instant tint sa promesse de les raccompagner au port. Le colosse bleu, l'armure rouge, le jeune vieil esprit, et le Lieutenant qui semblait récupérer a une vitesse effrayante.


Le remue ménage le laissait confondu. Draven se sentait presque plus a sa place dans cette île sauvage, mystérieuse et hostile que sur le quai, a observer platement les allez et venues matinales des habitants du feu. Il resta la, quelques temps. Juste en attente d'Hartman et de ses directives.*